[supprimé] Poutine a dit qu'il connaissait les coupables et qu'il avait bien l'intention de leur rendre la justice qu'ils méritent. A savoir que Poutine fait toujours ce qu'il dit.

A titre indicatif, le 2 mai 2014, les heurts ont débuté avec l'attaque par les pro-russes d'une manifestation pro-ukrainienne. Les deux premiers morts de la journée étaient des activistes pro-ukrainiens, tués par balle. Lorsque le rapport de force s'est inversé, les pro-russes se sont réfugiés dans la Maison des syndicats. Là, les deux camps ont échangé des jets de cocktails Molotov, provoquant un incendie. Des pro-russes qui tentaient d'échapper aux flammes ont été battus.

chevalier-du-temple Poutine a dit qu'il connaissait les coupables et qu'il avait bien l'intention de leur rendre la justice qu'ils méritent. A savoir que Poutine fait toujours ce qu'il dit.

Il a même dit que Zelensky en faisait partie.
Ce n'est pas pour rien que les prisonniers d'Azov ont été bombardés par les ukrainiens. Je pense que certains avaient parlé et il fallait les éliminer

Et on dira que c’est de la propagande russe.

voici André Parouby, https://fr.wikipedia.org/wiki/Andriy_Paroubiy il est le cofondateur du parti fasciste ukrainien " Parti social National d’Ukraine " (SNPU) devenu Svoboda, dont il a été membre de 1991 à 2004, et dont il a dirigé la structure paramilitaire.

Fin 1999, il les transforme en une aile pour la jeunesse, à vocation paramilitaire : les Patriotes d’Ukraine, dont le premier responsable a été Andriy Parubiy. Sa création a été saluée par un immense défilé aux flambeaux dans Lviv.

Chez Libé, ils ont oublié de nous préciser 2 ou 3 trucs dans sa Bio en 2014, par exemple Un "néonazi" ukrainien reçu à l'Assemblée.

Avec le secrétaire général adjoint de l’OTAN, le General Alexander Vershbow en 2014

Avec le premier Ministre Canadien en février 2016

Avec la Ministre Américaine pour l’Europe après sa nomination

Et là, le 13 mai, par le Président de l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe

Tiens et même bien avant en 1941, voici Iaroslav Stetsko https://fr.wikipedia.org/wiki/Iaroslav_Stetsko le premier adjoint de Stepan Bandera https://fr.wikipedia.org/wiki/Stepan_Bandera offrant le pain et le sel traditionnels aux anciens maîtres libérateurs allemands en Ukraine.

Et voici quelques décennies plus tard, avec les nouveaux maîtres

Les États Unis sont les principaux responsables de ce conflit. Par contre on est obligé de se poser la question pourquoi l'Europe refuse de réfléchir ? Pourquoi continuent-ils à suivre aveuglément la politique des Etats-Unis au détriment de l'avenir de leurs peuples .

Bonjour,

C'est le boy friend de Ursula von der Leyen.

Cordialement.

chevalier-du-temple N'est-il pas étonnant qu'aujourd'hui le gouvernement Biden affirme qu'il n'y a pas de nazis en Ukraine alors qu'en 2018, le gouvernement américain interdisait formellement la fourniture d'armes au bataillon d'Azov?

Vu que vous mélangez tout, je me vois dans l'obligation de vous signaler qu'en 2018, c'est Trump qui était Président. Il a d'ailleurs retenu la livraison d'armes à l'Ukraine car Zelensky ne voulait pas lui fournir des éléments calomnieux sur Biden et son fils.

Le soutient des USA, des Européens et l'attitude même de Zelensky démontrent que, si des éléments néonazis sont peut-être toujours présents en Ukraine, ils n'ont pas l'importance que certains excités communisants veulent absoument leur donner.

Il est réconfortant de voir les USA et l'Europe s'unir pour faire barrage aux ambitions expansionnistes délirantes du plus authentique porteur des principes nazis, votre idole Poutine.

ciceron8 Le soutient des USA, des Européens et l'attitude même de Zelensky démontrent que, si des éléments néonazis sont peut-être toujours présents en Ukraine, ils n'ont pas l'importance que certains excités communisants veulent absoument leur donner.

Arrêtez donc de déblatérer des inepties !

