colomba Je vous parle de l'actualité et pas d'un temps que les moins de vingt ans ...
Ah ! Parce qu'il y a des émeutes tous 15 jours dans les banlieues... Je le note, ça pourra toujours resservir.
colomba Les dégâts sont sans commune mesure avec tout ce que nous avons connu en juin par exemple.
Et donc, sous ce couvert-là, tout serait acceptable ?
colomba Mais " le paysan bashing " qui sévit aujourd'hui
D'accord avec ça, sauf que j'ai eu l'occasion d'en fréquenter dans une ancienne vie pro, et si certains étaient plutôt sympas et m'invitaient à boire le café, ils avaient tous un point commun qui était celui de toujours se plaindre. Je n'en ai pas connu un seul qui ne se plaigne pas, pas un seul !!! Y compris ceux qui roulaient dans des grosses berlines et qui allaient à la chasse 2 ou 3 fois par semaine !!! Les mêmes d'ailleurs qui te flinguaient les haies et les alignements de chênes ou autres pour gagner quelques m² de maïs.
Perso, sous l'excuse qu'ils nourrissent les gens, je ne suis pas prêt à tout accepter de leur part, même si tous ne sont pas à la fête.
liberté La plupart n'ont jamais travaillé ne serait ce que dans un jardin ou simplement un petit potager.
En voilà un autre avec ses idées toutes faites et ses caricatures, comme si dans les villes ou leurs faubourgs il n'y avait pas de potager, voire des poulaillers, en périphérie... Les boulets de l'ED, invariablement, et leurs stéréotypes à deux balles. Je t'aurais bien refiler un de mes bocaux de cornichons du jardin, mais ce serait filer de la confiture aux cochons...
brisdeglace Même l’Ukraine, avec son agriculture à pas cher, devient un souci...
Et ce n'est pas pays e plus cité, pourtant ! Suffit de voir les mouvements en Pologne et en Roumanie pour se faire une idée des avantages accordés à l'Ukraine agricole.
Just Chez nous, ils ouvrent les barrières de péage car ils sont forcément plus intelligents... 😉
Et ils ont bien raison, comme ont raison ceux qui arrêtent les camions étrangers, les vident et refilent les denrées aux nécessiteux plutôt que les laisser pourrir sur les accotements.