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Mon-gros-doigt A la différence que ces plateforme n'ont pas eu le succès de Twitter.
Mais c'est justement ce que j'essaye de prouver avec ces exemples...
Mamma mia.
Vous nous racontez un conte de fées où il ne faut pas s'inquiéter de l'hyper-centralisation du contrôle quasi intégral du web par une dizaine de boites à tout casser parce que "ATTENTION LA CONCURRENCE EST LA".
D'ailleurs, un conte de fée capitaliste et libéral à 2000%.
Mais antiglobaliste hein...
Le capitalisme et le libéralisme ne marchent que s'il y a des règles pour les encadrer. Or votre super héros Musk chie des pendules dès qu'il est confronté à des règles.
Par contre, quand les règles sont en sa faveur, il en profite un max.
Et je peux citer des exemples dans les deux cas.
En fait, il n'y a aucune surprise à avoir des actions de Musk sur Twitter: il y fait exactement ce qu'il a toujours voulu faire. Ce qu'il veut, quand il veut.
Exactement comme n'importe quel milliardaire. Etre une pompom-girl de Musk, c'est vraiment être comme une pompom-girl d'Arnaud Lagardère: un truc dont tout le monde devrait se moquer dans un monde sensé.
Sauf que l'un est à la mode, l'autre non.
Et qu'Arnaud Lagardère a le bon goût de faire profil bas.