L'Ukraine a un sérieux problème néonazi. Kiev doit faire face à un problème croissant derrière les lignes de front car des miliciens d'extrême-droite recourent à l'intimidation et même à la violence pour faire avancer leurs programmes. Les membres de la << milice nationale >> ultranationaliste, jurent d'utiliser la force pour rétablir l'ordre. Voila qui illustre cette menace. Je me rappelle que des membres cagoulés de cette milice ont pris d'assaut une réunion du conseil municipal dans la ville ukrainienne de Tcherkassy, forçant les députés à adopter un nouveau budget. A noter que de nombreux membres de la milice nationale sont issus du mouvement Azov. Bien qu'Azov utilise le symbolisme de l'ère nazie et recrute des néonazis dans ses rangs, un article récent paru dans "Foreign Affairs" a minimisé les risques que le groupe pourrait poser, soulignant que, comme d'autres milices de volontaires, Azov a été maitrisé grâce à son intégration dans les Forces armées ukrianiennes. S'il est vrai que les milices privées ne dominent plus le front, c'est du front intérieur dont Kiev doit se préoccuper maintenant.

Il est curieux de trouver ici un tel niveau de désinformation qui dépasse ce que l'on peut entendre du côté du kremlin. D'une part, on ne peut accuser Zelensky d'être responsable de la mort d'ukrainiens pro-russes sans qu'aucune source chiffrée ne soit mentionnée, et d'un autre côté, porter aux nues Poutine, dont la responsabilité d'au moins 20 000 morts civils ukrainiens est indiscutable.
Il semble que le manque de discernement soit la raison principale de cette prise de position ou bien es ce le résultat d'un antiaméricanisme profond qui provoque une perte du sens des réalités.

chevalier-du-temple

Le problème de corruption est bien identifié, notamment par l'Union Européenne qui a exigé que des progrès substantiels soient réalisés à ce sujet. C'est une des raisons qui justifient la période de transition imposée par l'UE avant son admission définitive.

L'adhésion de la population aux valeurs de l'UE est de bon augure. Et, pour les Ukrainiens, quelle est l'alternative?

Le paradis autoritaire de Poutine dans lequel ils n'auraient aucun droit?

Il était déjà difficile d'imaginer un rapprochement entre la Russie et l'Ukraine avant ce conflit, étant donné leurs antécédents donc on peut facilement concevoir que cette rupture sera définitive à présent. On se demande ce qu'aura gagner Poutine à agir de la sorte, à part se mettre à dos le monde occidental et dont l'image de sauveur se fissure de jour en jour.
https://www.radiofrance.fr/franceinter/des-elus-locaux-russes-s-opposent-a-vladimir-poutine-et-veulent-faire-entendre-une-autre-voix-de-la-russie-5979211

Bien que de nombreux Ukrainiens continuent de considérer les milices avec gratitude et admiration, les plus extrêmes parmi ces groupes promeuvent une idéologie intolérante et illibérale qui mettent en danger l'Ukraine à long terme. Les milices ont été officiellement intégrées dans les forces armées ukrainiennes, mais certaines ont résisté à une intégration totale. Azov par exemple, gère son propre camp d'entraînement, et la section des carrières instruit les recrues qui souhaitent être transférées à Azov à partir d'un poste régulier, unité militaire.

De nombreux groupes organisés d'extrême-droite existent en Uktraine, et si les bataillons de volontaires ont peut-être été officiellement intégrés aux structures de l'Etat, certains d'entre eux ont depuis créé des structures politiques et à but non lucratif pour mettre en oeuvre leur vision. Azov qui est connu pour sa violence, a harcelé et attaqué des manifestations antifascistes, des réunions du conseil municipal, des médias, des expositions d'art, des étudants étrangers et des Roms. Il existe un climat de peur. En Ukraine, les extrémistes sont rarement punis pour des actes de violence.

ciceron8 Je rappelle toutefois qu'en septembre 1941, c'est toute l'Union Soviétique, y compris donc l'Ukraine, qui était l'alliée de l'Allemagne nazie.(Pacte Molotov-Ribbentrop d'août 1939).

Une nouvelle fois, vous étalez votre méconnaissance de l'Histoire. Ou plutôt une connaissance inspirée des comptoirs.

Le pacte Molotov-Ribbentrop n'était en rien un traité d'alliance, mais un accord mutuel de non-agression. Il était un engagement de neutralité en cas d'entrée en conflit d'un des deux signataires, tout le contraire d'une alliance donc.