vlaams elle est bien plus dure à supporter pour les classes moyennes
Ne pouvant foutre le camp, ils en sont réduits à tenter la fraude fiscale ou à subir, mais sinon oui.
vlaams Tu nous expliques que si ces parasites quittent le pays, alors c'est l'ensemble de la société qui en souffre
En effet, cher grand ami.
vlaams puis tu nous balances un graphique où l'on est censé observer que l'accroissement de la paupérisation des français est moindre qu'au sein des États-destinations de ces apatrides(bon certes il n'y a ni les données des EUA, ni du RU en soit; mais l'idée est là).
C'est parfaitement curieux.
Manifestement, les conditions nécessaires à leur retour ne semble pas aller dans le sens du bien et de l'enrichissement collectif; au contraire.
Mais si, bien évidemment. Leur départ diminue l'emploi et les recettes fiscales, et augmente donc la pression sur les systèmes sociaux et les classes moyennes en leur faisant supporter une plus grande part de l'effort de réduction des inégalités. Tout le monde est perdant au départ de nos bienfaiteurs.
vlaams C'est con, pour celui du rapport interdécile, qu'il s'étale sur une période aussi courte; depuis 1700, on aurait sûrement eu un meilleur effet visuel. Et ça restait très à propos.
Vos sarcasmes ne changent rien à la réalité. Les inégalités ont beaucoup diminué sur le long terme. Depuis les années 80, elles stagnent, malgré un effort toujours croissant de redistribution. Et pour cause, pour réduire les inégalités le premier moyen est d'abord de créer des emplois et de la valeur ajoutée ; le départ de ces riches employeurs indûment ponctionnés n'y contribue pas.