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hubert J'ai un exemple vécu à mettre en avant, celui de ma fille, persuadée d'une vocation certaine pour l'enseignement, après l'obtention de son master, eh bien, elle a réussi à tenir trois ans, à Strasbourg, puis a démissionné sans regret, elle est aujourd'hui dans le privé, dans un autre domaine, et elle s'éclate, enfin, tout en gagnant bien mieux sa vie, en prime !
Mauvaise paie, enfant roi, parents incessamment sur leur dos. Voilà qui tue des vocations. Résultat des courses, l'EN embauche n'importe qui (comme cette libraire qui a démissionné au bout d'une semaine, après avoir été embauchée, en tant que professeure de Français, uniquement suite à un entretien téléphonique et qui ne savait pas quoi dire aux élèves une fois dans la classe).