chevalier-du-temple
Crévindiou
Comme disait Fernand Raynaud, il y a lurette belle et belle lurette .......je cite de mémoire......
J'suis qu'un pauv' paysan, j'm'appelle crésus, cherchez l'erreur !
Mais avec le p'tit mecton à peine sevré, qui occupe Matignon, les gens de la france profonde, bien profonde, ont l'interlocuteur rêvé, j'vous dit pas la suite, because vous aurez pigé ou capté ! (enfin perhaps, à part jean-jean)
Les agriculteurs, les aminches, ils se font empapaouter par les pointures bruxelloises, avec la bénédiction de notre "caricature" élyséenne, mais j'enfonce des portes ouvertes, hein ?
Finalement
hub'

    Après les accords de libre échange avec la nouvelle Zélande, Bruxelles entend finaliser les accords avec le Chili..Pas de problèmes pour produire à l’autre extrémité du globe ce qui peut être réalisé sur place.

    Toujours plus de concurrences déloyales.. démontrant que le modèle européen soit disant « écologique » n’est qu’une pure escroquerie.
    L’écologie, lorsqu’elle est prise en compte n’est qu’un cocktail de punitions envers le peuple.

    La France dispose pourtant d’immenses surfaces cultivables, représentant 54% du territoire.

    Mais cette commission européenne agit purement et simplement contre son peuple.

    l’esprit révolutionnaire et sa guillotine, sont toujours dans l’inconscient collectif du peuple français.
    Et les élites qui agissent contre le peuple, feraient bien de s’en souvenir, car lorsque nous aurons perdu notre indépendance alimentaire, et que le peuple aura faim, la suite sera évidente.

      Kruiss38 Bruxelles entend finaliser les accords avec le Chili..Pas de problèmes pour produire à l’autre extrémité du globe ce qui peut être réalisé sur place.

      Transport Chili-Europe, bonjour l'impact carbone.

      Sans compter que ce qui est produit au Chili et importé en Europe sera toujours un manque à gagner pour l'Europe.

      Il fut un temps où il y avait 6 pays dans la CEE.
      Agriculture était le secteur test.
      Il fut défini un but: l'auto suffisance agricole.
      Un moyen : la préférence communautaire.
      Puis vinrent les anglo-saxon, dans le cas présent le Royaume-Uni, et hop fini l'auto suffisance et la préférence, vive le libre marché et la libre circulation de tout (surtout des capitaux).

        • [supprimé]

        • Modifié

        candidus D'accord. Et donc en quoi ces articles seraient, je te cite, "des dispositions punitives qui interdiraient de rendre des eaux trop chargées" consommables par l'homme ?

        Trop chargées en quoi, par exemple ? Mets-moi les valeurs en mg/l face aux critères, je saurai les interpréter. D'une part.

        D'autre part, en quoi des eaux trop chargées, en abaissant les critères, donc, pourraient être aisément traitées techniquement tout en étant rentables ?

        J'ai parcouru les articles R1321-1 jusqu'au R1321-8, qui parle de l'autorisation d'utiliser l'eau pour la consommation humaine, et je ne vois pas où tu veux en venir.

        Sois plus précis, merci.

          Les malheurs des agriculteurs viennent de l'extrême droite et de la droite tous 2 alliés , la plupart des agriculteurs votent RN ou LR/ LREM 

          Aurélien Taché, député EELV, sur la colère des agriculteurs: "C'est la droite et l'extrême droite qui ont voté les traités de libre-échange"
          https://www.bfmtv.com/politique/aurelien-tache-depute-eelv-sur-la-colere-des-agriculteurs-c-est-la-droite-et-l-extreme-droite-qui-ont-vote-les-traites-de-libre-echange_VN-202401240623.html

           HS supprimé -Neodadais

            [supprimé] Article 1321-7 Ii.

            "en cas etc... le préfet peut etc..."

            Il faut savoir décoder. Le préfet ne suivra cette procédure qui est une dérogation, que s'il a des éléments nécessaires pour cela relevant de la santé humaine - impossibilité d'acheminer de l'eau en bouteille en volume suffisant, par exemple. Sinon il serait immédiatement attaqué pour abus de pouvoir, corruption ou autre malversation. Et aucun fonctionnaire d'autorité ne s'y risquera.

            Ça sent le vécu, hmmm ?
            Ayant aussi eu le privilège d'émarger à la gouvernance de quatre syndicats d'eau potable, j'en aurais suffisamment à raconter pour amuser le forum jusqu'à la fin des temps.

              Perrine Les malheurs des agriculteurs viennent de l'extrême droite

              Vraiment ? c'est l'extrême-droite qui est au pouvoir ?

              Ce mouvement des agriculteurs est téléguidé par l'extrême droite notamment pour les élections européennes

              C'est le même mouvement que les gilets jaunes et Bérets rouges dont les représentants étaient tous à l'extrême-droite, à la fin des mouvements certains se sont ralliés à Zemmour , RN et Messhia

                @"Perrine"#p4583980 les agriculteurs seront oubliés et rentreront chez eux pour bouffer du bougnoul

                Les agriculteurs ont autre chose à faire que de bouffer du bougnoul !

