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  • Modifié

courtial des journalistes, l'objectivité est celle des faits, rien que les faits, qui doivent impérativement être distingués des points de vue subjectifs

Et bien dans ce cas des véritables journalistes il ne doit plus en rester beaucoup, leur façon permanente de toujours tout gauchiser.
Le choix des sujets de façon de les surexposer ou zapper.... et aussi l'habitude constante d'amplifier certains faits et de nier ou en minimiser d'autres.
Et c'est tout le temps partout depuis des décennies.

france2100 La prétention progressiste à l'objectivité n'est qu'un mensonge

Ils ne cherchent même plus à faire semblant d'être objectifs, ceux qui le prétendent encore sont les collabos tous négationnistes à ce sujet qui ne le font que pour se foutre de la gueule des autres qui ont compris le subterfuge depuis longtemps.
La propagande en est arrivée là depuis longtemps

    Jean-Aymar
    Diantre
    Analyse géopolitique de qualité, c'est vrai qu'en matière d'adhésion, avec le père Jean-Cul, ça colle, oups, le père Jean-Luc, ça colle de plus en plus, et maintenant, pour gagner, faudrait que ça "décolle" !
    Rapidement (reste 8 jours pour l'Europe)
    hub'

    Selon la définition de crimes contre l'humanité accolée à l'action du hamas, on peut certainement appeler complices tous ceux qui approuvent implicitement ou non, leurs actions. Et pour cela, la clique de Mélenchon peut être accusée de complicite avérée de crimes contre l'humanité.

      • [supprimé]

      • Modifié

      La France islamisée n'est pas le rêve de Mélenchon qui lui ne veut que l'accélérer.
      C'est cette réalité que les français ont eux même créé par leurs votes depuis 1981.
      Même sans Mélenchon il suffit de continuer à voter toujours pour les mêmes et de laisser faire les choses pour arriver au même résultat.

        Le socialisme quelle bénédiction !

        Après des années de socialisme en France, comment est-il possible que notre pays compte des millions de chômeurs, des millions de pauvres, un énorme déficit sans fond et des milliers d'entreprises détruites ou incrées ?

          4 jours plus tard

          Pierre Perret le gauchiste, contre contre Rima Hassan des Insoumis.

          "Mes fidèles loulous attention

          Oyez en grande précaution

          Les folles élucubrations

          D'une pasionaria en carton

          Sais-tu pourquoi RIMA Hassan

          En tes veines dépourvues de sang

          Circule un jus nauséabond

          C'est parce qu'il n'est que du poison

          "Le chant des partisans", "Lily"

          Tous ces poèmes ont fait le lit

          De ceux qui combattent la haine

          Qui met ce sang noir en tes veines

          Tu crois faire de la résistance

          Tu n'résistes qu'à l'intelligence

          Celle du cœur dont tu ignores le lien

          Et ton combat ne rime à rien"
          https://www.jeanmarcmorandini.com/article-573908-la-violente-charge-de-pierre-perret-contre-rima-hassan-des-insoumis-met-le-feu-sur-les-reseaux-rima-hassan-en-tes-veines-depourvues-de-sang-circule-un-jus-nauseabond-c-est-parce-qu-il-n-est-que-du-poison.html

            Fichtre
            Pierrot Perret a fait marche arrière, menaces de mort à la clé !
            Cette saleté de Rima .... rien ... ne mérite que le mépris ....
            La macronie impuissante laisse faire ....
            Honteusement
            hub'

              france2100

              Entièrement d'accord, rien à modifier pour moi.
              La religion du fait que j'ai formulée, se heurte en réalité à quelques obstacles, obstacles "épistémologiques" dirait peut-être Bachelard, en particulier qu'on ne sait pas très bien ce qu'est un fait, assurément, et que ceci peut varier en raison du contenu considéré (ou de la discipline pratiquée). "Le fait est déduit, le fait est construit", disait Gaston .
              J'en avais donné un exemple il y a peu à propos d'un débat entre Rioufol et un sociologue dont le nom m'échappe (je ne le connais pas), le sociologue considérant que les faits, ce sont ses statistiques et ses enquêtes sociologiques qui les établissent, Rioufol préférant, en bon journaliste, ériger comme des "faits" son expérience personnelle, ce que lui propose son idéologie et ses employeurs, et ce que lui dit son doigt mouillé, doigt qui est chez lui la mesure de la vérité. Ainsi, il est bien vrai qu'il a vu trois Arabes sur un trottoir, ce qui est, à ses yeux, le "fait" que la France est envahie et grand remplacée. Quiconque propose une factualité qui déroge aux oracles de son Doigt qui voit tout n'est qu'un idéologue, un militant, un manipulateur, un vendu aux Arabes, un collabo.

                [supprimé] Et bien dans ce cas des véritables journalistes il ne doit plus en rester beaucoup, leur façon permanente de toujours tout gauchiser.
                Le choix des sujets de façon de les surexposer ou zapper.... et aussi l'habitude constante d'amplifier certains faits et de nier ou en minimiser d'autres.
                Et c'est tout le temps partout depuis des décennies.

