cadmos Evidemment eh banane, c'est lui qui définissait la loi 🤣

Jusqu'en 1905... voilà.

Tu crois donc que Napoléon a fait son empire à partir du catholicisme ?
J'ai l'impression de répondre à des demeurés.

La laïcité de l'État
Contrairement à la période monarchique où le catholicisme était la seule religion autorisée, désormais les habitants disposent de la liberté de conscience.

L'état civil est confié à l'État et non plus à l'Église catholique (ce qui permet aux non-catholiques de bénéficier d'un état-civil légal), cela permet de stabiliser la famille, un des piliers de la société bourgeoise.

Le divorce, rejeté par l'Église catholique, mais permis par le protestantisme et le judaïsme, introduit dans la législation française depuis la Révolution est maintenu mais est très limité.
https://fr.vikidia.org/wiki/Code_civil_napol%C3%A9onien#Contenu_du_Code_Napol.C3.A9on

cadmos

Tu as tout à fait raison, l’Islam se pratique depuis longtemps en France, et n’a jamais posé de problème depuis des siècles. Du moins jusqu’à cette dernière décennie.

Mais c’est pour une raison précise. Les musulmans qui venaient s’établir en France jusqu’ici venait s’y installer avec l’intention de s’intégrer à la population française. Et généralement y parvenaient. Plus ou moins difficilement parfois, mais y parvenaient. Il suffit de regarder les organigrammes des entreprises et tu y trouves maintenant des noms musulmans de plus en plus nombreux à des postes de plus en plus élevés. Ce sont les petits enfants des algériens des Trente Glorieuses qui entrent maintenant dans les grandes écoles de commerce. La liste publiée chaque année des nouveaux préfets est parfaitement éloquente. Certes, leur premier poste sera celui de sous-préfet et pas celui de conseiller ministériel, mais cela va venir.

Mais à part une minorité, il s’agissait surtout d’une main d’œuvre peu qualifiée, ou pas qualifiée du tout, qui était parfaite pour les entreprises. Pour différentes raisons évidentes, ces postes de travail n’existent plus en bonne partie, nous n’avons plus d’industries, et de nombreux jeunes musulmans s’estiment peu pris en charge par l’État, et défavorisés socialement. Et en rendent responsable la société. Bien que de nombreux autres jeunes, mais non musulmans, se trouvent dans la même situation.

Et c’est là qu’interviennent les agitateurs musulmans qui, eux, ont des visées de nature politique. Et font tout ce qu’ils peuvent pour gêner une assimilation potentielle. La meilleure manière de séparer le peuple peu favorisé socialement de l’encadrement moral (je veux dire juridique et de comportement, pas religieux) qui devrait être le sien, est de l’inciter à ne pas respecter les directives qui sont censées s’appliquer à tous. Sous prétexte que la société les traite moins bien que d’autres, moins bien que des français d’origine. Ils sont davantage chômeurs et mal traités par la police. Et surtout, l’argument massue, la Loi qu’ils doivent respecter ce n’est pas celle que soutien la police, c’est celle de ses maîtres de conscience religieux. Les enseignements du Coran, tels que les leur apportent les prêcheurs et imams en tous genres qui parlent au nom de Dieu. Et la Loi de Dieu doit gouverner le musulman, avant la Loi de la République.

Et si tu as des individus, musulmans ou non, de n’importe quelle origine, qui s’estiment mal traités par le pouvoir dont ils dépendent, surtout des jeunes, facilement exaltés, auxquels l’on fournit un prétexte pour foutre le bordel s’ils en ont l’occasion, alors comme tous les jeunes du monde, ils s’ingénieront à le faire. C’est dans l’ordre des choses.

    Sargon Tu as tout à fait raison, l’Islam se pratique depuis longtemps en France

    La présence de l’islam en France sous l’Ancien Régime et la Révolution française se réduit à peu de chose.
    Tout au plus, on peut parler de barbaresques et leurs esclaves et des commerçants à Marseille et à Toulon, à travers une documentation relative aux « cimetières » et à une « mosquée » mythique. la France jusqu’au XXe siècle ne fut pas une terre d’accueil pour les musulmans. Inversement, l’islam a fait l’objet de vives polémiques et a servi de caisse de résonance pour les conflits idéologiques et religieux internes, entre la génération dévote et les intellectuels des Lumières, entre catholiques et protestants. Voltaire est certainement l’un des intellectuels les plus emblématiques de ces débats concernant la « tolérance islamique » pour l’opposer à « l’intolérance catholique ». En définitive, ces discussions débouchent sur une idéologie civilisatrice avec la Révolution et surtout Napoléon: ainsi, ce dernier reprend le même chemin que Saint Louis, mais non pas pour la gloire de la croix, mais pour répandre la civilisation « universelle » engendrée par la Révolution.

    Sargon l’Islam se pratique depuis longtemps en France, et n’a jamais posé de problème depuis des siècles. Du moins jusqu’à cette dernière décennie.

    Jusqu'à présent, les musulmans baissaient la tête. Maintenant, ils la relèvent.

      tiresias Jusqu'à présent, les musulmans baissaient la tête. Maintenant, ils la relèvent.

      Ils étaient une poignée, ils sont devenus des millions.

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      Sargon Tu as tout à fait raison, l’Islam se pratique depuis longtemps en France, et n’a jamais posé de problème depuis des siècles. Du moins jusqu’à cette dernière décennie.

      ... La loi du nombre, en démocratie, donne des ailes ... des espérances et influences démocratiques.

      Sargon Du moins jusqu’à cette dernière décennie.

      Mal nommer les choses, c'est ajouter au malheur du monde disait l'autre.

