Samantha2
La torah et la bible sont deux bouquins périmés totalement inadaptés à notre époque.
La guerre en Ukraine, tome 4
Just C'est beau la rencontre entre deux hommes qui devraient être sous les verrous.
Selon les verdicts frelatés d'une justice politique, donc nulle. Misérable naufragée, devant le souverain verdict du peuple américain, et misérable naufragée devant la souveraineté russe qui ne l'aperçoit pas. Pas plus que la Chine ne l'aperçoit ni la vaste majorité de la planète.
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Samantha2 Je ne sais pas ce que vous entendez par "avant guerre ... l’assassinat de civils, car il n'y a pas seulement massacre, mais préméditation, par bombes incendiaires."
De grâce, ne retombons pas dans la verbosité creuse et la battologie sémasiologique.
Souvenez-vous, ci-dessus, de la leçon de Boileau.
Quelle verbosité ? Un meurtre est l'acte de tuer un autre homme. Un assassinat est l'acte de tuer un autre homme avec préméditation. Qu'est-ce qu'un massacre ? Une tuerie de masse. La notion a pour défaut de ne pas faire la différence entre meurtre et assassinat, selon moi. Qu'est-ce un civil ? Un homme qui dans le cadre d'un conflit n'est pas membre d'une armée. Ces définitions vous posent-elles problème ? Pouvez-vous niez à partir de ces définitions, si vous les acceptez, que les Alliés ont massacré voire assassiné des civils pendant le bombardement de Dresde ? Pouvez-vous nier qu'ils savaient ce qu'ils faisaient ? Pouvez-vous nier que ce n'est pas en adéquation avec les "valeurs" défendues par les Alliés ? Du point de vue du droit international de l'époque, les deux conventions de la Haye, vous ne seriez pas la première à contester qu'il s'agit d'un "crime", mais pouvez-vous nier que ce droit est d'inspiration humanitaire ?
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Fred4 Je lis mais comme dans toutes les enquêtes, je suppose que les conclusions se basent sur des faits vérifiables. Que se passe t'il lors d'une disparition d'enfant? On ne va pas accuser quelqu'un sans preuve même s'il paraît louche et donc tant que l'on a pas retrouver sa trace, impossible de déterminer où il se trouve.
Selon plusieurs sources, la Russie ferait tout son possible pour effacer les traces de ces enfants en question, changement d'identité et formatage en règle donc on peut facilement en déduire qu'il est extrêmement difficile de les retrouver dans un pays aussi vaste.
En conclusion, ce chiffre de 64 ne signifie rien à part que ces enlèvements existent et qu'il sont certainement beaucoup plus nombreux, à moins de considérer que ces enfants se soient volatiliser.
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1- La Torah désigne chez les Juifs, le Pentateuque, chez les chrétiens, c'est-à-dire les cinq premiers livres de la Bible. Selon la secte chrétienne, le canon de la Bible n'est pas le même ; l'interprétation pour de nombreux passages diffère aussi. Pour un catholique, par exemple, le mal est non-être, existe relativement au bien : la privation du bien. Dans tous les cas, dès lors qu'il est question d'arguments tirés de la Bible, nous entrons dans une question... théologique, relativement à la secte considérée. Je n'ai pas développé concernant le judaïsme, car je connais beaucoup moins.
2- Dans une conception scientifique des choses, non, il n'y a pas de bien et de mal, pas de gentils et de super-vilains. A la limite, je ne m'oppose pas forcément à une histoire en tant qu'art de l'enquête, qui serait "philosophique", car je ne suis pas du tout certain que l'histoire ait les moyens d'être une science. Mais même dans ce cas, essayez au moins de ne pas être dupe de vos postulats idéologiques.
Comme dit précédemment, vous vous rapprochez du manichéisme, sans toutefois être cohérente : parce qu'il y a la fois un bien absolu et un mal absolu, mais vous introduisez quand même un élément de hiérarchie entre les deux, la majuscule contre la minuscule...
3- Vous m'accusiez d'être creux lorsqu'il était question je cite des "accointances, ressemblances, ou hybridations entre idéologies"*, mais comprenez-vous que vous êtes en train d'en donner une preuve supplémentaire ? Nous avons commencé avec le logiciel droits de l'homme, et nous voici rendu dans la Torah, ou Bible, selon vous. Vous avez raison, il y a certainement un rapport, par exemple entre "christianisme" et "droits de l'homme", et pour certains acteurs de l'époque, américains, et anglais, il est même évident, ce qui les sépare de notre tradition française, plus agnostique, voire athée.
Je viens de découvrir cette analyse d'Emmanuel Todd qui date de 10 ans. (Visite de Merkel et Hollande à Kiev)
"« C'est pourquoi je regarde si attentivement vers l'Ukraine. L'Europe est peut-être allée chercher sa mort en Ukraine. Celle-ci va continuer à se désintégrer et ce sera à cause de l'Europe et non de la Russie. La première ne fait que lui piquer sa main d’œuvre qualifiée, tandis que la seconde, si elle annexe des morceaux de son territoire, c'est pour les intégrer et les faire évoluer.
« Dans la partie orientale de l'Europe, les gens ne s'intéressent pas au monde, c'est une zone de non-construction étatique, de violence. Quelque chose de maléfique est en train de se préparer là-bas. »
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Je corrige : rétroactivité de la la qualification de génocide pour au moins certains faits, ce qui je le rappelle ne signifie pas nier les actes des nazis, toutes les victimes juives assassinées.
