- Modifié
en gros les pays principaux que j'ai cité, manquait l'Inde
tous les pays du Sud sauf le sud global serait donc bien plus pertinent
en gros les pays principaux que j'ai cité, manquait l'Inde
tous les pays du Sud sauf le sud global serait donc bien plus pertinent
Jiimmy arbitrairement
Juste pour le fun, je relève ce point qui relève comme le reste que d'une succession d'anathèmes étayés par absolument peau de zob.
Il a tout simplement mis en relation les ressources dégagées par le système de retraite en France en face des dépenses pour ces mêmes retraites.
Le truc subtil, difficile à suivre apparemment...
Mais on ne peut pas le faire, c'est "arbitraire"!
On pourrait presque s'en inquiéter s'il ne s'agissait pas d'une qualification grotesque.
Jiimmy La diversification des financements est une chose actée et légalement prévue...
Et?
"On ne peut pas dire que la diversification des financements est un pur artifice comptable pour transférer de la dette de gauche à droite et de droite à gauche: c'est fait pour d'autres postes de dépenses! C'est bien la preuve..."
La preuve que vous n'êtes pas doué pour créer des nuages de fumée?
Jiimmy Sylvain Catherine vous avez tort lorsque vous choisissez de procéder exactement comme ceux que vous désirez réfuter
Vous feriez mieux d'aller sur Twitter lui porter la contradiction pour que d'autres que les membres du fopo puissent rire.
Jiimmy Cela fait bien longtemps que divers économistes
A peu près inexistant académiquement. Et comme c'est généralement le cas pour les chercheurs que tout leur domaine ignore, ils existent uniquement via les médias.
Il suffit d'écouter Timothée Parrique: il ne fait que défendre un contrôle quasi total de l'économie (ce qui a historiquement toujours très bien marché...), la fin du capitalisme (comme c'est original et étonnant!) et un appauvrissement qu'il camoufle avec des formules fumeuses ("sobriété", "richesses sociales et écologiques").
M'étonne d'ailleurs pas qu'il trouve grâce à vos yeux.
Bref, c'est un coco honteux. Comme de nombreux verdâtres d'ailleurs.
Jiimmy Vous n'avez pas l'impression d'être perdue dans vos raisonnements ?
Encore un qui devrait poser un filtre anti reflet sur son écran d'ordinateur...
grishka Il a tout simplement mis en relation les ressources dégagées par le système de retraite en France en face des dépenses pour ces mêmes retraites.
Le truc subtil, difficile à suivre apparemment...Mais on ne peut pas le faire, c'est "arbitraire"!
On pourrait presque s'en inquiéter s'il ne s'agissait pas d'une qualification grotesque.
En l'occurrence, si je procède de même en mettant en relation les ressources perdues du fait des subventions aux entreprises sur les 10 dernières années et l'évolution de la dette, j'arrive à expliquer, avec la même logique que Sylvain, environ la moitié de notre dette publique.
De même, si je mets en relation les baisses de recettes fiscales annuelles (60 milliards) sous macron et l'évolution de cette dette depuis son investiture, j'arrive à expliquer une bonne partie de la dette également.
De même, si je mets en relation les renflouements des banques avec de l'argent public suite à la crise de 2007 (qui est d'ailleurs le vrai point de départ du gros dérapage des finances publiques et du gonflement de la dette) avec le creusement de la dette etc.....
Tout cela pour dire que c'est bel et bien arbitraire. L'on peut procéder, avec la même logique, pour décrier (de manière factuelle) d'autres éléments relatifs à notre système économique. Encore faut-il disposer du minimum d'honnêteté intellectuelle pour le reconnaitre.
grishka A peu près inexistant académiquement. Et comme c'est généralement le cas pour les chercheurs que tout leur domaine ignore, ils existent uniquement via les médias.
Mais comme vous n'y connaissez rien en économie, difficile de juger qui est reconnu et qui émet des travaux de qualité .......... (mais c'est toujours + facile de disqualifier la personne plutôt que ses arguments).
Jiimmy En l'occurrence, si je procède...
