Cette histoire fait rêver.

Si tous les gauchistes inutiles et dépressifs, constatant la montée de l'extremdrouate, pouvaient s'immoler... on serait tout prêts à accepter qu'un peu plus de Co2 parte dans l'atmosphère.

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L'immolé se nomme Anas Kournif.

Au regard de son patronyme arabo-musulman, un ethnospychiatre pourrait diagnostiquer l'existence de problèmes mentaux.

    [supprimé] L'immolé se nomme Anas Kournif.

    Un déséquilibré qui, n'ayant pas de couteau sous la main, a innové.
    Affaire classée!

    [supprimé] Le RACISME en France est devenu avant tout SOCIAL.

    C'est à force de dévoyer le sens des mots qu'on finit par dire n'importe quoi.
    Le racisme, c'est juste discriminer une personne sur des critères de "race".

    Au lieu de parler de "racisme de classe", parle plutôt de discrimination, au moins ça a un sens.

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      James Le racisme, c'est juste discriminer une personne sur des critères de "race".

      ... Faux ... Le racisme c'est ostraciser une partie de l'humanité sur tel ou tel critère discriminant (ni plus ni moins, la couleur de peau n'étant qu'un des critères discriminant, mais bien évidement ce n'est pas le seul ... surtout quand tout le monde sera gris ;-)).
      Ex: il y a moins d'un siècle les femmes n'avaient pas le droit de vote = racisme de genre ... encore avant; c'estait du racisme de classe entre les serviettes et les torchons, etc etc...)
      ... Réfléchis un peu sur le sens profond des mots bon sang (c'est même dans la Marseillaise ... qu'un sang impur etc...) !

      https://www.uneautremarseillaisepourlafrance.fr/blog/2015/12/le-sang-impur-de-la-marseillaise-na-jamais-ete-celui-des-francais/
      "... (…) désolé pour les incultes. Méfions-nous de cette approche socio-libertaire et antimilitariste simpliste qui avance sournoisement pour adapter l’Histoire à sa guise !.. ..."

      ... Pour vous simplifier la réflexion, le sang bleu c'était le sang royal, le sang impur les "populistes" ;-)

        [supprimé] Le racisme c'est ostraciser une partie de l'humanité sur tel ou tel critère discriminant (ni plus ni moins, la couleur de peau n'étant qu'un des critères discriminant, mais bien évidement ce n'est pas le seul ... surtout quand tout le monde sera gris ;-)).

        Pas "tel ou tel", mais un critère RACIAL.
        Sinon, c'est autre chose.

        Après, tu peux refaire un dictionnaire, mais on n'y comprendra rien.

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          James Pas "tel ou tel", mais un critère RACIAL.

          ... Il n'y a pas qu'un critère qui est ou peut être radical ou racial. (ça serait trop simple) ... Il y a plus de différences génétiques et physiologiques entre une femme et un homme qu'entre un homme blanc et un homme noir.

          James
          Le racisme se caractérisait par une hiérarchisation des races, et non pas une simple dicrimination.

          Car il y a cinquante ans tout le monde considérait qu'il fallait évidemment que la France soit blanche, ce qui implique de discriminer.

            france2100

            Oui, j'ai fait une réponse rapide, hiérarchisation des races aussi.
            Tant que l'on parle de race pour définir le racisme, ça me va.

            Mais chômeur ou pauvre, ce n'est pas une race.

            James C'est à force de dévoyer le sens des mots qu'on finit par dire n'importe quoi.

            La perversion de la cité commence par la fraude des mots (Platon)

            [supprimé] L'immolé se nomme Anas Kournif.

            Ce n'était pas une victime du racisme car sa petite copine et un de ses amis qui se sont exprimés à la téloche étaient des blancs .... surement des blancs islamogôchos compatibles, des collabos quoi

            Cet étudiant, voyant qu'il avait redoublé sa licence, aurait dû penser à étudier, pour son avenir, plutôt que de perdre du temps à militer, on voit où ça l'a mené.
            Ses amis, et ses camarades syndiqués, auraient du lui tenir un discours pour qu'il étudie et le soutenir.
            Malheureusement, quand on est entouré de branquignols et de militants, ce qui lui est arrivé n'a rien de surprenant. Les premiers ont montré leurs limites humaines et intellectuelles, quand aux seconds, ils n'en ont rien à faire et ne voient que la récupération politicienne.

            PS : pour les militants, c'est aussi une attitude qui n'est pas exclusive aux gauchistes. De partout, l'intérêt du parti ou du syndicat est supérieur à l'intérêt des militants, sympathisants, syndiqués ou électeurs.

            Le gamin avait compris les codes.
            En ne laissant que sa diatribe contre Hollande, Sarkozy ou Macron, il prenait le risque de voir son geste minimisé voire ignoré.
            La petite touche finale contre Le Pen le rend plus sympathique, plus bankable. On pourra même donner une importance démesurée à cette phrase et il pourra même prétendre finalement au statut de victime collatérale du racisme, de la peur de l'autre et du rejet identitaire.

            • [supprimé]

            Le simple fait que l'on tolère un triplement en L3 est un signe d'impéritie et de lâcheté de l'État.
            Une année de fac, même sans bourse, coûte environ 10 000€ au contribuable.

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              knulp

              Il ne faut jamais se retenir , c'est très mauvais pour l'organisme .

              • [supprimé]

              Le type a eu un bac ES sans mention et était inscrit en licence de sciences politiques, cherchez l'erreur...
              Effectivement dans un sens il a raison, l'Etat est bien en cause, mais pour son absence de politique d'orientation et de sélection à l'université. L'égalité, cette utopie meurtrière.

              [supprimé] Le simple fait que l'on tolère un triplement en L3 est un signe d'impéritie et de lâcheté de l'État.

              C'est ce que l' Etat appelle l' "égalité des chances" : piocher dans les élèves les + défavorisés en espérant tomber sur 1 pépite, en espérant que ladite pépite soit d'or et non de merde. Or tout le monde sait pertinemment que la grande majorité de ces élèves - soyons francs ! - ne sont pas doués pour les études et ont été mal orientés. Résultat, ils atterrissent dans des études dont ils ne pigent goutte et ils dépriment dès qu'on les ignore un peu.