Voilà qui devrait être en mesure de rallier même les plus récalcitrants aux bienfaits d’un accompagnement expéditif de la fin de vie.
Affaire Vincent Lambert : la menace intégriste
jean merl1 écrit:
Il est certain que le Gouvernement français sera condamné
Docteur en droit et directeur du Centre européen pour le droit et la justice (ECLJ), Grégor Puppinck explique que le gouvernement français et le docteur Sanchez ont décidé de faire mourir Vincent Lambert en violation du droit international.###avec l’honnêteté qui caractérise les ultra-cathos, merl1 évite soigneusement de préciser que Grégor Puppinck est loin de ce qu'on attend d'un juriste objectif et impartial.
Grégor PuppincK est un militant très catho !
Je ne sais pas ce qu'est un "très catho" ou un "ultra-catho" par rapport à un catholique, je ne suis pas vraiment dans la chicane sur VII et ce n'est de toute façon pas le sujet.
Par contre, force est de constater qu'il avait raison et que visiblement ni le Président Macron ni la justice française ne veut se faire condamner par l'ONU.
Tout est une question de législation. La situation actuelle permet seulement une alternative entre laisser l'alimentation ou la débrancher; cela ni plus ni moins: c'est absurde et hypocrite.
Il vient d'y avoir un grand débat, globalement bien inutile à ce que l'on peut en constater. Qu'il y ait en sortie de celui-ci au moins une impulsion présidentielle sur cette question.
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Ceux qui veulent faire mourir une personne qui n'est pas en fin de vie ont évidemment plusieurs explications : C'est trop cher de le maintenir en vie et c'est nous qui payons, c'est un inutile et les inutiles doivent être éliminés, à sa place je ne voudrais pas vivre, etc. En résumé, on ne pense pas à l'handicapé qui a besoin d'aide et d'amour, mais à soi.
Je pense entre autres à un reportage sur les enfants nés handicapés à cause d'un médicament très dangereux pris par leurs mères qui ne connaissaient évidemment pas ce danger, eh bien, ce reportage s'est fini sur les dires d'un homme qui était l'un de ces enfants nés sans bras ou sans jambe ou le deux car le problème touchait les membres, il a dit clairement qu'il était heureux de vivre et qu'il a eu la chance de naître avant 1975.
Nous sommes désormais dans une société décadente digne de l'époque nazie où les inutiles et les non désirés doivent être tués et où une idéologie totalitaire et mortifère comme celle de l'islam est favorisée et évidemment ce sont les mêmes qui défendent à la fois l'IVG, l'euthanasie et l'islam.
Je reviens sur l'affaire du transfert de Vincent vers un autre établissement de soins. Mais voilà, "l'ex" épouse, qui a refait sa vie depuis pas mal d'années, ne veut pas et pour cause, elle sait que le fameux "Sanchez" veut tuer le gêneur et donc elle n'accepte pas qu'il soit soigné là où personne ne voudrait lui donner la mort par procuration de l'ex !
Une certaine justice a déclaré l'ex tutrice, en ignorant totalement que Vincent avait des parents, qui visiblement l'aiment et ne veulent pas qu'il soit exécuté pour plaire à celle qui fût son épouse et qui maintenant veut uniquement recouvrer sa totale liberté, voir toucher quelques "sous" !
Tordons le coup définitivement à cet argument, qui en plus déshonore définitivement ses auteurs : ce n'est pas nous qui payons, c'est l'assurance du tiers responsable de l'accident dans ce cas particulier.
Je souhaite qu'Emmanuel Marcron, Edouard Philippe et Nathalie Loiseau s'expriment sur le fond concernant la question de l'euthanasie.
Pensez à coucher vos dernières volontés sur papier, avant que l'ONU n'en décide autrement.
"Après avoir lu l’arrêt de la Cour d’appel, je peux dire que je comprends cette décision conditionnée à celle du comité de l'ONU sur le fond du dossier", commente Me Noémie Saidi-Cottier, évoquant "un recours ingénieux" et un "coup de poker" de la part de la défense des parents de Vincent Lambert. "D’un point de vue juridique, ce rebondissement est très intéressant. La Convention des droits des personnes handicapées existe et elle a été ratifiée par la France. Pourquoi signer si c’est pour ne pas tenir compte de l’avis rendu ? Comment justifier cette position ?", estime-t-elle encore.
Pour rappel, le 3 mai dernier, le CDPH, avait demandé à la France de surseoir à l'arrêt des traitements dans l'attente d'un examen du dossier sur le fond, mais la ministre de la santé, Agnès Buzyn, avait fait savoir dans la foulée que la France n’était pas tenue légalement par ce comité. "Mais bien entendu nous prenons en compte ce que dit l'ONU et nous allons leur répondre", avait alors ajouté la ministre.
Sous quel délai rend-il ses décisions ?
La décision de "mesures provisoires" rendue le 3 mai dernier visait à "répondre dans l’urgence à la demande des parents de Vincent Lambert pour empêcher tout préjudice irréparable et ce sans connaitre le fond du dossier", insiste Pascale Ribes, vice présidente du Conseil français de personnes handicapées pour les questions européennes (CFHE). Mais elle ne présage donc en aucun cas pas de la décision sur la recevabilité ou le fond de l’affaire, examinés plus tard.
Si la France dispose de six mois pour communiquer ses observations au comité, en ce qui concerne le fond de l’affaire, ce dernier ne rend généralement ses décisions que plusieurs années après la demande initiale. "Sous un à quatre ans", précise Me Noémie Saidi-Cottier tandis que Pascale Ribes présage, dans ce dossier, "une procédure accélérée pour rendre une décision rapidement". Mais le comité pourrait ne pas statuer sur le fond s'il se déclare incompétent ces prochaines semaines, rappellent-elles. "Est-ce qu'on se trouve vraiment sur la défense d’une personne handicapée ? La question de pose", souligne Me Noémie Saidi-Cottier.
Qu’est-ce qu’entend par handicap la CIDPH ?
La CIDPH entend par "personnes handicapées", des personnes qui présentent des incapacités physiques, mentales, intellectuelles ou sensorielles durables dont l’interaction avec diverses barrières peut faire obstacle à leur pleine et effective participation à la société sur la base de l’égalité avec les autres.
Pour rappel, le 4 mai dernier, la ministre de la santé, Agnès Buzyn, expliquait que "les parents de Vincent Lambert se sont retournés vers ce comité qui s’occupe des personnes handicapées, et non des personnes en état végétatif comme Vincent Lambert".
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Handicapé ... les paraplégiques doivent être contents d'être classés dans la même catégorie que quelqu'un qui a probablement le niveau de conscience d'une huitre.
Sans compter que ce "patient" constitue un vivier d'organes tout frais.
cheshire-cat probablement le niveau de conscience d'une huitre.
Comme toi.
quoikicause
On choisit son épouse, on ne choisit pas ses parents.
white-widow-power Je vais le faire d'ici peu.
katou
Je ne parlais pas au sens figuré.
précisément, pour le meilleur et pour le pire.
Ceux qui veulent le maintenir en vie coûte que coûte ne veulent que son bien. Les autres ne sont bien évidemment qu’un tas d’idéologues égoïstes dépourvus de toute moralité.
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cheshire-cat
c'est du français
ed : et pour la question de l'huître, vous n'en savez strictement rien ; personne ne le sait d'ailleurs, d'où la notion de doute.
cemab précisément, pour le meilleur et pour le pire.
Une sorte de contrat d'esclavage mutuel.