      Aujourd'hui, mélanger islam avec islamisme, c'est accuser tous les Mouloud d'être des tueurs de Samuel Paty.

      un mois plus tard

      Enseignants, parents et élèves refusent de nommer un collège “Samuel Paty”
      « Nous sommes en train de nous coucher »

      « Je suis Samuel » semble battre de l’aile donc, alors que la communauté enseignante enfonce le clou en avouant avoir peur d’être « des cibles », et précisant que cela éviterait « des risques ». Autre excuse trouvée : Samuel Paty n’a pas de liens avec la commune d’Ollioules. Enfin, une « rue du Colonel Arnaud Beltrame » existe déjà, « cela fait beaucoup », laisse-t-elle entendre.
      Pour le maire, il s’agissait seulement de « rendre hommage à ce professeur tué dans des conditions horribles ». Auprès de nos confrères de France Bleu, Robert Beneventi a tempéré la polémique tout en fustigeant « l’état d’esprit général de notre pays ». « C'est la pusillanimité qui règne aujourd'hui et c'est préoccupant. On ne s'en rend pas compte, mais nous sommes en train de nous coucher et de laisser filer les valeurs de la République. Il faut se redresser et défendre ces valeurs », a-t-il poursuivi. Il va désormais s’atteler à trouver une autre forme d’hommage pour Samuel Paty.
      https://www.valeursactuelles.com/societe/enseignants-parents-et-eleves-refusent-de-nommer-un-college-samuel-paty-dans-le-var-127879

      Je ne sais pas ce que les français attendent mais de toute évidence l'islam dit politique gagne non seulement de plus en plus de terrain dans les coins ayant une population musulmane importante mais surtout par la terreur, il a réussi à faire peur aux français qui préfèrent se coucher plutôt que le combattre pacifiquement (pour l'instant) car l'initiation de ce maire est aussi un combat pacifique contre ce que l'on nomme islamisme.

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        Enseignants, parents et élèves refusent de nommer un collège “Samuel Paty”

        Bien.
        La communauté scolaire a autre chose à foutre que de porter des messages. On vient à l'école pour travailler, et dans le calme.
        Samuel Paty n'a pas marqué la culture française. Ce n'est pas non plus un héros.
        Pourquoi pas un lycée Charb en lieu et place du lycée Montaigne, ou lycée JSC (je suis charlie) à la place du lycée LLG.

        Démagogie d'une époque, récupération des causes par les hystériques de tous bords.

        Écoeurant.
        D'abord, là dessous, permettez-moi de soupçonner une tambouille dégoûtante d'un maire en mal de visibilité : aucun élu municipal n'a voix au chapitre dans les décisions concernant les collèges. 10 contre 1 qu'il se présente aux prochaines élections. C'est son grelot, un truc qui fait pouet pouet.

        Ensuite, je vomis les enseignants qui refusent qu'on rebaptise leur collège sous prétexte de s'identifier comme cibles. Déculottés, foutriquets. Beurk. Point de culture dans leurs synapses. Des collègues comme ça, je leur fous le feu. Et je leur envoie un Morokon à la machine à café, pourvu que ça chuchote dans son sillage, tiens. Paf.

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          Dashwood Et je leur envoie un Morokon à la machine à café, pourvu que ça chuchote dans son sillage, tiens. Paf.

          Dans un collège.
          Tu veux faire de moi un criminel ?

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            Il me semble que la gestion des collèges est assurée par le département , la ville n'a pas à mettre son nez là dedans . Après pour changer le nom d'un collège je ne sais pas qui est habilité à le faire .
            Et franchement , il y a d'autre chose à faire en ce moment .

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              [supprimé] Après pour le nom d'un collège je ne sais pas qui peut le faire .
              Et franchement , il y a d'autre chose à faire en ce momen

              Le CA de l'établissement doit se prononcer.
              Puis le maire émet un avis.
              Enfin le Conseil général (collège) adopte la proposition en délibération.

                [supprimé] Ecoute: deux heures avec des cinquièmes et je t'envoie un prof de techno pour te faire la conversation alors que tu hésites entre un flingue et un lexomil? J'imagine...

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                Donc au départ, c'est un principaillon qui a voulu être dans l'air du temps, pour obtenir un lycée à la prochaine mutation.

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                  Dashwood A titre purement consultatif, et encore, par politesse.

                  La circulaire du 28 janvier 1988 précise néanmoins « qu’il est traditionnellement admis que les témoignages officiels de reconnaissance doivent être réservés aux personnalités qui se sont illustrées par des services exceptionnels rendus à la nation ou à l’humanité ou par leur contribution éminente au développement des sciences, des arts ou des lettres. Il est d’usage par ailleurs que les choix arrêtés en matière d’hommages publics ne concernent en principe que des personnalités décédées depuis au moins cinq ans ».

                  Article L. 421-24 du Code de l’éducation

                  La dénomination ou le changement de dénomination des établissements publics locaux d’enseignement est de la compétence de la collectivité territoriale de rattachement. Dans le cas des lycées, établissements d’éducation spéciale, lycées professionnels maritimes, établissements d’enseignement agricoles visés par l’article L. 811-8 du Code rural et collèges, la collectivité recueille l’avis du maire de la commune d’implantation et du conseil d’administration de l’établissement.

                  Pour les collèges, apparemment c'est le Conseil général qui décide tout seul. Mais bon, le principaillon est aussi forcément dans la combine.

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                    J'imagine que pour des raisons de démocratie de pacotille, on fait tout de même semblant de consulter...

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                      [supprimé]

                      J'aimerai bien un LP en boulangerie à mon nom , ça fait un peu mégalo , mais bon .