keskikoa Macron agite la menace existentielle comme Powell agitait les fioles de l'arme de destruction massive.
Powell en 2003, l'affaire des couveuses au Koweît, l'USS Maine si nous remontons un peu plus le temps... Dans toutes ces histoires, il est question des médias en tant que caisse de résonance, du rôle des journalistes dans la diffusion des thèses possibles.
Je sais bien que le journalisme peut être un art de l'enquête, comme l'histoire, mais à son contraire, il porte généralement sur des événements "actuels" ; c'est-à-dire qu'il est encore plus difficile de les éclairer, de rassembler des preuves... A défaut de preuves, reste l'opinion, la possibilité d'une argumentation, certes pas forcément dénuée de sagesse, reposant sur des soupçons. : A qui profite le crime ? Qui peut mener telle opération ?
Pour résumer, il est question de la véracité de l'information, ce qui implique aussi sa fiabilité dès lors que l'on admet la possibilité de manipulation de l'opinion publique.