[supprimé] J'ai été également frappé par la ferveur de certaines personnes ou groupe de personnes réunies dans la rue. Cette vision m'a vraiment fait chaud au coeur dans un moment aussi pénible.

sangtriste Remise en service...religieux?
L'important c'est l'ouverture au public; les bondieuseries font perdre du temps de disponibilité pour les visiteurs!

Là, je ne suis pas d'accord. C'est un lieu de recueillement, pas une foire. Un sanctuaire.

chevalier-du-temple Si tu ne veux pas que nous parlions politique et actualité récente, c'est très bien, il en sera fait comme tu le désires.

Tu as raison sur certaines réactions, j'avais oublié. Pourtant, nous devons aussi nous souvenir de certaines réjouissances à l'époque.

https://www.causeur.fr/notre-dame-musulmans-republique-160778
Notre-Dame, c’était la France…
... à travers l’incendie de Notre-Dame de Paris, c’est bien une part de notre identité qui est partie en fumée, une part de ce que nous avons été et de ce que nous sommes encore qui s’est volatilisée.

“C’est un truc de chrétiens, moi je suis musulman”
Il suffit en effet d’interroger des enseignants qui travaillent dans certains établissements de la région parisienne pour se rendre compte à quel point l’incendie de Notre-Dame a été perçu par beaucoup de jeunes musulmans comme un événement sans aucun intérêt, voire comme une certaine source de satisfaction. « Cet incendie, on s’en fiche, Monsieur. La cathédrale, c’est un truc de chrétiens, moi je suis musulman, je m’en fiche. La France pleure, eh bien moi, je pleure pas, même si j’ai les papiers, ce n’est pas mon pays, la France », a par exemple répondu un élève de troisième à un professeur de français du Val d’Oise qui abordait l’incendie en classe. « Wallah, les Français pleurent, mais ça ne me fait ni chaud ni froid. Personne n’a pleuré après les attentats de Christchurch, alors les églises et les cathédrales de Babtous, nous musulmans, on s’en fout. A la limite, ça me réjouit ! Qu’on s’occupe de nos frères en Palestine et qu’on arrête avec Notre-Dame de Paris », a quant à lui affirmé un élève de sixième d’un collège de Seine-Saint-Denis quand son professeur d’histoire-géographie a évoqué le drame.

[supprimé] C'est là qu'on mesure notre degré de dégénérescence : nous avons bien conscience qu'il nous faut sauver les ruines du passé car rien de ce que nous savons faire aujourd'hui ne pourra le surpasser.
Au temps des cathédrales, les maîtres d'ouvrage faisaient raser l'existant pour reconstruire plus grand, plus beau, en style nouveau. Combien d'édifices roman ont-ils été détruits pour faire place au gothique ?
Ainsi est née Notre-Dame de Paris.

Je vois bien ce que nos "architectes" d'aujourd'hui proposeraient à Macron s'il voulait marquer son siècle par son édifice.
C'est vrai qu'on a eu Pompidou qui a rasé tout un quartier pour bâtir sa tuyauterie. Il n'a pas osé le faire à la place de Notre-Dame de Paris. Pourquoi ? Et bien parce qu'il savait que son truc serait de la merde et c'est réussi.