zenon Le lien entre exode fiscale et fiscalité est d'une évidence qu'il n'y a pas à démontrer
Voilà, vous venez de résumer la qualité de votre production. A savoir : "il n'y a pas à démontrer". En somme vous ne vous lancez pas dans des démonstrations car vous n'avez absolument aucunes données. VOus ne faites que supputer et affirmer avec un ton péremptoire à partir d'illusions que vous vous construisez afin qu'elles collent au mieux à vos intérêts.
On appelle généralement cela un troll. Comme contrairement à vous j'ai des billes, je vous donne trois liens qui démontent cette propagande :
https://blogs.mediapart.fr/sylvain-bermond/blog/041017/exil-fiscal-au-dela-des-idees-recues
https://linsoumission.fr/2023/02/08/riches-quitter-le-pays/
https://www.alternatives-economiques.fr/impot-fortune-mythe-de-lexil-fiscal-riches/00110170
Et je cite :
La part de contribuables redevables de l’ISF partis à l’étranger était de l’ordre de… 0,1% à 0,2%
Quand l’impôt sur la fortune (ISF) existait encore, la part de contribuables redevables de l’ISF partis à l’étranger était… ridicule. Selon un rapport de la Direction générale des dépenses publiques datant de 2012, ils étaient au nombre de… 587 personnes seulement à être partis cette année là. Sur un totale de 290 000 contribuables soumis à cet impôt. Soit 0,2% du total. Un exode massif ! En 2001, ils n’étaient que 384 sur 269 448 personnes, soit 0,14% du total, selon l’Union SNUI Sud Trésor Solidaires. « Il n’existe aucune hémorragie de ce côté-là » confirme l’économiste Thomas Piketty. La seule hémorragie qui existe c’est celle des grands groupes qui fuient massivement l’effort collectif par l’optimisation fiscale, faisant peser l’impôt en proportion beaucoup plus importante sur les TPE et PME. Les gros payent (très) petits, et les petits payent gros.
En somme, ce que vous dites relève du mythe. Non seulement le lien entre pression fiscale et exil fiscal est ténu, voir inexistant (lorsque l'on se rend compte que certaines baisses de la pression se traduisent pas des départs qui augmentent) mais en + les retours d'exils fiscaux suite à des baisses de pression fiscale peuvent se traduire par des pertes (comme dans le cas de la Suède).
Et enfin un dernier lien afin que vous puissiez constater que l'on vit dans un paradis fiscal ou un pays d'assistanat (pour les + fortunés) :
https://www.monde-diplomatique.fr/2018/02/BRIE/58360