Ce n'est pas si simple, car cette question a été l'objet d'un débat juridique, tranché en faveur de l'argument suivant : en tant qu'il s'agit d'un nouveau crime, c'est-à-dire que cela n'est jamais arrivé dans l'histoire des hommes, la rétroactivité ne s'applique pas.
C'est bien le problème de toute idéologie, et le droit est une entreprise pour partie idéologique, toujours moyen de s'arranger, de trouver des arguments pour "justifier". Dans le cas de "l'indignité nationale" en France, il y a eu aussi les juristes "justificateurs".
D'ailleurs, il est amusant de constater, que tous nos chercheurs de "génocides", participent à démonter cette justification, sans même le savoir. Resterait toujours, même de ce point de vue, l'argument de l'ignorance, de la bonne foi pour dédouaner les Alliés : ils croyaient peut-être vraiment qu'il s'agissait, même de ce point de vue, du premier "génocide" de l'histoire des sociétés humaines.
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Just transformant le conflit en guerre Sainte côté russe
Euh... seriez-vous frappé d'hallucinations ?
Une simple opération spéciale.
Difficile de voir le prêche d'une guerre sainte dans cette présentation officielle d'une petite expédition de police aux confins de la Fédération.
En face, évidemment, le cirque de Zélenski...
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stm Je viens de découvrir cette analyse d'Emmanuel Todd qui date de 10 ans. (Visite de Merkel et Hollande à Kiev)
"« C'est pourquoi je regarde si attentivement vers l'Ukraine. L'Europe est peut-être allée chercher sa mort en Ukraine.
Emmanuel Todd, un visionnaire éclairé ?
En tout cas, cela paraît de plus en plus évident !
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Pour rappel, voici la position actuelle officielle de la Russie pour ouvrir les négociations de paix :
Pour ce qui concerne la position russe vis-à-vis de l’Ukraine, elle demeure ce qu’elle était jusqu’alors : il faut atteindre les objectifs qui ont été assignés à l’opération militaire spéciale. Ces objectifs sont connus et ils n’ont toujours pas changé. Ils ont été exprimés plus d’une fois par le président russe Vladimir Poutine.
Il est tout aussi crucial que la communauté internationale reconnaisse pleinement l’incorporation des Républiques populaires de Donetsk et de Lougansk, ainsi que des régions de Zaporozhia et de Kherson. Ces territoires font désormais partie intégrante de notre pays, conformément à la Constitution de la Fédération de Russie.
Nous soulignons une fois de plus que le peuple ukrainien reste à nos yeux un peuple proche, un peuple frère, lié à la Russie par des relations pluriséculaires, en dépit de ce qu’affirment les propagandistes de Kiev, abreuvés à l’idéologie nationaliste. Ce qui se passe en Ukraine est loin de nous laisser indifférents. Nous sommes particulièrement inquiets de voir que l’imposition violente de l’idéologie néonazie et d’une russophobie débridée mène à l’anéantissement de villes ukrainiennes autrefois prospères telles que Kharkiv, Odessa, Nikolaev ou Dnepropetrovsk. Il n’est pas exclu qu’au cours de l’année à venir, l’Ukraine cesse purement et simplement d’exister.
Pour ce qui concerne les perspectives de développement futur avec le facteur Trump, nous respectons absolument les déclarations de ce dernier.
Nous estimons que les négociations relatives à l’Ukraine doivent avoir lieu entre la Russie et les États-Unis — sans qu’y interviennent d’autres pays occidentaux. Nous n’avons rien à débattre avec Londres ou Bruxelles. Il y a bien longtemps que la direction de l’Union européenne, par exemple, a perdu le droit de parler au nom de certains de ses membres — la Hongrie, la Slovaquie, l’Autriche, la Roumanie et d’autres pays résolus à œuvrer pour la stabilité de l’Europe et à occuper une position équilibrée vis-à-vis de la Russie.
Conclusion :
Obtenir (exiger) la paix, même pour Trump, ne sera pas facile !
Il est devenu évident que le sort de l’Ukraine est entre les mains de Trump et Poutine.
Ni Kiev, ni Bruxelles n’ont vraiment voix au chapitre, c’est exclusivement la géopolitique favorable à Trump adversaire de la guerre, qui aura le dernier mot !
Sinon, un scénario, catastrophique celui-là, serait que, sans main tendue par Kiev et les Occidentaux, la Russie se sentant acculée après de potentielles futures, défaites, décide d’en finir en utilisant ses armes nucléaires tactiques.
En opposition à de nombreux experts – en général ceux qui étaient certains que Poutine n’envahirait pas l’Ukraine -, on peut être convaincu que l’autocrate russe pour qui capituler serait mortel pourrait en arriver là.
Sans concession majeures, Poutine ne lâchera jamais le morceau.
Et si on en aboutissait à une telle extrémité, il ne resterait alors à l’Occident que deux possibilités : s’écraser lamentablement par peur d’un conflit nucléaire généralisé, ou bien y aller carrément. Dans les deux cas, on pourrait parler de défaite. Dans le premier cas, au sens littéral, dans le second, au sens figuré, la guerre étant toujours une défaite pour l’humanité.
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andrejhy Trump devra commencer par faire lâcher prise à la CPI (à laquelle les EU n'adhèrent pas, ni la Russie) car on ne voit pas très bien comment peuvent se dérouler des négociations avec un Chef d'État inculpé de crimes contre l'Humanité, même s'il est évidemment présumé innocent.
Je suis curieux de voir comment il va s'y prendre mais je ne doute pas de sa réussite rapide.