• [supprimé]

chevalier-du-temple Le 2nd Temple ayant été construit au 5ième siècle avant JC, il y a plus de probabilité qu'il ait ressemblé à un ziggurat assyrien ou babylonien qu'à un temple grec. Mais peu importe, c'est le mythe qui compte, et on n'est effectivement pas prêt d'entreprendre des fouilles sur l'Esplanade des Mosquées. Jerusalem est magique, il n'y a pas grand-chose à y voir en dehors de constructions postérieures à l'ère juive, tout est dans les mythes et la religion.

    [supprimé] Vous avez tout à fait raison car en effet, il existe une certaine similarité entre le Temple de Jérusalem et la Ziggourat mésopotamienne qui, elle aussi, est une construction monumentale de prestige. Un temple haut et un lien entre le Ciel et la Terre.

    Zorbec-le-gras Le catholicisme et son culte des saints est semblable au polythéisme

    C'est vrai, mais ce n'est pas pour autant que les cathos ont torts! ;-)

    Après avoir préparé la venue de Jésus dans le peuple Juif, Dieu le fait venir parmi nous à Bethléem, par l'intermédiaire de Marie. Si Jésus reste trente ans à Nazareth, c'est que son Père des Cieux veut que son Fils partage la vie des hommes avant sa vie publique et sa Passion.

    L'Evangile ne parle pas de la vie cachée de Jésus. Au point de vue social plus qu'au point de vue personnel, il est nécessaire de supplier à ce silence. Ce n'est pas sans raison que le Fils de Dieu a passé trente trois ans au milieu des hommes, qu'il en a donné trente à la vie d'un ouvrier. De cette classe ouvrière aux vêtements simples, aux mains calleuses et à la vie pénible, qui gagne son pain à la sueur de son front.

    Sans doute a-t-il voulu par là consoler les petits de ce monde de leur humble condition, leur apprendre à se contenter de leur sort, à sanctifier le côté pénible de leur existence. Il a voulu aussi nous donner les leçons de toutes les vertus de la vie commune : l'humilité, la patience, l'amour du travail et l'esprit de pauvreté.

    Au temps de Jésus l'ouvrier était méprisé et avilie, le travail manuel délaissé. Jésus a voulu relever l'ouvrier, ennoblir sa condition et réhabiliter le travail des mains.

    sainte Thérèse de l'Enfant Jésus, Docteur de l'Eglise.
    "Je passerai mon ciel à faire du bien sur la terre".

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    [supprimé] a renommé le titre en Catholicisme le .
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    Poufpouf Je note aussi le fait que, quand le brave pape François en appelle à la compassion envers les migrants, il se fait traiter de gauchiste par les tradis.

    Non de progressiste par certains qui prétendent avoir compris le message du Christ.

      jack127 Combien de migrants accueillis au Vatican depuis que François est Pape?

      A l'époque de Jésus les neuf dixièmes du genre humain était réduits en esclavage. La loi suprême des esclaves, c'était de n'être rien qu'une chose, sous la main du maître, et cette condition déplorable avait pour effet de les soumettre aux lois qui régissaient la propriété matérielle. Il en était de même chez les Grecs dont on ose nous conter la civilisation, et aussi chez les Romains, dont la loi disait : << L'esclave n'est pas une personne, c'est une chose. >> Il n'avait ni foyer, ni famille. Ses enfants appartenaient au maître comme les petits des animaux.

      Le maitre avait le droit de battre les esclaves et de les vendre, de les brutaliser et de lkes tuer, sans avoir à en rendre compte à aucune autorité. Par exemple, un certain sénateur Vedius Pollio, faisait jeter tous les jours, une douzaine de ses esclaves en pâture à des murènes, parce qu'il avait remarqué que la chair de ces poissons est plus délicate, lorsqu'ils sont nourris de chair humaine.

