Aucun musulman ne peut connaître la foi chrétienne en lisant le Coran. Les musulmans rejettent l'essentiel concernant le Christ. Le Coran déforme son message.

katou
Pourtant il a raison, il était jadis beaucoup plus difficile pour un catholique d'obtenir pénitence ; et lorsque la pénitence s'obtient trop facilement, qu'elle n'est plus en relation avec le "péché" commis, elle n'a plus tellement de sens.

jack127
Plutôt que de spéculer à votre guise sur la volonté de Dieu dans tel ou tel cas, ce qui ne mène pas à grand chose, concentrez-vous sur ce que votre doctrine vous en dit : respect strict du décalogue.

En l'occurrence le cas que vous me présentez, et que vous grossissez aux dépens de tous les autres, est venu des progrès de la technique : le revers de la médaille, pour un catholique, car pose un cas de conscience ou dilemme moral : en maintenant en vie artificiellement, il est question de débrancher ou non, et débrancher un homme à qui il reste une vie végétative, revient à tuer, oui.

af90, certains prêtres donnent des bénédictions pour des remariages de gens riches ! L'argent ouvre bien des portes et fait fermer les yeux du Vatican en échange d'une belle rémunération.

chevalier-du-temple
Je lui pose ces questions pour mettre en évidence ce que je disais précédemment : le prêtre qui ne guide plus le troupeau ou peuple de Dieu, mais qui lui court après, qui accepte des compromissions pour ne pas perdre l'essentiel de ses ouailles. Le risque de contagion pour le prêtre, par les mauvaises brebis, existe toujours : la brebis comme incitation à pécher, ou à accepter le péché. Médecine pour le prêtre : lui rappeler le traité du sacerdoce de Chrysostome.

jack127

Examinons le cas que vous me présentez. Rappelons deux principes admis dans votre doctrine : 1- le Décalogue est loi parfaite venue de Dieu. -- af90 et af90 --; 2- tout arrive en en vertu de la Providence de Dieu, dont une part est la prédestination des hommes, sachant que Dieu lors de la création a attribué un libre-arbitre de la volonté à l'homme. -- af90 et af90 --

Si j'applique, voici la question : l'homme use-t-il ou abuse-t-il de son libre-arbitre de la volonté lorsqu'il tente de sauver tel ou tel homme, jugement donc relatif à un cas donné, en le maintenant en vie artificiellement ? Si tout arrive en vertu de la Providence de Dieu, il est tout à fait possible que le dilemme moral qui suit, soit pour les hommes qui le subissent, ou pour d'autres, l'effet d'une fessée divine, en raison de l'abus du libre-arbitre de la volonté de tel ou tel homme, dans notre cas. Question alors subséquente : en quoi est-ce conforme à la justice de Dieu ?

De toute façon, dès lors que vous postulez que telle loi est parfaite, au contraire de n'importe quelle loi humaine, si elle ne l'est pas, vous vous heurterez aux contradictions qui en résultent. De la même manière, si le 2- est une affirmation tout aussi fausse, vous vous heurterez aussi aux contradictions qui en résultent. Quand vous admettez une bêtise, ou une proposition fausse, dans la mesure de sa fausseté, elle engendre tout un tas de bêtises : c'est la multiplication des pains, version bêtise.

jack127
1- La vie terrestre est une fin en soi, mon ami, pour tous ceux qui n'adhèrent pas à des religions de salut : la question devient alors d'admettre l'éthique que vous considérez comme la plus propice à vous conduire au bonheur, relativement à la manière dont vous l'envisagez.

2- La question est plutôt : quelle éthique pour la médecine, sachant que par des règles vous risquez de limiter ses progrès et son exercice ; sans des règles, elle peut se retourner contre certains hommes, par exemple en servant leurs passions, ou en cherchant des progrès qui profiteront à certains hommes en sacrifiant d'autres hommes, ou aux dépens d'autres hommes.

cheshire-cat
"Une vision trop restrictive du salut". D'autres sectes chrétiennes pourraient arguer que l'Eglise catholique force les Saintes Ecritures afin d'étendre le salut depuis Vatican II : votre article, l'inclusivisme dont je parlais précédemment. Le ver avait sûrement déjà été introduit dans le fruit avec le purgatoire, il y a des siècles.