candidus Attendez voir, c'est pas Zélenski que certains honoreront s'il parvient à percer les lignes jusqu'à Moscou ? Ses généraux il s'en fout.
Pour ce qui est de Staline et Joukov.
Staline ne s'est pas révélé être un très fin tacticien.
Sa maladie (la parano) le poussait à éradiquer bon nombre de ses officiers, pourtant irréprochables.
Quant à ses décisions, la plupart ont été mauvaises.
Il n'avait pas vraiment le sens du terrain, mais plutôt le sens de la bête, pour ce qui est de massacrer tout ce qu'il pouvait massacrer.
Concernant Joukov, qui osait contredire son patron Staline, il a été limogé, voué aux gémonies, pour être rappelé en renforts, puisque Staline était face à une grosse pénurie de généraux, à force de les avoir dégagés ou exécutés.
En ce qui concerne la bataille de Stalingrad, clair que le bénéfice de la Victoire, il se l'est arrogé tranquillou.
Mais, c'est bien Joukov entre autres chefs d'armée qui ont permis cette gigantesque victoire, fatale pour l'armée nazie.
Le seul point qu'on accorde à Staline, c'est sa propagande MASSIVE, diffusée par haut parleurs sur la nécessité de mourir pour sa patrie, contre l'ogre Nazi.
Mais, techniquement, il s'agit heureusement pour nous, du sens du terrain et militaire que Joukov avait en lui.
On retrouve un peu ce tableau, en Ukraine, avec l'offensive de Poutine qui se prend carrément pour Staline maintenant.
C'est bien Sourovikine qui a forcé Poutine à admettre qu'il était légèrement plus intelligent de lâcher Kherson.
A noter que ce chef des armées a lui aussi été limogé, après la grosse baffe reçue à Makiivka (les sales ukro nazis ont profité des débiles soldats russes communicant avec leur portable, pour balancer un sale missile sur leur dortoir. Bilan, 600 morts nets, d'un seul coup) SOurovikine y a perdu son titre de chef de la bataille.
Alors qu'il est l'un des meilleurs éléments militaires de l'offensive russe (c'est lui qui a ordonné les missiles sur les centrales électriques ukrainiennes, c'est dégueulasse, mais nettement plus malin que toutes les conneries des chefs Russes précédents)
De toute évidence, sur le plan stratégique Joukov connaissait son affaire, contrairement au gros malade qu'était Staline.
Il en va de même pour Sourovikine, face à Prigogine ou Poutine.
Tot ou tard, Poutine rappellera Sourovikine à la tête des opérations, puisqu'il a été le plus sensé, et le plus utile à l'opération russe, globale.
Accessoirement, Sourovikine fait partie des putschistes de la fin de Gorbatchev, et un des artisans des boucheries d'Afghanistan, Tchétchénie et de Syrie.
Mais, avec l'accent de la Wehrmacht: "à la kuerre comme à la kuerre"