af90

  • Comment nier le fait que la gauche veuille détruire notre peuple alors que l'antienne de celle-ci depuis toujours est l'arasement de toutes les différences au nom de l'égalité : états féodaux, corporations, peuples, races, nations, cultures, sexes, espèces ? Il s'agit bel et bien de faire advenir une humanité 2.0 libérée des blancs. Et des noirs, mais surtout des blancs. Et aussi des mâles. Procuste est à la manœuvre.

  • Mélenchon fait partie de ceux qui ont voté toutes les lois coloniales qui ont accordé toujours plus de droits aux pauvres colons, contre les méchants indigènes. Il n'est pas un simple trublion mais un homme qui exerce depuis des décennies des responsabilités dans la conduite de l'état, dirige le second parti de France, et revendique ouvertement son intention génocidaire.

  • Bien sûr que l'ONU ne condamnera jamais l'idéologie qu'elle soutient, puisque les lois ne sont faites que pour servir les puissants. Cela n'en demeure pas moins une intention de faire disparaître un peuple, tout comme les Hans veulent faire disparaître les Tibétains. Le fait que le mot génocide n'ait jamais été employé pour le Tibet nous renseigne moins sur ce qui se passe au Tibet que sur ce qui se passe chez nous. Un effacement est évidemment un génocide.

    Et notez qu'il ne s'agit pas seulement de nous effacer de l'avenir mais aussi du passé : il n'y a jamais eu de peuple indigène, jamais eu de culture française, terre éternelle d'immigration, ces étrangers qui ont fait la France, et autres fictions historiques où la moitié de Versailles s'appelle Aziz et Mamadou. C'est une guerre totale qui veut effacer jusqu'à notre souvenir.

  • Quels que soient les problèmes posés par le vieillissement de la population, ils sont incomparables avec le fait de devenir un pays africain. D'abord car les mêmes causes entraînent les mêmes conséquences qu'en Afrique, comme illustré par les territoires colonisés. L'effondrement des scores PISA aujourd'hui est celui des courbes du PIB demain, et l'explosion de la défiance, de la division et de la violence, pave la voie au chaos lorsque le pouvoir d'achat commencera à régresser.

    Mais même si l'immigration avait été bonne pour l'économie, où serait le bénéfice pour nous puisque nous sommes poussés à partir de tous les territoires colonisés les uns après les autres ?

  • Vous définissez de façon arbitrairement restrictive la colonisation comme un projet économique au bénéfice du peuple colonisant, de façon à exclure la situation présente. Or quand un peuple indigène devient étranger chez lui, c'est évidemment une colonisation. Quand un peuple est forcé de quitter la terre de ses ancêtres, c'est évidemment une colonisation.

  • Vous ne cessez de parler de ghettos, comme si le phénomène demeurait confiné. Mais de nos jours ils occupent la moitié de l'IdF et PACA. Ce sont des villes entières qui sont déjà tombées, bientôt des régions, et ils ont commencé à s'étendre aux zones rurales. Il y a aujourd'hui des villages afro-arabes dans des départements ruraux.

  • Je n'ai pas parlé de culture. Encore moins de déchristianisation puisque je suis athée et que la moitié des colons sont des noirs chrétiens.

    Il y a méprise sur le concept d'identité dans le débat français : elle est en réalité moins culturelle que sociale. Êtes-vous un eux ou un nous ? C'est un problème d'aliénation, pas de culture. Parmi des noirs je suis aliéné, quelles que soient nos cultures, et ce sera toujours vrai dans mille ans car l'humanité est grégaire.

    En fait c'est même cette ségrégation réciproquement choisie qui fait que nous maintenons des cultures différentes, révérons des personnages différents, rêvons d'histoires différentes. Ce qui renforce plus encore notre isolation. Tant qu'il y aura des noirs et des blancs, ils formeront toujours des peuples différents, et les blancs ont toujours fini par partir pour des cieux meilleurs.

