sangtriste

Sur une population de 67 millions d(habitants, avec les moyens de locomotion que nous avons actuellement, et donc la possibilité de rencontres, la consanguinité est faible.

Elle avait lieu dans les campagnes autrefois, ou les gens se mariaient entre cousins germains, pour les terres, mais plus maintenant.

Donc, pas besoin de l'immigration pour lutter contre la consanguinité.

    liberté Donc, pas besoin de l'immigration pour lutter contre la consanguinité.

    Je dirais même plus, pas besoin de l'immigration consanguine pour lutter contre la consanguinité endogène. 8-0

    Clair qu'à force de se marier avec leur cousine germaine les musulmans ne sont pas au mieux en matière de consanguinité.

    girke
    Je pense que nous vivons sous la coupe d'une religion d'état en phase puritaine, le progressisme, et que celui-ci a décidé de purifier le monde de la souillure en détruisant tout, à commencer par les peuples, races, nations, cultures, sexes, espèces, et en sacrifiant les blancs, les mâles, et les humains pour expier nos péchés.

    Je pense que nous subissons la même chose que ce que les Chinois infligent aux Tibétains : submersion, effacement du passé, en vue de nous dissoudre dans une race métisse idéologiquement supérieure. Je pense que c'est une colonisation et un génocide, une volonté de faire disparaître du passé et de l'avenir notre peuple indigène.

    Je pense qu'il est hélas car trop tard pour sauver la France car dores et déjà 40% à 50% des naissances sont d'ethnie non-européenne, et cela augmente rapidement. Ceci n'est pas tant une islamisation qu'une africanisation, et la France sera un pays à majorité noire d'où nous partirons, comme nous quittons déjà l'IdF et Paca, comme les blancs ont quitté Détroit et quittent l'Afrique du Sud. Au mieux pourrions-nous espérer une partition du pays dans la foulée du défaut de paiement à venir et de la possible guerre ethnique qui pourrait s'ensuivre. Nous resteraient alors une partie de l'ouest et du centre.

      france2100 Je suis d'accord avec vous. A contrario il doit bien y avoir une solution au problème (à chaque problème sa solution). Le Dalaï-Lama avait entièrement raison avec sa sortie il y a quelques mois. De mon point de vue, il faut une bonne manifestation et revoir nos priorités ainsi que l'échiquier politique comme je le disais précédemment. Le nationalisme, pour moi, devrait être l'ordonnateur (ou l'ordinateur) des travaux à effectuer dans chaque pays. On y verrait nettement plus clair. L'économie mondiale ... Je pense que c'est aussi l'économie mondiale ainsi que la répartition des richesses qui posent problèmes.
      En fait, il faudrait une plateforme avec tous les problèmes recensés dans chaque pays et apporter démocratiquement ou non des réponses sans laisser ces fameux problèmes s'envenimer, parce que la pile s'agrandit et rien n'est fait. Sans parler des sujets houleux mis sur la table actuellement.
      La fin justifie les moyens, CARPE DIEM

      france2100

      Je souscris à votre analyse ; nous sommes en chute libre et il faut être aveugle ou bien naïf pour ne pas voir que notre peuple change à vitesse V ; ce qui me console, c'est que dans 50 ans, toute une génération qui, encore actuellement, entretient à grands frais la gabegie et les folies de macron ne sera plus là pour payer

        philomene Avec les progrès de la science, on est jamais à l'abri d'une mauvaise surprise...

        philomene ce qui me console, c'est que dans 50 ans, toute une génération qui, encore actuellement, entretient à grands frais la gabegie et les folies de macron ne sera plus là pour payer

        Ce devrait être effrayant plutôt que consolant.
        Cela se passe rarement bien quand il n'y a plus assez pour tout le monde ...

        france2100 Tous les sondages sur l'immigration montrent une écrasante majorité opposée à celle-ci, alors même qu'une partie non-négligeable des sondés sont des colons ! Encore une fois vous confondez l'état et la société, les valeurs du pouvoir et les nôtres. Ce sont les maîtres qui ne font pas la différence entre peuples français, africain, arabe ou allemand : tant que ça la ferme et que ça obéit... Quel empereur se soucie de la couleur de l'esclave qu'il culbute ?

        1- Bah non. Combien de français sont prêts à un changement d'idéologie, qui se traduirait par changement de bloc de constitutionnalité, de constitution, de lois, c'est-à-dire une révolution, pour en finir avec une conséquence de cette idéologie, à savoir qu'il y a des « hommes » avant tout, et que par conséquent tout étranger peut devenir « français », dès lors qu'il accepte certaines valeurs ? Les français contre l'immigration veulent pour la plupart arrêter l'immigration, pas une révolution ou contre-révolution pour autant.