Pour l'instant, vous n'expliquez rien: vous alignez des mots.
Toujours soutenu par peau de zob.
Et surtout avec une logique défaillante: il existe un système de retraite qui est censé financer les retraites. Oui, c'est subtil comme raisonnement.
Et attention, toujours très subtil: si le système ne couvre pas ses dépenses, il est financé par de la dette.
J'attends avec une grande impatience vos démonstrations sur la base des mêmes prémisses.
Jiimmy Mais comme vous n'y connaissez rien en économie, difficile de juger qui est reconnu et qui émet des travaux de qualité
Exactement comme n'importe quel milieu académique: nombre de publications, citations, conférences invités.
Et contrairement à vous, je peux poster ce que j'ai trouvé, au-delà de l'alignement de mots.
Timothée Parrique est connu pour le nombre de téléchargement de sa thèse et le nombre de ses bouquins vendus.
Le plus révélateur, c'est qu'il se met lui-même en avant sur cette base: grotesque.
grishka Et attention, toujours très subtil: si le système ne couvre pas ses dépenses, il est financé par de la dette.
Ce qui est totalement erroné. Ce n'est pas de la dette qui finance le manque à gagner mais la réimputation d'autres ressources destinées à financer la protection sociale sans être originellement attribuées à telle ou telle prestation (c'est une sorte de grand panier qui sert à financer les différentes dépenses sociales). D'ailleurs les ASSO possèdent un solde légèrement excédentaire : https://www.budget.gouv.fr/panorama-finances-publiques
grishka Depuis quand la solidité de telle ou telle théorie économique dépend du nombre de publications, de citations, de conférences et d'invités ? (de surcroit dans un domaine, comme l'économie, aussi "conflictuel" et dans lequel les intérêts sont gigantesques).
En somme, je regarde le nombre de vues sur youtube et le nombre de livres vendus et j'en déduis sa crédibilité.
De quel genre de logique s'agit-il ? dirait la philosophe Aya.
Jiimmy Ce qui est totalement erroné.
Et la réalité se plia devant ses affirmations dantesques.
La France est dotée d'un système de retraite par répartition: répartition des cotisations des actifs destinées à financer les retraites.
Pas répartition de l'argent destiné à d'autres trucs mais-en-fait-on-fait-comme-on-veut-et-on-affirme-que-le-système-marche.
D'ailleurs, il suffit de dire que l'ensemble est à l'équilibre car les retraites n'ont pas de déficit grâce à la branche famille ou maladie. Car comme chacun sait, tout marche comme sur des roulette sur ces plans, cet argent ne manque pas.
Et n'oublions pas la cerise sur le gâteau: tout va bien, mais les prestations seront moins bonnes pour les futurs retraités.
A l'équilibre (en pompant massivement le fric qui ne lui est pas destiné) et juste (les actifs actuels auront un rendement proche de zéro, nul, voire un rendement négatif): un système parfait.
Et je vois que vous évitez évidemment de répondre sur le fond de vos affirmations totalement infondées sans même essayer de faire semblant de les étayer.
Jiimmy je regarde le nombre de vues sur youtube et le nombre de livres vendus
Le nombre de vues sur youtube et de livres vendus marche exactement comme les publications et citations académiques, bravo!
Inutile de répondre, j'avais déjà oublié que je vous avais assigné le même tarif qu'un certain nombre d'intervenants sur ce forum.
Les mozards de la dette manque plus que Macron
Tout un orchestre en gestation
Faut être bourré pour y accorder le moindre crédit
Orwell aurait dit jeter l'argent par les fenêtres c'est s'enrichir
Si on doit réduire les retraites, c'est que les salaires devront subir un sort bien pire.
Bonjour,
Je pense aussi que ce financement des retraites ne fonctionne plus. Mais je ne vois pas comment le remplacer. Un système avec une part plus vaste de capitalisation et peut-être avec un peu moins de cotisations sociales seraient une autre approche. Je ne vois pas beaucoup d'alternatives au système actuel qui est marqué par des engagements de l'état auprès de ses fonctionnaires au titre des retraites . Il semble que les retraites du secteur privé sont moins abondées par l'impôt ou l'endettement. Michel Rocard avait déjà prévu cette impasse au début des années 80.