  • L'idéologie coloniale a sans doute bien plus à voir avec l'universalisme chrétien qu'avec l'hédonisme contemporain. Je ne doute pas un instant que les monarques d'autrefois, si leur économie avait été limitée par les hommes plutôt que par la terre, eussent fait venir des colons étrangers. Tout au plus se seraient-ils contentés d'exiger des chrétiens. Quel souverain se soucie que ses serviteurs soient blancs ou noirs ?

  • af90 a répondu à ça.

    af90 Difficile d'assimiler dès lors qu'il n'est pas question d'une minorité, voire d'une petite minorité, dans une grande majorité : une question de solubilité

    Ce qui permet la civilisation et un mode de vie plus ou moins pacifié entre voisins, c’est l’homogénéisation progressive de la population. À force de vivre sur un même territoire, le génotype, le phénotype et la culture des populations s’homogénéisent.
    Ce processus invisible tant il est lent s’étend sur des siècles voire des millénaires, et rend prévisible le comportement de tout individu faisant partie du groupe (culture et mœurs communes).
    Cette prévisibilité entraîne un haut niveau de confiance spontanée entre tous les individus membres du groupe, même s’ils ne se connaissent pas.
    Sans cette confiance spontanée, les individus ne peuvent pas envisager et planifier un futur lointain en commun.
    C'est pourquoi réintroduire de l’hétérogénéité dans une population, c’est à terme et inéluctablement faire reculer la civilisation.

    Et la réintroduction d’hétérogénéité ici et maintenant, c'est l’immigration de peuplement que subit l’Europe depuis quelques décennies. Les conséquences délétères de cette immigration massive et incontrôlée sont, entre autres, une chute du niveau de confiance entre individus (même entre Européens autochtones), une hausse de la criminalité, et une accélération du processus de décivilisation, un retour brutal vers des moeurs barbares que l'on croyait révolues.
    Un pays qui connaît une immigration de masse doit par force revenir en arrière au niveau des libertés individuelles pour garantir un fonctionnement à peu près correct de la société.
    Pour être clair, une population importée du tiers-monde importera avec elle la nécessité pour nos Etats d'une gouvernance usant peu ou prou des méthodes policières et judiciaires des pays d'origine.
    Adieu donc au respect de l'Etat de Droit, habeas corpus et autres garanties de la démocratie libérale.
    L'avenir est à un pouvoir despotique dont la tâche sera d'éviter un effondrement brutal de notre civilisation dans une guerre civile, mais n'évitera sans doute pas le lent déclin que nous pressentons déjà.

    • af90 a répondu à ça.

      Malouin

      Je résume votre théorie : avant l'immigration, la France était homogène ou relativement homogène ethniquement, par suite culturellement. Depuis et à cause de l'immigration de masse, la France est devenue hétérogène ethniquement, par suite culturellement : divers maux en résultent, en gros.

      Vous oubliez me semble-t-il que notre idéologie libérale en tant qu'elle est surtout un programme de libertés aboutit à une atomisation des valeurs, des croyances, et des mœurs, et à une lutte permanente entre les diverses sectes politiques les représentant. Pour reprendre votre terme, elle aboutit à de l'hétérogénéité culturelle au moins depuis les années 1960 : Mai 1968 pourrait servir de symbole ou témoin.

      Avant cela, nous pourrions évoquer la guerre des deux France, la laïque contre la catholique, certes combat entre deux minorités actives, dont le point culminant se situe entre les années 1880 et la première guerre mondiale, comme symptôme d'hétérogénéité culturelle, notamment par par la politique éducative menée par l'une de ces minorité, et par la lutte incessante qu'elles se livraient dans les journaux, l'opinion résumé plus simplement : même en admettant que le phénomène se limitait alors à l'élite et la bourgeoisie, part de la population qu'il faudrait quantifier, il prépare la suite, sa diffusion plus massive.

