Doit y avoir une part (non négligeable ?) génétique.
Sinon, on a vu cela passer cette semaine.

On savait que notre foie se régénère. Mais c’est la première fois que le phénomène est étudié et mesuré chez l’humain. Plus de la moitié de toutes les cellules de votre foie sont nées au cours de la dernière année. Une donnée clé pour comprendre l’apparition des cancers.

https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-billet-sciences-du-week-end/notre-foie-se-regenere-tres-vite_5163475.html

https://www.cell.com/cell-systems/fulltext/S2405-4712(22)00171-5

    white-widow-power Ce sont des estimations portant uniquement sur les cancers évitables, mais l'étude française donne la proportion de ces cancers évitables par rapport au nombre total de cancer:

    Pour le foie, il n'y a pas photo: c'est essentiellement un cancer causé par l'alcool.
    Dans les cancers liés à l'alcool, tu peux ajouter ceux des voies aéro-digestives (mais il y a complémentarité avec le tabac pour l'oesophage par exemple).

    Anecdote :
    Mon grand-père paternel, fumeur et buveur devant l’Éternel se plaint de douleurs à l'abdomen (nous sommes dans les années 65-70).
    Le diagnostic du toubib, corroboré par des examens poussés est sans équivoque : cancer du poumon.
    Il a demandé à ma grand-mère de tenir le secret, de le laisser fumer, dans 6 mois il serait mort.
    Elle n'a pas tenu parole, a avoué à son mari qui a derechef arrêté la clope (pas l'alcool).
    Une opération et un poumon en moins, il a vécu 40 années supplémentaires.

    J'oubliais:

    SagesseLiberale Voilà la réalité scientifique

    La réalité scientifique a été établie par les autorités scientifiques et rapportée sur ce fil. Mais pas par vous.

    Parce que même en reprenant le dernier lien que vous avez posté, qui ne fait PAS un lien entre pesticides et "cancer", mais entre un pesticide et les LNH, et en supposant que TOUS les LNH soient causés par les pesticides, ce serait totalement marginal en terme de santé publique: les LNH (C82-85, C96 ci-dessous) représentent quelque chose comme 5% des cancers en France (et en plus, je vous l'ai déjà dit).

    Donc pendant que la "réalité scientifique" (la vraie, donc pas la vôtre) explique que presque la MOITIE des cancers sont évitables (et n'ont AUCUNE espèce de rapport avec les pesticides... ou la pollution), vous essayez de faire croire que vous vous préoccupez du sujet en mettant en avant une problématique AU MIEUX 10 fois moins importante.

    Conclusion: la santé publique et les cancers ne sont pas des préoccupations pour vous. Vous vous servez de cela comme excuse, vous vous en fichez, ce ne serait pas cela, vous utiliseriez autre chose.
    Corollaire: vous utilisez également la science comme excuse.

      grishka

      Vous manquez de rigueur. Si vous lisez le rapport, vous verrez que le nombre de cancers liés à la pollution atmosphériques (1466) ne sont en fait que des cancers du poumon. Les cancers du sein, des reins, de la vessie, que plusieurs travaux relient à la pollution de l'air ne sont pas pris en compte. Ca ne remet pas en cause le sérieux de l'étude citée mais pointe ses limites (liées notamment au fait que les études sur les cancers non pulmonaires sont postérieurs à celle que ovus citez)

        Il me semble évident que stress, mauvaise alimentation, absence de pratique sportive sont les cause de la plupart des cancers. On y ajoute le tabac, l'alcool, les abus de médicaments, (entre autre le paracétamol, censément anodin). La pollution, c'est peanuts, sauf cas particuliers (usine utilisant de l'amiante, agriculteurs maniant de grandes quantités de pesticides quotidiennement, présence de sources de dioxine à proximité, etc).
        Mais les maladies dues à la pollution sont plus fréquentes à la campagne qu'à la ville!
        Il n'y a pas que les cancers. Il y a aussi les problèmes cardio-pulmonaires, circulatoires, les AVC, etc.
        On pourrait aussi parler du sucre...
        C'est le mode de vie moderne dans son ensemble qui tue les gens, ou les rend dépressifs. Le cancer n'a plus ensuite qu'à les achever.
        Rien à voir avec la politique.

        7 jours plus tard

        SagesseLiberale Si vous lisez le rapport, vous verrez que le nombre de cancers liés à la pollution atmosphériques (1466) ne sont en fait que des cancers du poumon. Les cancers du sein, des reins, de la vessie, que plusieurs travaux relient à la pollution de l'air ne sont pas pris en compte.

        C'est faux. Doublement en plus.