        Tant que j'y suis, je cite le post qui a fait saigner votre petit cœur plus bas. Peut-être qu'ainsi, vous comprendrez que ce n'est pas votre hétérodoxie qui me dérange, mais le fait que vous niez cette hétérodoxie.

        Pourquoi ? Je pense que vous ne pouvez l'accepter, comme vous n'acceptez pas la grande marginalité de vos positions dans l'opinion publique française, dans la mesure où vous êtes un grand défenseur « de la souveraineté du peuple », principe qui vous enterre, dès lors que sa traduction est le critère, nombre ou quantité. Votre procès en « légitimité » permanent à l'idéologie admise de notre cité, et toujours par nombre de nos concitoyens, masque le fait que vous êtes celui qui a de facto zéro « légitimité ». Quitte à manquer de concision, une nouvelle fois, le peu de légitimité de votre discours m'importe peu ; sa fausseté me dérange.

        https://forum-politique.org/d/145279-la-democratie-criminelle/53
        Avant dernière citation.

        2- Vous devez prouver qu'il s'agit précisément de « colons ». Mais, comme d'habitude, vous préférez la confusion. Pour revenir à un de vos propos suivants, je ne « justifie » rien du tout : il n'a pas été question de morale.

        3- Non. Je ne confonds pas gouvernants et gouvernés. Si vous examiniez, plutôt que de survoler, vous auriez peut-être compris, à la lecture du début de notre conversation sur l'autre fil, que je soutiens même le contraire : à savoir, que les français sont plus « sujets » qu'ils ne le pensent, moins « citoyens ».

        france2100 Un nourrisson est reconnu comme membre de sa communauté par les siens avant même de comprendre qu'il a une communauté. La filiation suffit à elle seule à établir la nationalité, et c'est pour cela que tous les pays ont des lois en ce sens. Au fond, pour être membre d'une communauté, il suffit d'en être l'héritier et de lui ressembler au moins superficiellement (langue et apparence).

        4- Qu'est-ce que la nationalité ? Une sorte de qualité ou attribut juridique auquel un individu peut prétendre sous certaines conditions. Dans notre société, l'attribution de la qualité de «français » dépend de l'Etat, « agent » de la « nation », d'une loi.

        https://www.immigration.interieur.gouv.fr/Integration-et-Acces-a-la-nationalite/La-nationalite-francaise/Les-conditions-et-modalites-de-l-acquisition-de-la-nationalite-francaise

        Au sein d'une société donnée, d'un régime politique donné, une loi peut changer. Il arrive aussi que le régime politique change, tout en conservant l'idéologie qui inspirait le précédent. Il arrive enfin que le régime change, ainsi que l'idéologie ; se produit alors une véritable révolution : constitution, lois... changent.

        En réalité, je commets sûrement une grosse erreur en simplifiant excessivement : je réduis à l'idéologie majeure d'une cité, inspiré par nos sociétés, en omettant les opinions relatives à d'autres idéologies qui peuvent éventuellement subsister, ou le fait que ce pourrait être une combinaison de deux ou plusieurs idéologies vraiment identifiables.

        france2100 Quand Mélenchon vote les lois, il en est évidemment responsable : vous êtes dans le déni.

        5- C'est à vous de nous prouver qu'il est coupable de génocide. Rappelons que vous « nommez » « génocide », en l’occurrence, le changement de visage de la population qui résulte de l'immigration, et des naissances et morts qui ont eu lieu depuis cinquante ans.... Je résume votre « argument » : il y a plus d'arabes et de noirs, moins de blancs dans la population française proportionnellement qu'il y a 50 ans, « donc » il y a eu « génocide » ! Je ne suis même pas certain que ce soit votre meilleur numéro, tellement votre spectacle regorge de fantaisies !

          af90

          • Vous pensez que je m'illusionne, je pense que vous vous illusionnez en pensant que les Français préféreraient un pays africain au sacrifice des droits de l'homme, mais je vous rappelle que le RN est donné majoritaire en cas de législative improvisée.

            Je pense en fait que la majorité des Français n'en a plus rien à faire de tous vos beaux principes et veut simplement que les problèmes soient ENFIN résolus.