                Perrine Ce mouvement des agriculteurs est téléguidé par l'extrême droite notamment pour les élections européennes

                Tu parles, il n'y a plus que 400 mille agriculteurs en France.

                • [supprimé]

                • Modifié

                candidus Article 1321-7 Ii.

                Procédure classique : le préfet rend toujours des avis après consultation des services concernées, surtout dans le cas d'une procédure d'autorisation.

                Bref, ça ne corrobore toujours pas tes affirmations, par contre je sens bien que tu fais encore le tour du forum en faisant des pirouettes.

                Quelles valeurs, quels critères, quelles techniques pour quelle rentabilité ?

                  Perrine Les malheurs des agriculteurs viennent de l'extrême droite et de la droite tous 2 alliés , la plupart des agriculteurs votent RN ou LR/ LREM

                  Stupide.
                  Ce ne sont pas les minoritaires qui font la Loi.

                  filochard
                  Vous n'aviez pas mentionné le protectionnisme dans votre première réponse. Dans ce cas, oui, le prix n'est plus un problème - hormis social.

                  Mais cela ne résout pas tout, il reste des choix à faire :

                  • entre agriculture intensive (pesticide + engrais) avec ses problèmes environnementaux, ou bien alimentation peu productive et donc peu carnée
                  • entre agriculture en plein air et peu diversifiée, ou bien sous serre
                  • entre agriculture familiale ou mécanisée, la première étant dommageable pour les urbains modestes mais bonne pour la ruralité
                  • entre usages concurrents de l'eau et de l'espace
                  • et tant d'autres !

                  Il faut choisir.

                    france2100 Vous n'aviez pas mentionné le protectionnisme dans votre première réponse.

                    Heu si. Mon argumentation est basée là dessus alors forcément.
                    Pour le reste: noyade dans les détails.
                    L'idée c'est que grâce au protectionnisme on pourrait avoir une agriculture qui fasse bien vivre les agriculteurs, qui permettre une agriculture plus traditionnelle permettant la convivialité et le bien vivre dans nos campagnes tout en fournissant une nourriture suffisamment abondante de qualité.
                    Concernant l'utilisation des produits chimiques j'imagine que la règle des 20-80 s'applique là aussi, avec 20% on obtient 80% du résultat.
                    Pour plus de détails il va falloir demander aux technocrates tout en les gardant à l’œil pour qu'ils ne construisent pas encore une usine à gaz, peuvent pas s'en empêcher.

                    Il paraît que 80 % des Français soutiennent ce mouvement. Mais 80 % des Français n'hésitent pas à acheter des aliments importés, moins chers. Et 80 % des Français n'hésiteront pas à protester si un poulailler géant ou une porcherie géante doit se construire à côté des chez eux.

                    Les agriculteurs ne forment pas un ensemble homogène. Il n'y a pas grand chose de commun entre, d'un côté, le petit éleveur du Massif Central, et de l'autre, le gros cultivateur céréalier de la Beauce ou le gros éleveur de porcs breton.

                    Et puis je m'interroge beaucoup concernant cette histoire de normes environnementales. Le fait est que l'activité agricole a un impact sur l'environnement (pesticides, irrigation, etc.). Les normes environnementales sont donc nécessaires (pour protéger la biodiversité, pour préserver la ressource en eau, pour protéger la sant des consommateurs ou des agriculteurs eux-mêmes, etc.). Et le contexte actuel rend ces normes encore plus nécessaires, il nécessite même une modification de certaines pratiques : la raréfaction de la ressource en eau nécessite de limiter l'irrigation, le déclin de la biodiversité nécessite de limiter l'usage des pesticides et de préserver les haies bocagères, etc.

                    Or à la lecture de certains témoignages, et pour avoir moi-même échangé avec certains agriculteurs, j'ai l'impression l'impression qu'ils perçoivent ces normes comme une intolérable contrainte. Quand on leur parle d'environnement, de la nécessité de changer certaines pratiques, ils le vivent presque comme une agression. Quand un gouvernement ou un préfet veut réglementer certaines pratiques (irrigation, usage des pesticides, etc.), ils rouspètent.

                    La question que j'ai envie de poser à ces gens-là est simple : admettent-ils la nécessité de changer certaines pratiques, ou bien persistent-ils à considérer ces normes comme d'intolérables contraintes et ceux qui défendent ces normes comme des bobos écolos emmerdeurs qui ne vont quand même pas leur apprendre leur métier ? S'ils admettent la nécessité de changer certaines pratiques, alors ce sera une bonne base de discussion. Sinon, je ne le soutiendrai pas.

                    En résumé, je veux bien soutenir le petit agriculteur qui a du mal à joindre les deux bouts, qui est étranglé par la grande distribution, et qui passe des heures chaque semaine à remplir des formulaires administratifs. Je ne veux pas soutenir les bandits de la FNSEA qui veulent continuer à polluer comme des porcs, à saccager leur environnement, et à se gaver de subventions, pour pouvoir mieux s'acheter le dernier SUV à la mode ou un appartement au bord de la mer.