      Une fois cela dit, je pense pouvoir également affirmer qu'il existe au moins un autre facteur que le changement de population favorisant les mauvaises relations entre français ethniquement similaires. Il y en a sûrement d'autres, comme l'économie ou guerre de classes...

        france2100 Comment nier le fait que la gauche veuille détruire notre peuple alors que l'antienne de la gauche depuis toujours est de vouloir abattre toutes les frontières au nom de l'égalité : états féodaux, corporations, peuples, races, nations, cultures, sexes, espèces ? Il s'agit bel et bien de faire advenir une humanité 2.0 libérée des blancs. Et des noirs, mais surtout des blancs. Et aussi des mâles. Procuste est à la manœuvre.

        L'idéologie de notre cité, les droits de l'homme, s’accommode très bien de l'immigration. Si Anacharsis Cloots et Thomas Paine pouvaient être français, nos immigrés aussi. Quel est votre sujet de désaccord avec nombre de nos concitoyens ? Ils ne partagent ni votre attachement au mythe de l’autochtone, ni votre définition de « l'autochtonie ». Vous pouvez estimer qu'il y a de nombreuses conséquences non-souhaitables, sans tomber dans un grotesque procès d'intention à partir de déclarations.

        france2100 Bien sûr que l'ONU ne condamnera jamais l'idéologie qu'elle soutient, puisque les lois ne sont faites que pour servir les puissants. Cela n'en demeure pas moins une intention de faire disparaître un peuple, tout comme les Hans veulent faire disparaître les Tibétains. Le fait que le mot génocide n'ait jamais été employé pour le Tibet nous renseigne moins sur ce qui se passe au Tibet que sur ce qui se passe chez nous. Un effacement est évidemment un génocide.

        Mélenchon est un homme d'influence parce qu'il est chef de parti, si je me souviens bien. Etre député ou sénateur implique de participer au travail législatif des assemblées : de débattre, de voter... Difficile d'organiser un génocide ainsi. Si l'on se réfère à votre définition précédente du génocide, il faut chercher des actes qui ont participé à l'élimination totale ou partielle de tel groupe, qui témoignent de cette intention : je le répète, des actes...

        france2100 Et notez qu'il ne s'agit pas seulement de nous effacer de l'avenir mais aussi du passé : il n'y a jamais eu de peuple indigène, jamais eu de culture française, terre éternelle d'immigration, ces étrangers qui ont fait la France, et autres fictions historiques où la moitié de Versailles s'appelle Aziz et Mamadou. C'est une guerre totale qui veut effacer jusqu'à notre souvenir.

        1- Un homme n'accède à la citoyenneté ou nationalité que dans les conditions définies par une loi. Personne ne naît « français ». Naître sur une terre, ne suffit pas pour être reconnu comme membre de la communauté vivant sur cette terre : il faut une loi, une coutume...

        2- Votre conception implique certainement un mythe aussi : telle terre appartient à tel peuple. Bah non, telle terre appartient à telle société, que tant qu'elle peut la défendre. Si tel peuple est chassé et remplacé par un autre, pourquoi aurait-il une sorte de droit éternel à réclamer son ancienne terre ? Les nouveaux venus ont aussi des enfants, puis des petits-enfants, des descendants plus généralement... qui naissent sur cette terre : pourquoi ne seraient-ils pas des « autochtones » ? Combien de générations faut-il pour être qualifié de « peuple autochtone » ?

        3- Si la composition ethnique de la population change, il y a des chances que celle de notre population d'acteurs change un peu aussi, même si ce milieu n'est probablement pas un échantillon représentatif de la population.

        4- Il n'y a pas de différence de qualité entre un français « récent » et un français plus « ancien ». Il n'y a pas plus de droits ou privilèges liés à l'antériorité : l'histoire de France, et sa culture ne sont pas plus la vôtre que celle du « nouveau » Français. Dès lors qu'un individu est reconnu comme membre de notre communauté, c'est-à-dire obtient la nationalité, il s'agit de sa culture, de son histoire. Si vous compreniez un peu plus notre idéologie, vous pourriez la critiquer avec plus de justesse : vous n'auriez pas besoin de vos délires.

        france2100 Quels que soient les problèmes posés par le vieillissement de la population, ils sont incomparables avec le fait de devenir un pays africain. D'abord car les mêmes causes entraînent les mêmes conséquences qu'en Afrique, comme illustré par les territoires colonisés. L'effondrement des scores PISA aujourd'hui est celui des courbes du PIB demain, et l'explosion de la défiance, de la division et de la violence, pave la voie au chaos lorsque le pouvoir d'achat commencera à régresser.

