Catholicisme
jack127 Combien de migrants accueillis au Vatican depuis que François est Pape?
Paix sur terre aux hommes de bonne volonté !
chevalier-du-temple Paix sur terre aux hommes de bonne volonté !
Et aux femmes de bonne fidélité!
A l'époque de Jésus les neuf dixièmes du genre humain était réduits en esclavage. La loi suprême des esclaves, c'était de n'être rien qu'une chose, sous la main du maître, et cette condition déplorable avait pour effet de les soumettre aux lois qui régissaient la propriété matérielle. Il en était de même chez les Grecs dont on ose nous conter la civilisation, et aussi chez les Romains, dont la loi disait : << L'esclave n'est pas une personne, c'est une chose. >> Il n'avait ni foyer, ni famille. Ses enfants appartenaient au maître comme les petits des animaux.
Le maitre avait le droit de battre les esclaves et de les vendre, de les brutaliser et de lkes tuer, sans avoir à en rendre compte à aucune autorité. Par exemple, un certain sénateur Vedius Pollio, faisait jeter tous les jours, une douzaine de ses esclaves en pâture à des murènes, parce qu'il avait remarqué que la chair de ces poissons est plus délicate, lorsqu'ils sont nourris de chair humaine.
Dans les cirques, on faisait mourir des milliers d'êtres humains, dans le seul but d'amuser les hommes libres. Suètone nous dit qu'en un seul mois vingt mille moururent ainsi dans les cirques de Rome. Ils devaient se battre les uns contre les autres, ou bien contre les bêtes fauves, pour distraire les spectateurs. Le combat était souvent une vraie bataille et parfois la bataille etait un combat naval. L'arène était submergée par les eaux du Tibre et des barques portaient les combattants. Il existe des lettres de Pline à l'empereur Trajan, le félicitant d'avoir pu fournir annuellement cent cinquante-six jours de ces spectacles barbares.
Même dans les familles libres, la vie des enfants n'était pas respectée. Par exemple, à Sparte, les parents étaient obligés par la loi de jeter dans le gouffre du mont Taggète les nouveaux-nés qui ne semblaient pas assez robustes. A Rome, le père devait tuer sur-le-champ l'enfant né difforme. Le père conservait son droit de vie et de mort même sur les enfants adultes. Je me rappelle de certains épisodes de l'histoire romaine où des pères mettaint leurs fils en prison, les faisaient fouetter ou enchaîner et parfois les condamnaient à mort. Je ne parle pas de la condition des femmes qui était déplorable, des sacrifices humains, des hécatombes de petits enfants immolés aux faux dieux. A cette époque il n'y avait nulle part des écoles, des hôpitaux pour les malades, les infirmes ou des établissements pour les orphelins du peuple. Je sais, aujourd'hui, on croit rêver lorsqu'on lit des choses pareilles, et pourtant, c'est ce qu'affirme l'étude de l'Histoire.
C'est Jésus Fils de Dieu qui a changé ce triste état de choses. Tout est parti de l'enseignement de l'Evangile et de la pratique de la charité. Dès le premier siècle, nous voyons des riches, par amour pour le Christ, donner la liberté à leurs esclaves, partager leurs biens avec eux, demander même l'honneur de les servir dans leurs maladies et dans leur vieillesse. C'est d'ailleurs ainsi que naquirent l'instruction publique et la charité publique, les hôpitaux et les écoles, les hospices et les orphelinats, les collèges et les universités.
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Grotesque.
L’Église a toujours été un employeur majeur d'esclaves.
Jésus est mort en cette qualité.
white-widow-power Pourriez-vous développer ce point et donner plus de détails pour substancier votre affirmation.
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Easy.
Église énorme propriétaire terrien >> esclaves pour faire tourner le bouzin.
Normalement on voit ça au collège.
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white-widow-power Non, ce n'est pas grotesque, c'est un fait avéré que l'Evangile a adoucit et changé la condition des esclaves. Ceci dit, je suis personnellement convaincu que l'esclavage est une chose infâme de l'histoire.
Pendant plus de quinze siècles, l'esclavage a été au coeur politique et économique des nations. La plupart des sociétés ne pouvaient pas fonctionner ou se construire sans esclaves. Le catholicisme colonial a été en effet esclavagiste. Pas seulement l'Eglise mais des églises chrétiennes qui ont convergé avec des actions des Etats, ont une part de responsabilité dans la propagation de l'esclavage. A noter que durant l'essor de la traite coloniale, les arguments éthiques sont passés au second plan, c'était l'époque du mercantilisme.
Maintenant, du point de vue religieux, il faut se rappeler que dans sa prédication, Jésus dit que Dieu ne peut asservir ce qu'il a créé libre. Il faut bien comprendre que dans le christianisme, des hommes baptisés, qui n'avaient que chrétien que le nom, ont eu recours à des abominables actions contre des êtres humains, mais personne n'a le droit d'en rendre Jésus responsable. Les crimes qui se sont commis, étaient la violation formelle de ses enseignements et de ses préceptes. On pourrait signaler bien des abus et bien des injustices qui vont à l'opposé de la doctrine chrétienne, mais il faut avoir perdu toute notion de la justice pour en faire retomber la responsabilité sur la religion chrétienne.
[supprimé]
Bonjour,
De toute façon pour la Bible l'Homme a toujours tord .
Cordialement.
C'est en l'an 28 de notre ère que Jésus commence sa vie publique.
Durant un peu moins de trois ans, il s'en va sur les routes de Palestine annoncer à tous que le Royaume de Dieu est proche, mais que pour y entrer il faut satisfaire à certaines exigences.
