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bianchi51 D'abord je parle d'une "part " par capitalisation. Et pour préciser les pourcentages auxquels je pense, ce serait un pourcentage faible dans un premier temps n'excedant pas 15 %, peut même moins de 15 % afin de faire accepter le système politiquement. Et à terme je ne le vois pas dépasser les 30 %.
C'est bien joli, tout ça, mais le problème reste entier : comment gérer la transition ?
En effet, les retraités actuels et les actifs âgés n'ont pas capitalisé. Donc il faudra continuer à leur verser leurs pensions dans le cadre d'un système par répartition. Donc on va demander aux jeunes actifs et futurs actifs, pendant plusieurs décennies, de payer deux fois : d'une part, de cotiser pour financer la pension de ceux, plus âgés, qui n'ont pas capitalisé, et d'autre part, de capitaliser pour eux-mêmes. Ce n'est pas très juste.