            Parce que ça fait des décennies que les mêmes problèmes reviennent encore et encore sur les écrans sans que rien ne soit jamais réglé, et alors que tout empire d'année en année. Les gens veulent moins de principes, moins de discours, plus de réponses, coûte que coûte. Regardez donc la popularité du dirigeant d’Équateur en France et en Occident.

            Ne sentez-vous pas l'ambiance république de Weimar ? Il faut enfin des solutions.

          • Leur statut de colons n'est pas une question de démonstration mais de définition.

          • Oui, vous reconnaissez que les Français sont sujets et non citoyens, mais vous clamez pourtant que leurs idées sont celles du pouvoir. C'est en cela que vous les confondez.

          • J'employais le mot nationalité au sens de "relatif à une nation", et non dans le sens d'un titre administratif dont je me contrefiche.

          • J'ai déjà prouvé qu'il se rend coupable de génocide, vous avez contre-argumenté en affirmant que le pouvoir génocidaire, lui, n'y verrait pas un génocide, donc que ce n'est pas un génocide.

            Et mon argument n'était pas la submersion, mais l'idée revendiquée par Mélenchon que cette submersion entraînera notre disparition partielle et totale, et qu'il y voit une bonne chose.

          • af90 a répondu à ça.

            france2100 Leur statut de colons n'est pas une question de démonstration mais de définition.

            1- A vous lire, le choix de la définition serait pure affaire de caprice ou volonté, pas en lien avec l'ensemble des faits que ce terme recouvre dans nos livres d'histoire.

            Qu'est-ce qu'une colonisation ? Une migration d'individus venus d'une société donnée, afin d'exploiter un autre espace, ou une autre terre, ses ressources, voire sa population, à son profit. Qu'est-ce qu'une colonisation de peuplement, plus particulièrement ? Une société donnée envoie une partie de ses membres ou ressortissants habiter un autre espace ou une autre terre afin de la faire sienne, ou d'y développer une société semblable. Or, nos français issus de l'immigration n'ont pas été missionnés par l'Algérie, le Maroc, et divers autres Etats, pour établir une Nouvelle- Algérie, un Nouveau – Maroc, ou pour l'intégrer à leur territoire... Donc, il ne s'agit pas d'une colonisation de peuplement. A vrai dire, même le fait que vous les appeliez « Afros-Arabes », qui implique de reconnaître la diversité des origines de nos immigrés, s'y oppose.

            france2100 Oui, vous reconnaissez que les Français sont sujets et non citoyens, mais vous clamez pourtant que leurs idées sont celles du pouvoir. C'est en cela que vous les confondez.

            2- Non, je pense que vous avez deux problèmes : 1 – vous survolez, vous n'examinez pas ; 2- vous portez des lunettes déformantes : votre critère n'est pas la vérité d'un propos, mais s'il s'agit du point de vue du « pouvoir » ou de « ses opposants » voire de France2100. Ainsi, vous ne comprenez pas la moitié de ce qui est dit ; vous répondez au mieux dans le thème, pas à des arguments ; au pire, vous multipliez les contresens. Ce constat vaut pour toutes nos discussions depuis mon retour sur fopo.

            france2100 J'employais le mot nationalité au sens de "relatif à une nation", et non dans le sens d'un titre administratif dont je me contrefiche.

            3- Vous affirmez là que certains faits vous indiffèrent. Il est possible de répondre qu'il existe la nationalité en tant qu'attribut juridique, et la nationalité comme la revendication d'appartenance à un groupe donné qui « souhaite » fonder un Etat-nation. Dans tous les cas, la nationalité est un type particulier d'appartenance à une communauté politique.

            Peut-on utiliser le concept « nation » pour un passé plus ancien, ou s'agit-il d'une approximation pratique, d'une projection d'un de nos concepts pour éclairer des réalités passées, comme on le fait avec le terme « empire » ? Il est certainement plus indiqué de s'en tenir au concept de « patrie », ou à celui de société, sachant qu'une société donnée en général change plusieurs fois de régime politique ou forme de gouvernement au cours de son histoire. Les changements d'un régime à l'autre sont tels, lorsqu'il y a une phase de révolution, qu'au bout de quelques générations, parfois plus rapidement, les descendants n'ont plus grand chose en commun avec leurs ancêtres.

            france2100 J'ai déjà prouvé qu'il se rend coupable de génocide, vous avez contre-argumenté en affirmant que le pouvoir génocidaire, lui, n'y verrait pas un génocide, donc que ce n'est pas un génocide.