Au cours de sa vie., beaucoup se sont demandé en le voyant ou en l'entendant << Qui est cet homme qui parle comme nul autre ? >> Certains ont vu en lui un imposteur ou un illuminé, d'autres l'ont considéré comme un homme de bien. Certains ont même renoncé à tout pour le suivre et lui donneront même le témoignage de leur sang. Dans les jours ou les semaines qui suivent, je m'efforcerai donc avec humilité, de vous expliquer qui était Jésus de Nazareth.
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chevalier-du-temple C'est en l'an 28 de notre ère que Jésus commence sa vie publique.
En 28 il était ad patres, cloué au lit par une méchante crise d'asthme.
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Sous le règne de Tibère, Ponce-Pilate était gouverneur de la Judée et Hérode, tétraque de Galilée. Les grands prêtres étaient Anne et Caiphe. Plus que jamais les Juifs étaient soumis aux étrangers, c'était le moment marqué par les Prophètes pour la venue du Messie. Jean-le-Baptiste qui se trouvait sur les bords du Jourdain, annonçait que le Messie allait venir. Il administrait le baptême et invitait les âmes à se convertir. En même temps il rassemblait autour de lui des jeunes gens de grande générosité, qu'il préparait à devenir les disciples de Jésus. Tout le pays de Judée et tous les habitants de Jérusalem venaient à lui en confessant leurs péchés. Jean menait une vie très dure et vraiment pénitente. Il était vêtu de poils de chameau avec une ceinture de cuir autour des reins, et se nourrissait de sauterelles et de miel sauvage. A ceux qui posaient des questions sur la charité ils leurs disaient : << Que celui qui a deux tuniques en donne une à celui qui n'en a point ; que celui qui a de quoi manger fasse de même. >> Il y en a qui pensaient que Jean pourrait bien être le Christ. Jean s'empressa de déclarer le contraire à la multitude :: << Je vous baptise dans l'eau, pour la pénitence ; mais il en viendra un plus puissant que moi à qui je ne suis pas digne de délier la courroie de la chaussure ; lui vous baptisera dans l'Esprit-Saint. >>
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En ce temps-là, alors qu'une foule innombrable recevait le baptême des mains de Jean-le-baptiste, Jésus vint de Nazareth, au Jourdain, pour être baptisé par Jean. Lorsque que Jean vit Jésus venir vers lui, il dit : << Voila l'Agneau de Dieu, voici celui qui ôte les péchés du monde. >> Jésus lui demanda d'être baptisé mais Jean s'y refusait : << C'est moi qui doit être baptisé par vous, et vous venez à moi ? >> Jésus lui répondit : << Laisse-moi agir ainsi maintenant car c'est ainsi qu'il convient que nous accomplissions toute justice. >>
Jésus ayant été baptisé, le Saint-Esprit descendit sur lui sous la forme d'une colombe qui se reposa sur sa personne. Puis Jésus s'éloigna du Jourdain et se retira au désert de Juda afin de méditer une dernière fois, dans le silence de la prière. Il y resta pendant quarante jours et quarante nuits et y fut tenté par Satan. Vivant parmi les bêtes, il ne mangea rien pendant ces jours. Satan tenta Jésus d'abord de gourmandie et d'orgueil, puis d'avarice, enfin d'ambition et d'idolâtrie. Jésus lui répondit : << L'homme ne vit pas seulement de pain, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu. >> Satan le transporta dans la cité sainte, sur le pinacle du Temple, et lui dit : << Si vous êtes le Fils de Dieu, jetez-vous en bas. >> Jésus lui dit : << Il est écrit : Tu ne tenteras point le Seigneur ton Dieu. >> Satan le transporta encore sur une montagne, et lui montra tous les royaumes du monde : << Je vous donnerai toute cette puissance et la splendeur de ces royaumes, si vous vous prosternez devant moi et m'adorez, tous seront à vous. >> Alors Jésus lui dit : << Retire-toi Satan ; car il est écrit : Tu adoreras le Seigneur ton Dieu et ne serviras que lui seul. >>
Jésus nous a montré qu'il faut arrêter la tentation dès le premier pas. Sa conduite nous montre comment il faut résister au mal, surtout par la fermeté dans la foi et la pensée des jugements de Dieu. La lecture et la méditation de l'Evangile sont nécessaires pour cela. Il est étonnant de voir qu'à chaque fois, Jésus repousse le tentateur par un mot de la Sainte Ecriture. Enfin, tout moyen de tentation étant épuisé, Satan s'éloigna de lui et lorsqu'il reparaît en public, Jésus est prêt.
Jean-le-baptiste était tellement modeste qu'il ne voulait pas s'appeler prophète alors qu'il était plus que les prophètes. Jean qui rendait témoignage disait : << Celui qui doit venir après moi a existé avant moi, parce qu'il au-dessus de moi. >> De Jérusalem furent envoyés des prêtres et des lévites pour le questionner : << Ce n'est pas moi qui suis le Christ >> disait Jean : << Je suis la voix de celui qui crie dans le désert. >> On savait qu'Elie devait revenir sur la terre, c'est pourquoi on supposait qu'il pourrait bien être Jean. Ceux qui avaient été envoyés étaient des Pharisiens qui affectaient la plus grande sévérité dans la conduite de la loi. Jean rendit ce témoignage : << J'ai vu l'Esprit descendre en forme de colombe, et demeurait sur Lui. Je ne le connaissais pas mais celui qui m'a envoyé baptiser dans l'eau m'a dit : << Celui sur qui tu verras l'Esprit descendre et demeurer, c'est celui-là qui baptise dans l'Esprit-Saint. Je l'ai vu, et j'ai rendu témoignage que c'est lui qui est le Fils de Dieu. >> Jean n'a été envoyé que pour préparer la voie à Jésus. Le témoignage de Jean, sur la divinité de Jésus, a une très grande importance à cause de sa sainteté incontestable.