Cordialement.
candidus Il faut et il suffit de réduire trumpement les dépenses de l'État, ce qui relancera la croissance.
Bonjour,
Je pense aussi qu'attribuer de l'importance à la croissance ne peut être que bénéfique. Seulement il y a un hic qui rappelle un aspect de la théorie marxiste qui précise que dans le capitalisme vient un moment où les superstructures sensées faciliter le développement du capital finissent par se présenter comme des obstacles à ce développement.
Pour parler simple la culture dans une certaine mesure mais surtout les dérives du droit finissent par asphyxier les tentatives de relance. En étant attentif on observe que le développement du droit prend une tournure ouvertement hostile au développement de l'économie de marchés . Par exemple les contraintes liées à la propriété privée, les contraintes sociales dans le monde de l'entreprise, les limitations règlementaires à effets contestables, les obligations climatiques etc .... Le droit est parvenu à bloquer le développement .
Les Etats-Unis de Trump sont très soucieuses de ces dérives et tentent de les estomper ou de les supprimer afin de respecter ces entités que sont le libéralisme et la liberté d'opinion.
Cordialement.
candidus Si on doit réduire les retraites, c'est que les salaires devront subir un sort bien pire.
Le jour où on réduira les retraites, c'est qu'on sera carrément à l'os !
Les retraités ne braillent pas dans la rue mais ils votent aux élections.
grishka A l'équilibre (en pompant massivement le fric qui ne lui est pas destiné) et juste (les actifs actuels auront un rendement proche de zéro, nul, voire un rendement négatif): un système parfait.
Répéter inlassablement une erreur ne la rendra pas vraie pour autant. En l'occurrence, il me semble avoir bien démonté la propagande que vous relayez (en démontrant l'arbitraire du choix qui peut être tout autre selon nos "intérêts"). Comme cela a déjà été dit, il n'y a pas de "fric qui ne lui est pas destiné" puisqu'il s'agit d'un pot commun. De +, c'est bien l'état qui a fait le choix de cette politique de réimputation suite à son refus de revaloriser les cotisations retraites en équilibrant le système via les autres recettes destinées (non pas en particulier à telle ou telle prestation) à l'ensemble de la protection sociale de manière indistincte.
Comme dans votre paradigme, les vues youtube sont corrélées à la crédibilité des thèses défendues, je me permets de citer un économiste qui a un peu + de vues youtube que le précédent cité :
Le calcul du Premier ministre semblait pourtant imparable. L’État finance chaque année 55 milliards d’euros de budget des retraites. Multiplié par 10, on atteint 550 Mds, soit un peu plus de la moitié des 1000 Mds de dettes. « Sauf que cela revient à considérer que chaque centime versé par l’État dans ce cadre est issu de l’emprunt, ça n’a aucun sens », poursuit l’économiste. Ce dernier rappelle que la France a choisi un mode de financement mixte pour son système de retraite. Avant tout un financement via cotisation sociales, complété par une somme versée par l’État.
« L’État paie les retraites des fonctionnaires, qui ne sont pas plus généreuses que celles du privé. D’autre part on a fait le choix de financer une partie du système des retraites par les ressources publiques parce qu’on ne voulait pas augmenter les cotisations. Dans ce cadre, considérer que la dette est due au financement des retraites n’a pas plus de sens que de considérer qu’elle serait, par exemple, due au budget du ministère des Armées. D’après le mode de calcul du Conseil d’Orientation des Retraites (COR), on serait plutôt aux alentours de 60 Mds de dette sur dix ans dus au financement des retraites », continue l’économiste.
Donc non, les retraites ne sont pas financées par la dette publique ainsi que je l'ai démontré et ainsi que l'a démontré Mickael Zemmour (et tant d'autres économistes) également. Et enfin, en 2023 le solde des ASSO était excédentaire et le déficit accumulé (en énorme partie du fait du covid) se résorbait petit à petit du fait de ces excédents justement.