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Just Peu importe ce qui s'est passé avant, la maîtresse n'a pas le droit de frapper un enfant, c'est la loi.
La violence n'est certes pas la solution optimale (quoique cela dépend des cas), cependant le fait d'autant médiatiser cette affaire, de licencier cette professeure, de prendre à ce point là la défense de l'enfant, tend à pervertir encore + cette société de l'enfant-roi, avec toutes les conséquences que l'on connait.
L'on attend, par la suite, les gens venir se plaindre de l'irrespect grandissant de la jeunesse à l'égard d'adultes qui ont de moins en moins de leviers pour agir sur eux (et ensuite l'on viendra nous dire qu'il faut expulser de leurs logements les parents d'enfants qui dérapent lors même que dès qu'ils tentent d'agir, on les sanctionne).