        Mais même si l'immigration avait été bonne pour l'économie, où serait le bénéfice pour nous puisque nous sommes poussés à partir de tous les territoires colonisés les uns après les autres ?

        Si l'immigration présente plus d'inconvénients que d'avantages, il faut chercher d'autres solutions aux problèmes qu'elle sert à résoudre.

        france2100 Vous définissez arbitrairement la colonisation comme un projet économique au bénéfice du peuple colonisant, de façon à exclure la situation présente. Or quand un peuple indigène devient étranger chez lui, c'est évidemment une colonisation. Quand un peuple est forcé de quitter la terre de ses ancêtres, c'est évidemment une colonisation.

        Votre astuce habituelle : présenter une de mes définitions comme relevant de ma volonté, comme si elle n'était que l'expression de mon petit caprice. Il n'y a pas de politique de la part des migrants qui viennent en France consistant à exploiter ou s'approprier le territoire français. Ce ne sont pas des colons. En quoi le fait que de nombreux migrants viennent en France pour se retrouver au plus bas de l'échelle sociale s'intègre dans une stratégie de colonisation ? Qui serait à la manœuvre ?

        france2100 Vous ne cessez de parler de ghettos, comme si le phénomène demeurait confiné. Mais de nos jours ils occupent la moitié de l'IdF et PACA. Ce sont des villes entières qui sont déjà tombées, bientôt des régions, et ils ont commencé à s'étendre aux zones rurales. Il y a aujourd'hui des villages afro-arabes dans des départements ruraux.

        Faites une comparaison avec la conquête omeyyade de la péninsule ibérique au VIIIème pour revenir à un peu plus de raison : comprendre qu'il ne s'agit pas d'une conquête. J'attire aussi votre attention sur le fait que les « afro-arabes » ne représentent pas plus une unité que la synthèse de deux peuples...

        france2100 Je n'ai pas parlé de culture. Encore moins de déchristianisation puisque je suis athée et que la moitié des colons sont des noirs chrétiens.

        Bah non, vous ne voulez surtout pas considérer des faits qui montrent que les français d'aujourd'hui ne sont pas tout à fait comme ceux des années 1950, qui témoignent d'un changement culturel dont l'immigration n'est pas la cause, même si elle a pu accentuer le phénomène. Pour être plus clair : vos mœurs ne sont probablement pas celles de vos grands - parents ; ce n'est certainement pas imputable pour l'essentiel à l'immigration. Pour faire le lien avec mon précédent post, vos arrières grands - parents avaient peut-être déjà des mœurs un peu différentes.

        france2100 Il y a méprise sur le concept d'identité : elle est moins culturelle que sociale. Êtes-vous un eux ou un nous ? C'est un problème d'aliénation, pas de culture. Parmi des noirs je suis aliéné, quelles que soient nos cultures, et ce sera toujours vrai dans mille ans car l'humanité est grégaire.

        En fait c'est même cette ségrégation réciproquement choisie qui fait que nous maintenons des cultures différentes, révérons des personnages différents, rêvons d'histoires différentes. Ce qui renforce plus encore notre isolation. Tant qu'il y aura des noirs et des blancs, ils formeront toujours des peuples différents, et les blancs ont toujours fini par partir pour des cieux meilleurs.

        Vous préférez à la question culturelle, à laquelle vous vous référiez précédemment, la question psychologique de l'identité, qui implique de traiter un peuple comme s'il était un individu, un sujet humain qui se pose la question : qu'est-ce qui fait que je suis moi ? Pour preuve de la grande différence entre les peuples, les états d'âmes d'un individu donné d'un peuple donné, vous, face à d'autres individus supposés d'un ou d'autres peuples donnés suffisent. Votre peuple ne se résume pas à vous, non ?

          @af90 Tu n'as pas peur de faire un peu long ?
          Quel pavé ...

