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france2100 Les études disponibles sur le QI proviennent de sources universitaires reconnues et ne sont pas controversées, sauf exception, et laissent entrevoir de très larges différences de QI (60+ ou 70+ pour l'Afrique de l'ouest, 80+ pour les Maghrébins, Méso-américains, et Mezrahims, 100+ pour les blancs, 105+ pour les est-asiatiques, 110+ pour les Ashkénazes).
La seule inconnue est l'influence respective de l'inné et de l'acquis, qui est en partie levée par les transplantations de ces populations ou d'hybrides (Afro-américains, 85+) dans des pays riches, où il est de plus en plus difficile de trouver des facteurs environnementaux pour expliquer les différences.
Ces études se basent sur une étude etasunienne qui est relativement ancienne. Tout d'abord, les tests de qi souffrent de nombreux biais et ne permettent nullement de mesurer l'intelligence (encore faut-il s'entendre sur ce qu'est l'intelligence et c'est déjà une notion sur laquelle il n'existe pas le moindre consensus dans la communauté scientifique).
De +, selon les tests (qui diffèrent entre-eux), les individus peuvent être + ou - fortement favorisés selon leur culture, selon leur langage, selon le fait qu'ils aient déjà fait ce genre d'exercices etc....
En conséquence, absolument aucune conclusion ne peut être formulée suite aux scores obtenus.
Quant à l'influence de l'inné et de l'acquis sur la capacité à réussir à des tests, qui sont déjà trop limités pour espérer reproduire une mesure de l'intelligence parmi les différents groupes humains, personne n'est en capacité d'affirmer avec certitude (et personne ne le fait d'ailleurs, il n'y a pas la moindre levée de doute, contrairement à ce que vous dites. aucun consensus n'existe sur le sujet) que l'inné produit une quelconque influence sur ces tests.
Donc clairement toute votre théorie n'est que la résultante de votre idéologie identitaire/suprémaciste et nullement la résultante de travaux scientifiques.