jack127
Examinons le cas que vous me présentez. Rappelons deux principes admis dans votre doctrine : 1- le Décalogue est loi parfaite venue de Dieu. -- af90 et af90 --; 2- tout arrive en en vertu de la Providence de Dieu, dont une part est la prédestination des hommes, sachant que Dieu lors de la création a attribué un libre-arbitre de la volonté à l'homme. -- af90 et af90 --
Si j'applique, voici la question : l'homme use-t-il ou abuse-t-il de son libre-arbitre de la volonté lorsqu'il tente de sauver tel ou tel homme, jugement donc relatif à un cas donné, en le maintenant en vie artificiellement ? Si tout arrive en vertu de la Providence de Dieu, il est tout à fait possible que le dilemme moral qui suit, soit pour les hommes qui le subissent, ou pour d'autres, l'effet d'une fessée divine, en raison de l'abus du libre-arbitre de la volonté de tel ou tel homme, dans notre cas. Question alors subséquente : en quoi est-ce conforme à la justice de Dieu ?
De toute façon, dès lors que vous postulez que telle loi est parfaite, au contraire de n'importe quelle loi humaine, si elle ne l'est pas, vous vous heurterez aux contradictions qui en résultent. De la même manière, si le 2- est une affirmation tout aussi fausse, vous vous heurterez aussi aux contradictions qui en résultent. Quand vous admettez une bêtise, ou une proposition fausse, dans la mesure de sa fausseté, elle engendre tout un tas de bêtises : c'est la multiplication des pains, version bêtise.