          • af90 a répondu à ça.

            James
            Si. J'use déjà de divers stratagèmes pour faire moins long. Mais, j'aimerais aussi ramener notre interlocuteur parmi nous, sur terre, ou à défaut, des lecteurs partageant certaines de ses opinions. Plus je fais long, moins j'ai de lecteurs ; moins je mets en évidence ses bêtises, plus elles semblent établies.

            Ca mérite une médaille au contraire de se donner autant de mal pour tenter de convaincre un esprit obtus pendant que d'autres cultivaient leurs jardins sous le soleil printannier.

              af90 notre idéologie libérale en tant qu'elle est surtout un programme de libertés aboutit à une atomisation des valeurs, des croyances, et des mœurs, et à une lutte politique entre les diverses sectes politiques

              Les libertés civiles et les possibilités d'épanouissement personnel sont sans doute les réalisations civilisationnelles dont l'occident serait en droit de tirer le plus de satisfaction.
              Et c'est aussi peut être ce qu'il a offert de mieux et de plus précieux au reste du monde.
              Une partie -importante ou non je ne sais pas- de ce reste du monde n'a pas partagé notre goût pour ces douceurs et se jure de les anéantir, l'actualité nous en donne la preuve. C'est ainsi, soyons en conscients.
              La sagesse élémentaire sera de ne pas tenter de leur imposer nos valeurs et de les laisser faire leurs choix de civilisation.
              Mais la sagesse -et la prudence- serait aussi de ne pas importer les ferments de destruction de ce qui nous est cher.
              Et aussi de nous donner les moyens de défendre ce qui compte pour nous.

              Just Sacré beau temps pour l'arrivée du printemps en effet. Les révolutionnaires avaient pondu un calendrier magnifiant les saisons de notre beau climat tempéré, comment voulez-vous que les Africains s'y retrouvent ?

              Je corrige simplement mon propos cité par Malouin : notre idéologie libérale en tant qu'elle est surtout un programme de libertés aboutit à une atomisation des valeurs, des croyances, et des mœurs, et à une lutte permanente entre les diverses sectes politiques les représentant. J'ai corrigé aussi dans le propos initial.

              af90

              • Tous les sondages sur l'immigration montrent une écrasante majorité opposée à celle-ci, alors même qu'une partie non-négligeable des sondés sont des colons ! Encore une fois vous confondez l'état et la société, les valeurs du pouvoir et les nôtres. Ce sont les maîtres qui ne font pas la différence entre peuples français, africain, arabe ou allemand : tant que ça la ferme et que ça obéit... Quel empereur se soucie de la couleur de l'esclave qu'il culbute ?

                Quant à Paine et Cloots, leur naturalisation fut une des premières trahisons de cette petite élite qui donna des droits sur notre terre à ses copains, et les plaça à notre tête. La république par et pour eux, contre nous.

              • Un nourrisson est reconnu comme membre de sa communauté par les siens avant même de comprendre qu'il a une communauté. La filiation suffit à elle seule à établir la nationalité, et c'est pour cela que tous les pays ont des lois en ce sens. Au fond, pour être membre d'une communauté, il suffit d'en être l'héritier et de lui ressembler au moins superficiellement (langue et apparence).

                La culture en soi n'a donc pas autant d'importance que vous le pensez, hormis pour la langue et la connaissance historique de la filiation : ma culture est plus proche des Américains que des Gaulois, et pourtant je suis l'enfant des Gaulois et me sens comme un étranger aux USA.

                Et surtout il est absurde de prétendre réduire un peuple à un canon culturel et idéologique, tant ceux-ci varient à travers les individus et les époques, comme illustré par l'absurdité de votre prétention à définir un Français par l'identification à des valeurs auxquelles seule une poignée adhèrent. Vous m'aviez même un jour nié ma qualité de Français au motif que je ne louerais par la colonisation des Arabes qui, soi-disant, seraient plus Français que moi !

                Alors si vous souhaitez vous aventurer sur le terrain culturel, raisonnez au moins en termes d'évolution continue et non d'instantané. Car, comme pour l'individu, le principe d'individuation d'une société est la continuité (Hume). Or le passage d'un pays blanc à un pays noir est une discontinuité.

