leduc92 La situation autour du Donbass semble totalement compromise pour les forces armées ukrainiennes. Ils reculent, battent en retraite et perdent des bastons jours après jour. Tandis que la situation dans la région de Kursk reste stable. Le coup de poker des ukrainiens a échoué. Ils vont sans doute devoir se retirer petit à petit de la région de Kursk, tout en perdant leurs meilleurs lignes de défenses dans l'Est puis dans le Sud du front. Game Over.

Comme dit le dicton italien, Chi va piano va sano. E chi va sano va lontano. C’est ce que font justement les Russes. Le temps joue pour eux. Pour continuer dans la métaphore animalière : lenteur et impavidité du boa constrictor.
Le mouton provocateur, programmé depuis l'autre côté de l'Atlantique, n’avait pas à faire de la provocation antirusse avec "Maïdan 2014", lequel a directement mené à la persécution des Russophones. Pire : les néonazis l'ont fait par voie étatique et législative, exactement comme les nazis fabriquaient des "lois" contre les Juifs.

La Russie, qui ne veut pas imiter l'URSS, n'a pas fait de provocation anti-US à Porto-Rico. Les US n'avaient pas à faire de la provocation antirusse en Ukraine, berceau millénaire de la Russie, justement appelé historiquement "la Rus' de Kiev". Et malgré cela, notez que vous avez des négationnistes de l'Histoire (même dans ce forum) qui viennent vous dire que la Russie "n'a rien à fiche en Ukraine"... Passons.

Le régime de "Kiiv", négationniste de l'Histoire ("Non, la Russie n'a rien à voir avec l'Ukraine"), installé par les "yankees" à Kiev pour provoquer la Russie, a fini par attirer contre lui, justement par ses provocations, un boa constrictor 30 fois plus gros que lui, dans les anneaux duquel, maintenant, il se démène et se débat. Et plus il se débat, plus le boa se fait « constrictor".

Sans ses provocations, il aurait pu être en paix aujourd’hui, s'il avait été "normal". Mais il était justement dans la nature de ce régime anormal (bandériste, aux bras paramilitaires néonazis) de provoquer la Russie. Idéologiquement antirusse, il a persécuté les russophones. Il n'a été installé à Kiev par les "yankees", par une fourberie de coup d'État, que dans cet objectif. Cela peut vous prouver déjà que ce régime n'a rien à voir avec l'Ukraine réelle. Voilà d'ailleurs pourquoi j'ai rappelé ci-dessus que cette guerre, en réalité, n'est en rien contre l'Ukraine, mais seulement contre ce régime __ véritable parti de l'étranger et fourrier de l'étranger__, collé à l'Ukraine comme une sangsue : il brade le pays à l'étranger et sacrifie les enfants du pays au service du même étranger.

La Russie n'est nullement en guerre contre l'Ukraine, mais exclusivement contre le régime vendu, que nous y avons installé pour que nous puissions lui faire la guerre avec.

leduc92 Les Russes ... n'ont maintenant plus qu'un seul leitmotiv : pas de négociation, et jusqu'à Kiev. Ce sera la capitulation totale et inconditionnelle, avec la prise de contrôle des centres névralgiques et l'élimination des éléments les plus fanatisés de la junte de Kiev.

Possible. Même, fort possible. Mais comme je l'ai dit : toujours lentement et impavidement. Jamais, dans l'Histoire, la Russie n'a été de tempérament primaire, primesautier, réactif au "quart-de-tour". Mais toujours de tempérament secondaire, réfléchi et observateur. Si donc les Russes iront à Kiev, Kharkov ou Odessa, ce sera sans bavardage ni agitation. Ce sera juste en défense, contre le plan délibéré qui les vise depuis l'autre côté de l'Atlantique.
Historiquement, le tempérament russe est d'encaisser d'abord. Puis de revenir à la charge... on ne sait comment..

Qui vivra, verra.

candidus Tout le monde parle russe en Ukraine.

