[supprimé]
filochard Avec les néo-fascistes progressistes la liberté d’expression s’arrête là ou commence le débat contradictoire.
Je ne sais pas si vous avez une idée de ce que vous écrivez, votre confusion intellectuelle est consternante.
filochard Avec les néo-fascistes progressistes la liberté d’expression s’arrête là ou commence le débat contradictoire.
Je ne sais pas si vous avez une idée de ce que vous écrivez, votre confusion intellectuelle est consternante.
[supprimé] Je ne sais pas si vous avez une idée de ce que vous écrivez, votre confusion intellectuelle est consternante.
Arguments ?
filochard Avec les néo-fascistes progressistes la liberté d’expression s’arrête là ou commence le débat contradictoire.
J'ai de nombreuses fois constaté la pertinence de votre analyse.
Chaque fois que lors de conversation avec mon entourage je mettais en avant l'acceptation du "débat contradictoire", la "controverse", "le doute", comme un des principaux marqueurs des démocraties occidentales, j'ai senti une énorme gène chez mes contradicteurs.
Je mettais la lumière sur leur contradiction de justifier tous les refus de débats par la défense de la démocratie.
candidus Quelqu'un qui vous demande des arguments a déjà perdu. Ça prouve qu'il n'a rien à dire.
Donc on peut dire n'importe quoi sortit de son fondement sans avoir à se justifier ?
ça prouve surtout qu'il demande des arguments, que ce soit étayé et non pas la l'expression d'une sensation non discutable dont tous le monde a rien à secouer.
filochard les "néo-fascistes progressistes": c'est une formule de café du commerce pour épater les chauffeurs-livreurs le matin au café, mais elle n'a aucun sens.
[supprimé] es "néo-fascistes progressistes": c'est une formule de café du commerce pour épater les chauffeurs-livreurs le matin au café, mais elle n'a aucun sens.
J'ai oublié "totalitaire". "néo-fascisme progressiste totalitaire".
Dernier exemple en date: Le service public de la censure, L’Arcom, vient d’envoyer une mise en demeure à Sud Radio, à cause d'une émission de 2022 ou Renaud Camus, invité de André Bercoff, avait invoqué le Grand Remplacement.
liberté Alors que le "grand remplacement" est visible chaque jour.
Et surtout largement prouvé et par plusieurs manières différentes.
Les seules questions qui restent sont :
Pour le reste les 400 000 entrées par ans (plutot 450 000 actuellement), les deux millions sous le 1er quinquennat Macron, soit plus que la ville de Marseille, il y a plus que les gogols et les charlatans d’État qui le nient.
Mais bon, ça on a pas le droit de le dire, ce qui nous ramène au sujet.
filochard on appelle ça "remplacement", "créolisation" ou "transition démographique" ?
Voire un repeuplement, ce qui implique la repopulation à venir d’un pays, et même d'un continent par une civilisation dont la culture est tout au moins différente, sinon aux antipodes des moeurs généralement pratiquées ...
[supprimé]
Vous avez raison, les progressistes ne sont pas des "fascistes".
En revanche les progressistes sont :
filochard J'ai oublié "totalitaire". "néo-fascisme progressiste totalitaire".
Dernier exemple en date: Le service public de la censure, L’Arcom, vient d’envoyer une mise en demeure à Sud Radio, à cause d'une émission de 2022 ou Renaud Camus, invité de André Bercoff, avait invoqué le Grand Remplacement.
Quand on vous lit, on a parfois une grande envie de vous remplacer. MDR
Hier soir, Hanouna a lancé le débat sur un tableau qualifié de pédophile par certains, dont un député de l'opposition, et d'oeuvre de dénonciation des horreurs de la guerre par d'autres, dont le ministre de la culture en exercice.
A cette occasion, j'ai pu observer la liberté accordée à l'expression des différentes sensibilités sur un domaine réunissant deux actualités brûlantes : les crimes de guerre et la pédophilie.
Mais j'ai surtout relevé que le tableau en question était frappé d'interdit de présentation à l'antenne. Hanouna en était consterné. Cette censure évidente semble être une démonstration d'une certaine incohérence ministérielle : il faut célébrer ce tableau car il dénonce l'Horreur, mais il est interdit de le montrer. En même temps, en quelque sorte.
filochard Sauf que d'après notre ministre c'était justement pas n'importe quoi, mais une oeuvre très importante, comme Guernica. Des intervenants de chez Hanouna ont même souligné que c'était les nazis qui avaient censuré des tableaux, en leur temps. Je trouve significatif que la liberté d'expression soit bridée en France à certains moments et pas à d'autres. Faut-il interdire de montrer les horreurs de la guerre aux enfants ?
Depuis au moins trente ans dans notre pays, toute pensée non-conforme est une pensée interdite.