        Un, il faut croire que vous ne savez pas lire le titre d'un tableau:

        Il n'est indiqué absolument nulle part qu'une seule ligne de ce tableau ne porterait que sur un type de cancer. C'est même écrit explicitement le contraire dans les méthodes ("Le nombre de cancers attribuables à l’ensemble des
        facteurs de risque étudiés était la somme des cas attribuables par localisation").
        Vous sortez cela de votre chapeau (*).

        Et de deux, c'est écrit explicitement dans le texte, je l'ai déjà mis mais je le remets, parce qu'en fait, cela s'adresse spécifiquement aux gens comme vous:

        De nouveau, il n'est écrit absolument nulle part que l'effet de la pollution atmosphérique n'est étudié que pour les cancers du poumon.

        Encore à essayer de faire dire à une étude ce qu'elle ne dit pas.

        SagesseLiberale liées notamment au fait que les études sur les cancers non pulmonaires sont postérieurs à celle que ovus citez

        Vous ne les avez pas lu ces études là non plus.
        Exemple: Breast Cancer Risk in Association with Atmospheric Pollution Exposure
        Cancers du sein attribuables annuellement à la pollution atmosphérique en France: 0.70 à 5.48% de tous les cancers du sein.
        De nouveau, vous luttez contre la simple l'arithmétique.
        Le borne inférieure de l'intervalle de confiance est presque cohérent à un risque nul.
        La borne supérieure ajouterait au 40% de cancers évitables établis un gigantesque... +0.8%
        Ah bah tout de suite, on voit bien le risque énorme, l'importance du truc en terme de santé publique...

        SagesseLiberale Ca ne remet pas en cause le sérieux de l'étude citée mais pointe ses limites

        Oui, bien sûr, les "limites" de ces études, les "limites" du consensus scientifique sur ces questions, alors que vous, vous êtes au courant des dernières découvertes qui n'ont bien évidemment alors aucune "limite" comme je l'ai montré ci-dessus.
        🤡

        (*) Nonobstant de toute façon qu'il est absolument EVIDENT que la pollution atmosphérique va d'abord affecter les poumons. De la même manière que vous avez voulu monter sur vos grands chevaux avec les LNH au défi de la simple arithmétique, vous vous imaginez faire prendre des vessies pour des lanternes en balançant l'hypothèse complètement hallucinante que la pollution atmosphérique provoquerait plus de cancer de la vessie ou du sein que de cancer des poumons.
        Par ailleurs, il est indiqué clairement:

        Une fraction attribuable a été estimée pour chaque localisation de cancer associée à ces facteurs de risque et pour laquelle un niveau de preuve élevé existait chez l’être humain. Les données d’exposition utilisées provenaient d’études nationales représentatives ou, à défaut, de méta-analyses. Les estimations de risque (risques relatifs, pour la plupart), provenaient de méta-analyses ou de grandes études de cohorte ou cas-témoins, plus rarement d’études françaises.

        Si un facteur de risque n'a pas encore été clairement identifié avec un niveau de preuve élevé, cela veut dire que SI le risque existe, il est difficilement identifiable. Et il est alors donc faible... ou au moins plus faible que les facteurs clairement identifiés.
        Et en reprenant votre logique grotesque qui voudrait qu'alors que des dizaines de facteurs de risque ont été clairement identifiés comme étant responsable de 40% des cancers, les pesticides et les produits chimiques représenteraient un risque encore plus grand... mais sans que personne ne s'en soit aperçu! On dispose de statistiques épidémiologiques dans tous les sens, mais pouf, invisible l'effet énôôôôôrme.
        Et on revient sur ce que je disais précédement: mais oui, bien sûr, ils sont responsables d'au moins 196% des cancers.

        Je ne sais pas ce que la science vous a fait pour vous persistiez à lui vouloir lui faire autant de mal.
        Après cela, je ne sais même pas comment vous pouvez oser utiliser le terme "rigueur": vous en êtes totalement dépourvu. Je suis même étonné que ce mot fasse parti de votre vocabulaire.

          grishka

          Vous n'avez rien compris, je vous explique que dans le tableau les cancers liés à la pollution atmosphériques sont uniquement les cancers pulmonaires, du fait du choix des sources brutes : http://beh.santepubliquefrance.fr/beh/2018/21/2018_21_1.html https://gco.iarc.fr/includes/PAF/PAF_FR_ch15_air.pdf

          Maintenant, je ne vais pas me lancer comme vous dans la spéculation, je m'en tiens aux faits

            SagesseLiberale Vous n'avez rien compris, je vous explique que

            Vous me l'expliquerez quand vous serez allé vérifier les 15 références utilisées par cette étude.
            Nonobstant que vous avez totalement ignoré les résultats que je mentionne sur l'étude sur l'impact de la pollution atmosphérique sur les cancers du sein...