Avec cela qui est aussi clair que le soleil, Jean-Pierre vous dit que "la Russie n'a rien à fiche en Ukraine" (sic).

Cela serait vrai si le régime __ pas l'Ukraine ! le régime __ avait honoré l'indépendance donnée par la Russie, laquelle Russie avait même laissé, comme gracieux cadeaux, la Crimée, le Donbass, Odessa et le reste.

Mais se faire le fourrier exclusif de ses ennemis, le tremplin haineux de leur guerre à mort contre elle, excusez, mais...
Dans ce cas, l'indépendance est par terre et devient un attrape-nigaud.

Et de huit! Et une nouvelle éloge de la Russie qui avait gracieuseusement offert à l'Ukraine des territoires qu'elle souhaite reprendre aujourd'hui pour cause d'infidélité. D'ailleurs Poutine n'a jamais rien offert lui, il n'a fait que prendre, y compris pour son compte personnel mais c'est un détail de l'histoire.

Just une nouvelle éloge de la Russie qui avait gracieuseusement offert à l'Ukraine des territoires

Un : on dit "un nouvel éloge". Pas "une nouvelle éloge".Je n'aime pas le français estropié. Ensuite je n'ai jamais fait l'éloge de la Russie. Pour quoi faire ? Par contre, j'ai toujours dit simplement la réalité des faits.

Deux : pas "offert des territoires". Car toute l'Ukraine, tout entière, était en Russie. Seulement, avec l'indépendance en 1991, comme les découpages intérieurs administratifs étaient déjà faits (années 50), la Russie a bien voulu y laisser des régions qui étaient, en soi, notoirement russes. C'est qu'il y avait l'espoir que la nouvelle entité, qui n'avait jamais été souveraine en 1 000 ans, serait au moins neutralement amicale. Ce qu'elle a commencé à être, effectivement, dans les années 90, et même après.

Le nouveau pays avait à respecter et bien traiter, à égalité avec tous les citoyens, ces régions massivement russophones, qui, naturellement, tiennent de la Russie par la langue et ont vis-à-vis d'elle une fidélité ancestrale. Il suffisait que le nouvel État les honore et les respecte, et le tour était joué. Exactement comme la Russie, chez elle, respecte et traite à égalité ses dizaines, voire centaines d'ethnies et de peuples divers, accordant à beaucoup l'autonomie, et même des particularismes locaux. Il fallait simplement bien traiter les Russophones, gens ancestraux dans ces terres de l'Est. D'autant plus que, au début, ils furent enthousiastes à l'idée d'indépendance et y votèrent en majorité.

Mais... l'idéologie bandériste du régime, qu'on a installé par coup d'État en 2014, idéologie néonazie, haineusement antirusse, a vite fait de "récompenser" les Russophones de leur fidélité initiale au nouveau pays. Face à la persécution, bientôt légalisée contre eux seuls et leur langue, alors seulement __ et seulement alors __ ils se sont tournés vers la Russie __ combien naturellement __, et ont commencé à s'organiser en légitime défense.
On sait la suite.

Just Et de huit!

Et maintenant de neuf. C'est que moi, voyez-vous, je suis propriétaire d'un cerveau.
Et d'un cerveau qui travaille.

Il est fort probable que Vladimir Poutine, courroucé car englué dans une guerre qu'il pensait finir en 3 jours et qu'il n'a jamais maîtrisée, en manque criant de matériel semble t-il, ait décidé d'abattre ses dernières cartes en rasant le pays (et les zones occupées en Russie).
C'est d'ailleurs étonnant, quand on regarde comment cela se passe à Gaza, qu'il n'y ait pas réfléchi avant. Sans doute visait t-il le Nobel de la paix.

On te dit depuis le début que les Ukrainiens ne sont jamais que des Russes, sauf qu'ils n'en ont pas la nationalité...

Ils font les mêmes erreurs tout le temps.

Just La Russie reconnaît la nationalité ukrainienne que possède un grand nombre de ses citoyens.
On dit aussi Petit-russien.

L'article que vous citez est un brouet d'impostures.