      Dans les cirques, on faisait mourir des milliers d'êtres humains, dans le seul but d'amuser les hommes libres. Suètone nous dit qu'en un seul mois vingt mille moururent ainsi dans les cirques de Rome. Ils devaient se battre les uns contre les autres, ou bien contre les bêtes fauves, pour distraire les spectateurs. Le combat était souvent une vraie bataille et parfois la bataille etait un combat naval. L'arène était submergée par les eaux du Tibre et des barques portaient les combattants. Il existe des lettres de Pline à l'empereur Trajan, le félicitant d'avoir pu fournir annuellement cent cinquante-six jours de ces spectacles barbares.

      Même dans les familles libres, la vie des enfants n'était pas respectée. Par exemple, à Sparte, les parents étaient obligés par la loi de jeter dans le gouffre du mont Taggète les nouveaux-nés qui ne semblaient pas assez robustes. A Rome, le père devait tuer sur-le-champ l'enfant né difforme. Le père conservait son droit de vie et de mort même sur les enfants adultes. Je me rappelle de certains épisodes de l'histoire romaine où des pères mettaint leurs fils en prison, les faisaient fouetter ou enchaîner et parfois les condamnaient à mort. Je ne parle pas de la condition des femmes qui était déplorable, des sacrifices humains, des hécatombes de petits enfants immolés aux faux dieux. A cette époque il n'y avait nulle part des écoles, des hôpitaux pour les malades, les infirmes ou des établissements pour les orphelins du peuple. Je sais, aujourd'hui, on croit rêver lorsqu'on lit des choses pareilles, et pourtant, c'est ce qu'affirme l'étude de l'Histoire.

      C'est Jésus Fils de Dieu qui a changé ce triste état de choses. Tout est parti de l'enseignement de l'Evangile et de la pratique de la charité. Dès le premier siècle, nous voyons des riches, par amour pour le Christ, donner la liberté à leurs esclaves, partager leurs biens avec eux, demander même l'honneur de les servir dans leurs maladies et dans leur vieillesse. C'est d'ailleurs ainsi que naquirent l'instruction publique et la charité publique, les hôpitaux et les écoles, les hospices et les orphelinats, les collèges et les universités.

        Easy.
        Église énorme propriétaire terrien >> esclaves pour faire tourner le bouzin.
        Normalement on voit ça au collège.

        white-widow-power Non, ce n'est pas grotesque, c'est un fait avéré que l'Evangile a adoucit et changé la condition des esclaves. Ceci dit, je suis personnellement convaincu que l'esclavage est une chose infâme de l'histoire.

        Pendant plus de quinze siècles, l'esclavage a été au coeur politique et économique des nations. La plupart des sociétés ne pouvaient pas fonctionner ou se construire sans esclaves. Le catholicisme colonial a été en effet esclavagiste. Pas seulement l'Eglise mais des églises chrétiennes qui ont convergé avec des actions des Etats, ont une part de responsabilité dans la propagation de l'esclavage. A noter que durant l'essor de la traite coloniale, les arguments éthiques sont passés au second plan, c'était l'époque du mercantilisme.

        Maintenant, du point de vue religieux, il faut se rappeler que dans sa prédication, Jésus dit que Dieu ne peut asservir ce qu'il a créé libre. Il faut bien comprendre que dans le christianisme, des hommes baptisés, qui n'avaient que chrétien que le nom, ont eu recours à des abominables actions contre des êtres humains, mais personne n'a le droit d'en rendre Jésus responsable. Les crimes qui se sont commis, étaient la violation formelle de ses enseignements et de ses préceptes. On pourrait signaler bien des abus et bien des injustices qui vont à l'opposé de la doctrine chrétienne, mais il faut avoir perdu toute notion de la justice pour en faire retomber la responsabilité sur la religion chrétienne.

        • [supprimé]

        Bonjour,

        De toute façon pour la Bible l'Homme a toujours tord .

        Cordialement.