[supprimé] Tu exagères, je ne trouve pas qu'il y ait des insultes ici, sauf à faire de tout une insulte.
Peut-être cultivez-vous l'euphémisme; le ton utilisé est souvent inutilement agressif. Mais je vous rassure tout de suite, je ne suis pas impressionnable.
Si vous ne choisissez pas votre camp, c'est évidemment votre droit, mais "quelqu'un" finira par le choisir pour vous.
[supprimé] Je te renvoie la balle sur un certain aveuglement à n'avoir par vu le jeu de l'OTAN, et donc des USA, depuis la fin de l'URSS, y compris avec l'Ukraine.
Par contre, vous n'avez pas décelé le jeu de Poutine qui a tenté de chloroformer l'Allemagne, et subsidiairement le reste de l'Europe, avec des effluves de gaz et de pétrole, et quelques prébendes comme le graissage de la patte de Gerhard Schröder.
Suite à la passivité d'Obama lors de ses aventures en Géorgie et en Syrie, et la non-réaction du monde occidental à son invasion du Donbass et de la Crimée, il a cru que l'Occident resterait inerte une fois de plus à la suite de son "opération spéciale de février dernier.
Et il s'en est fallu de peu qu'il réussisse: si les Ukrainiens n'avaient pas fait preuve de courage et de détermination et avaient déposé les armes après quelques jours, le monde occidental serait resté passif, comme le montre l'offre des USA d'exfiltrer Zélensky.
Le refus du taxi par Zélensky et la résistance de l'armée et du peuple ukrainiens ont, en quelque sorte, forcé l'Occident à lui porter assistance.
Si l'Occident est coupable de quelque chose, c'est de s'être laissé endormir par les manoeuvres de Poutine qui a bien joué son rôle d'hypnotiseur, tant vis-à-vis de l'Europe que des USA.
Mais ce rôle de pacifiste était manifestement à contre-emploi (le "benêt" Hollande l'avait perçu lors de leur rencontre à l'Elysée en 2017), et sa véritable nature a maintenant éclaté au grand jour.
Que les USA aient commis des erreurs et des fautes ne justifie pas de prendre systématiquement fait et cause pour leurs ennemis. Il n'est pas interdit d'exercer son libre-arbitre et de "juger" (c'est un mot que je n'aime guère) sur pièces, avec lucidité, et en toute indépendance.