            Et mon argument n'était pas la submersion, mais l'idée revendiquée par Mélenchon que cette submersion entraînera notre disparition partielle et totale, et qu'il y voit une bonne chose.

            4- C'est ce que vous avez compris ? Un sprint à la Cipollini, une nouvelle fois. Pour que Mélenchon soit coupable de génocide, encore faut-il prouver qu'il y a eu un génocide. Rappelons que vous avez évoqué la définition de l'ONU du génocide, pas moi. A partir de cette définition, un changement dans l'équilibre ethnique de la population, résultat de l'immigration, et des naissances et morts depuis 50 ans, ne peut être qualifié de génocide. Il n'y a pas de faits qui prouvent l'intention de détruire un groupe en tant que groupe : à vrai dire, il n'y a même pas de destruction de groupe dans notre cas.

            Votre « génocide par submersion » donne en version détaillée, le paralogisme ou sophisme précédent. Je le répète : « il y a plus d'arabes et de noirs, moins de blancs dans la population française proportionnellement qu'il y a 50 ans, "donc " il y a eu "génocide" ». Il est certain que lorsque l'on sort de la confusion, il est plus difficile de soutenir une telle bêtise : le numéro de prestidigitation s'écroule.

              af90

              • Quand un peuple devient étranger sur sa terre, c'est une colonisation. Si votre définition ne reconnaît pas cela, alors effectivement elle est inadéquate à décrire la réalité.

              • L'état colonial n'est effectivement pas l'état algérien, c'est l'état français. C'est lui qui organise notre colonisation et notre génocide pour que nos glorieux maîtres puissent se draper de vertu.

              • Dans son sens historique la nation n'est pas une communauté politique mais ethnique : un groupement de tribus apparentées. Le mot patrie ne peut lui être substitué, celui de société encore moins.

              • Notre débat sur cette appartenance communautaire (nationalité) provient de ce que vous affirmiez que "Naître sur une terre, ne suffit pas pour être reconnu comme membre de la communauté vivant sur cette terre : il faut une loi, une coutume...". J'avais rétorqué par le contre-exemple du nourrisson reconnu comme l'un des siens.

                A cela vous répondez que la culture et les structures politiques évoluent au fil des générations. En effet, et c'est précisément l'argument que j'avais employé pour vous démontrer que l'appartenance communautaire ne peut être fondée sur les valeurs, les dogmes ou la coutume. Elle l'est nécessairement sur la continuité évolutive, la filiation.

              • Quand Mélenchon met en oeuvre une immigration destructrice pour une race ("les blancs") et qu'il s'en réjouit, c'est bel et bien "une intention de détruire en tout ou partie un groupe national, ethnique, racial ou religieux". Vous n'avez fourni aucun contre-argument, à part que l'ONU ne serait pas d'accord - et pour cause.

              • Je vous avais fait remarquer hier que la majorité des Français éliraient le RN aujourd'hui en cas de législative anticipée. J'avais tort : c'est la majorité des électeurs, soit deux tiers des Français, puisque les colons ne votent pas RN. Autant pour notre adhésion supposée à vos valeurs.

              Vous répondez déjà ? Comme c'est étonnant ! La discussion a assez duré : vos bêtises ont suffisamment été exposées. Incapable d'un examen sérieux, par conséquent d'une critique intelligente, vous tenez en plus absolument à votre lecture délirante, dystopique, de notre société, et qui s'y oppose devient évidemment un soutien, pourquoi pas même un « agent » de « ses maîtres » : la critique politique réduite à un film hollywoodien de science-fiction.

                • [supprimé]

                af90 La discussion a assez duré : vos bêtises ont suffisamment été exposées

                Monologue ?
                F2100 a pourtant des arguments précis, certes certains sont discutables que l'on soit immigrationniste ou pas.
                J'accorde donc le point à F2100 par forfait de l'adversaire.

                  [supprimé] De la même façon que les contributions des lecteurs d'un article sont souvent plus intéressantes que l'aricle qu'on n'a pas forcément lu (je pense au Figaro notamment), j'apprécie la réponse détaillée de france2100 qui a le mérite d'être claire.

                  Chiron

                  • Le problème de l'immigration n'est pas son manque d'intégration mais son nombre : je n'ai pas ma place dans un pays africain, quand bien même ils auraient tous le petit doigt sur la couture du pantalon et beugleraient la Marseillaise au saut du lit.

                  • L'identité est un phénomène social, pas culturel : êtes-vous un eux ou un nous ? Quand vous avez une tête différente vous êtes un eux, et personne ne veut être un eux.