                Tout à fait, mais je dirais qu'il y a aussi une façon permanente de toujours tout droitiser. En revanche, je n'attaquerais pas spécifiquement les journalistes, qui ne sont ici en première ligne que ex professo : de par leur métier, on les entend ou on les lit plus que les autres.
                Mais ce que vous pointez ne date pas d'hier (quelques décennies), a toujours existé, cela ne devient manifeste qu'à partir du 19ème siècle, je dirais, à la louche.
                Je crois que quelles que soient les convictions politiques par ailleurs, l'apport de Karl Marx sur cette question est tout à fait essentiel. Qui est qu'il ne suffit pas de dire qu'en mettant en lumière tel aspect du réel, en adombrant un autre, ou en niant carrément d'autres encore, on ne choisit pas cela pour le simple plaisir de mentir. On le fait parce qu'on y trouve un intérêt, et qui est pour Marx un intérêt de classe. Il n'a pas besoin d'être bien conscient pour être effectif (=hypothèse du complot inutile et incertaine).
                Après on peut chipoter et compliquer le truc et ça me semble souhaitable et légitime, mais cela ne change pas la base.

                  • [supprimé]

                  courtial un idéologue, un militant, un manipulateur, un vendu aux Arabes, un collabo.

                  en gros l'AFP et toute la doxa médiatique depuis 40 ans environ.
                  et cette dictature de la désinformation critique et voudrait interdire toute autre voix
                  c'est à ça qu'on les reconnait disait Audiard et y'en a qu'on voit de très loin ,
                  depuis combien de temps tu tournes en orbite autour du ministère de la vérité ?

                    courtial

                    La religion du fait que j'ai formulée, se heurte en réalité à quelques obstacles, obstacles "épistémologiques" dirait peut-être Bachelard, en particulier qu'on ne sait pas très bien ce qu'est un fait, assurément, et que ceci peut varier en raison du contenu considéré (ou de la discipline pratiquée). "Le fait est déduit, le fait est construit", disait Gaston .

                    Vous pensez comprendre mais ce n'est pas le cas, comme en témoigne cette caricature dans laquelle vous opposez anecdote et statistiques, comme si tel était le problème.

                    La science est une discussion, pas une boule magique à produire des réponses. Le choix des questions et méthodes d'un article repose toujours sur des prémisses idéologiques discutables, et une étude produit rarement plus que ce qu'on y met en entrée. Or, le corps universitaire étant socialement homogène, toutes les études partagent les mêmes prémisses, ce qui est empiré par le climat épurateur qui fait qu'aucun universitaire ne peut questionner celles-ci sans voir sa carrière et ses chances de publication compromises, et que ses résultats seront niés quelle que soit la qualité de ses travaux, car il y aura cent fois plus d'études de l'autre côté.

                    Vous pensez saisir les problèmes épistémiques, et c'est tout le contraire car vous n'avez jamais pondu une seule étude scientifique de votre vie, ni même écumé des papiers de recherche, si bien que vous avez, à l'instar des journalistes, une idée ridiculement naïve de la production de la connaissance. Et le mot épistémique n'est pas propre à Bachelard, soit dit en passant.

                    Je n'ai pas lu l'article que vous évoquez, mais je subodore ceci : d'un côté un universitaire prétendant prouver l'absence de remplacement par une méthodologie statistique faussée - généralement par un mauvais choix de définitions et de questions -, de l'autre un homme du commun rappelant l'évidence que tout le monde voit et que même Mélenchon ne conteste pas (il s'en réjouit).

                    Or c'est bien l'observation qui doit être l'arbitre de la science, pas les mathématiques. Imaginez si Flemming était passé à côté de la pénicilline parce que sa métrique du taux de couverture du film bactérien lui avait empêché de reconnaître qu'il n'y en avait pas sur l'une de ses cultures. Les maths ne sont qu'un outil, avec lequel on démontre des choses fausses si le modèle est faux.

                    courtial
                    Je n'ai pas connaissance que Marx ait postulé que l'intérêt de classe déforme notre perception du réel, et cela me semblerait surprenant pour un auteur du XIXè. A quels texte ou expressions faites-vous référence ?

                      J'avais de la sympathie pour Pierre Perret, il me déçoit beaucoup, je pensais qu'il était au dessus de tout ça.
                      Il devient sénile maintenant...

                        Jean-Aymar
                        Ces textes sont trop drôles.
                        Il change aussi, comme la majorité des Français , sous la pression du réel.

                        france2100

                        L'intérêt de classe conditionne la perception du réel, il la commande. Vous pouvez dire "déforme" si vous supposez, comme je crois, qu'il y a une présentation réelle (die wirkliche Darstellung, dans son patois). C'est la question de la science et de l'idéologie et pour la référence, c'est passim.
                        Bachelard n'a certainement pas inventé "épistémique", je ne sais pas même s'il l'emploie, en revanche il parle d'obstacle épistémologique ; ce qui m'intéresse, c'est "obstacle", pas "épistémique". Il y a de la science non pas seulement quoique y ait des obstacles, mais parce qu'il y a de tels obstacles.
                        Je ne vais pas jouer avec vous à qui a écrit les articles les plus importants et je suis nul au poker, et incapable de deviner si vous bluffez, question d'ailleurs sans intérêt.
                        Mais vous prenez les questions universitaires que vous évoquez exactement dans le biais (comme on dit) que vous avez l'air de dénoncer : c'est le procès du droitard qui râle parce que l'Université est gangrenée par le gauchisme, antienne qui peut séduire les refusés de thèses ou les collés à l'agreg mettant leurs échecs sur le compte des complots bolchéviks.