              • Quand Mélenchon vote les lois, il en est évidemment responsable : vous êtes dans le déni.

              • Vous justifiez l'occupation afro-arabe par la force du fait accompli. A ce compte-là on peut justifier n'importe quoi.

              • Quand France Télévisions représente une Versailles afro-arabo-française par propagande coloniale révisionniste, c'est une preuve d'intégration ? Vous êtes dans le déni.

              • Il y a une différence essentielle entre les Français et les sujets afro-arabes : vous avez votre place parmi les premiers, pas parmi les seconds.

              • Bien entendu qu'Afro-arabes ne forment pas un seul peuple, et alors ? N'empêche que je ne suis chez moi ni chez l'un, ni chez l'autre.

              • Il n'y a aucune solution à un pays africain : ce pays sera pauvre et violent, et les sales blancs-toubabs-gwers-koufars y seront toujours coupables de tout. Nous allons partir, libre à vous de rester et d'apprendre le Wollof, raser les murs, lécher des babouches, vous convertir à l'Islam, et mémoriser les paroles de Djouda. Mais vous ne serez jamais chez vous pour autant, vous deviendrez simplement un guignol aliéné.

              • Pour un homme qui ne cesse de parler de me ré-ancrer dans le réel, vous semblez bien perdu dans les années 1980. Vous portez encore votre pin's touche pas à mon pote ? Bientôt vous vous réveillerez dans un pays africain, et vous mesurerez ce que vous avez perdu et consenti à voir détruit.

                Le mélange des gênes est bénéfique à l'humanité et à la vie en général, ce n'est plus à démontrer.
                La consanguinité conduit à fabriquer des tarés.

                  Jean-Aymar
                  Ce seraient donc les Afro-arabes qui seraient opposés à la colonisation des sales Français, et voteraient RN en secret, et non pas Mélenchon ?

                  Le mélange des gênes est bénéfique à l'humanité et à la vie en général, ce n'est plus à démontrer. La consanguinité conduit à fabriquer des tarés.

                  Les Ashkénazes doivent leur QI de 110 à la consanguinité (effet fondateur), en revanche je doute que tous ces Afro-arabes venus de pays avec un QI de 60-85 soient une chance pour la génétique.

                  Donc, non, le brassage génétique n'est pas toujours une bonne chose, tandis que la consanguinité propage toutes les mutations minoritaires, bonnes comme mauvaises. Et puis il faut aussi considérer la taille de la population considérée.

                  Jean-Aymar Erreur évidente. La biodiversité naît du cloisonnement des habitats rendant les populations indépendantes.
                  Avec le métissage généralisé nous serions encore tous des amibes.

                  Jean-Aymar La consanguinité conduit à fabriquer des tarés.

                  En Islande, population de 370 000 habitants, c'est un risque qui est géré.
                  En France c'est encore une excuse bidon de gens qui veulent livrer notre pays à l'étranger.
                  Si vous voulez vous suicider faites le tout seul, pas la peine d'essayer d'entrainer la France dans votre folie.

                  Jean-Aymar consanguinité conduit à fabriquer des tarés

                  Le terme usité actuellement est "déséquilibrés", pas "tarés", pour les mariés entre cousins.

                    sangtriste

                    Sur une population de 67 millions d(habitants, avec les moyens de locomotion que nous avons actuellement, et donc la possibilité de rencontres, la consanguinité est faible.

                    Elle avait lieu dans les campagnes autrefois, ou les gens se mariaient entre cousins germains, pour les terres, mais plus maintenant.

                    Donc, pas besoin de l'immigration pour lutter contre la consanguinité.

                      liberté Donc, pas besoin de l'immigration pour lutter contre la consanguinité.

                      Je dirais même plus, pas besoin de l'immigration consanguine pour lutter contre la consanguinité endogène. 8-0

                      Clair qu'à force de se marier avec leur cousine germaine les musulmans ne sont pas au mieux en matière de consanguinité.