                    Donc vous ne pouvez pas assimiler des gens qui ne vous ressemblent pas physiquement : tant qu'il y aura des noirs et des blancs, les noirs et les blancs vivront séparément et entretiendront des cultures différentes. Et même s'ils pouvaient avoir la même culture, ils ne se considéreraient toujours pas comme faisant partie du même peuple.

                  • Les non-européens représentent les trois quarts des naissances en IdF, donc vous pouvez bien jouer à toutes les chaises musicales que vous voudrez avec le logement, leur balancer encore plus de centaines de milliards, ou bien pendre les patrons hauts et courts, cela n'y changera rien : nous sommes trop peu nombreux pour assimiler qui que ce soit.

                  • L'IdF a un solde démographique de seulement 40k personnes par an alors qu'elle reçoit un quart des immigrés (500k) et de leurs naissances (750k), soit 300k personnes. J'avais bâti un modèle plus précis pour déterminer l'évolution de la composition ethnique de la France et de l'IdF, avec davantage d'hypothèses pour cette dernière, et le verdict est glaçant.

                    Hier nous avons quitté des quartiers, puis des villes, aujourd'hui des régions, demain le pays. Nous devenons des étrangers indésirables dans un pays africain.

                  • Le RN fait de mauvais scores à Paris même, mais des scores hégémoniques à quelques dizaines de kilomètres de là.

                    Les scores parisiens ont trois raisons : la surreprésentation d'électeurs coloniaux et de classes socio-économiques privilégiées qui vivent semi-isolés d'eux, et la chape de plomb idéologique qui pèse sur tous les parisiens qui ne penseraient pas comme ils sont supposés penser. Mais les électeurs populaires, davantage forcés de travailler parmi les colons, et moins sensibles au statut social et au conformisme idéologique, s'installent à distance de la ville ruineuse et votent franchement RN.

                    Cela dit, à revenu et ethnicité égale, on vote davantage pour le RN à Paris que dans le reste de la France.

                  • Les professions manuelles à Paris sont monopolisées par les colons car les Français ne veulent pas travailler parmi eux, donc ils partent. Quand une entreprise, un quartier ou un secteur est colonisé, les Français s'en vont, car si être cuisinier à Paris veut dire passer son temps à jouer le Français de service parmi des Afro-arabes, alors autant prendre le large. Tandis que les cadres sont moins exposés, et jouissent donc plus longtemps de l'isolement.

                  • Les premiers coupables de l'immigration sont ceux qui soutiennent l'idée que les peuples français, africains et arabes sont interchangeables, et qu'un pays est défini par les valeurs de ses maîtres plutôt que par son peuple, jugé contingent.

                    Qui a voté toutes les lois en faveur de l'immigration ? La gauche, avec la collaboration de la droite. Qui ne cesse de promouvoir la colonisation ? Les journalistes, les scénaristes, les juges, les patrons, les politiciens, les associatifs les universitaires.

                    Toute la polyarchie française est ralliée à cette idéologie coloniale, pas seulement les riches. En fait les néo-curés (journalistes, artistes, universitaires) sont les premiers acteurs de cette colonisation car ils la légitiment.

                    • [supprimé]

                    france2100 tant qu'il y aura des noirs et des blancs, les noirs et les blancs vivront séparément et entretiendront des cultures différentes.

                    C'est ça le racisme, exactement ça !

                      [supprimé]
                      Contestez-vous la réalité de l'auto-ségrégation ? Son inévitabilité ? Sa diabolisation ? Son expression ?

                      • [supprimé]

                      • Modifié

                      Je conteste surtout ton idéologie qui tourne à l'obsession. A priori tu es un cas clinique, voire un sujet d'études.

                        Fichtre
                        Juste un mot au vol (au passage)
                        Le racisme est un mal endémique, certes, l'erreur à ne point commettre est de croire qu'il est "réservé" ou qu'il est connoté à la population blanche, ou à une ethnie ou une religion en particulier !
                        Cela dit, pour en revenir à la France, et à notre civilisation judéo-chrétienne, ben, en l'état actuel des "choses", il faut bien reconnaître que les seuils de tolérance sont largement atteints, pour certaines catégories d'allogènes ou d'étrangers, voire dépassés, ce qui explique sans les justifier les problèmes et les débordements que rencontre today notre ex-douce France, bon, au passage, en enfonçant des portes ouvertes, pas besoin de longs discours !
                        Subséquemment
                        hub'