            SagesseLiberale la spéculation

            Pour quelqu'un sortant des énormités en contradiction avec toutes les données scientifiques connues, je vois mal comment vous pourriez avoir les capacités pour identifier ce qui relève de la spéculation.

            A moins que ce ne soit la méta-analyse fournissant le nombre de cancer du sein causé par la pollution atmosphérique en France qui ne soit de la "spéculation"?
            A moins que ce ne soit carrément l'arithmétique qui relève de la "spéculation"?
            😢

            Bref, on va conclure quand même: les pesticides ET la pollution ont un impact complètement marginal sur les cancers en France.
            Même en considérant les effets maximum estimés, on arrive à un chiffre de l'ordre de quelques pourcents de la totalité des cancers. Si on considère les bornes inférieures, on navigue dans quelque chose de l'ordre du zéro.

              grishka
              La France est la meilleure élève de l'UE pour ses émissions de CO2, grâce au nucléaire : elle émet annuellement 5 Mt (millions de tonnes) par habitant en CO2, contre 6,9 en moyenne pour l'UE et 8,1 pour la Chine, 16,1 pour les USA (source AIE 2020).

              Au global, la France a émis 396 Mt (millions de tonnes ) de CO2 en 2020, contre 605 pour l'Allemagne, 1027 pour le Japon, 4 450 pour la Russie et ..... 9 900 pour la Chine !!!!

              Et surtout, si on se penche sur les statistiques terrestres du climat, les chiffres ridiculisent
              imprécations de nos politiciens et nos "escrologues", cette nouvelle race d'esrocs.

              Il faudrait rappeler à nos politiciens hexagonaux, qui le savent, que seule des actions menées au niveau de la planète entière sont susceptibles d'avoir une réelle incidence sur le climat, à supposer que le dérèglement soit lié aux émissions de CO2, ce qui n'est pour l'instant nullement démontré scientifiquement. Ce n’est pas depuis Paris que l’on diminuera le taux de CO2 de la planète.

              Il y a à ce jour 3 200 Mdt (milliards de tonnes) de CO2 au-dessus de nos têtes, accumulées depuis le début de l'humanité. Les émissions annuelles de CO2 sont à ce jour d'environ 16 Mdt, soit 0,5 % du total. Quoique l'on fasse sur terre, nous n'avons aucun moyen de diminuer le stock de CO2 accumulé (3 200 Mdt), on ne peut agir que sur le flux additionnel. Mais on comprend fort bien que quels que soient les efforts faits pour diminuer le flux, le stock ne bougera pas, il augmentera au fil du temps. Et c'est le stock qui influe sur le climat, non le flux. La régulation du flux, voire son annulation si c'était possible, n'aurait aucune incidence sur le climat, tant que le stock restera ce qu'il est et l'on sait bien qu'on ne peut le diminuer.

              Les émissions annuelles de CO2 sont essentiellement générées par quelques grands pays qui se foutent du réchauffement et ne font aucun effort, on l'a vu lors de la dernière COP 26 à Glasgow. Ces pays sont la Chine (50 à 60 % des émissions), les USA (25 à 30 %), l'Inde et les pays africains. Le Président chinois Li rit au nez des climatologues mondiaux.

              Pour de très nombreuses années encore, le CO2 sera essentiellement émis par les énergies primaires d'origine fossile à 80 %, tout simplement parce que les pays gros consommateurs n'ont pas de centrales nucléaires (sauf la Chine) et que le renouvelable n'est pas assez puissant et surtout est une énergie intermittente et non stockable (la capacité des éoliennes est utilisée à 25 % environ). L'industrie et le domestique ont des besoins énergétiques permanents, ce que ne peuvent pas fournir les énergies renouvelables, qui ne sont pas pilotables. Seules les énergies nucléaire, pétrolière et gazière sont pilotables (pour faire simple, la réalité est bcp plus compliquée).

              Ainsi, nos écolos verts qui nous vendent l'idée du remplacement total à terme des énergies fossiles par les renouvelables racontent une énorme connerie, parce qu'il faudra toujours du fossile en substitution des énergies renouvelables, ponctuellement à l’arrêt (pas de vent ou trop de vent- ce qui nécessite l'arrêt- pour les éoliennes, pas de soleil pour les photovoltaïques).

              Sur la production mondiale d'énergie, les réserves prouvées de pétrole sont aujourd'hui estimées à 50 années de production, les réserves probables sont au double de ce chiffre et chaque année apporte son lot de découvertes. Ainsi, à échéance du siècle à venir, on ne devrait pas manquer de pétrole. Les données gazières sont comparables (55 ans prouvées à ce jour, en constante augmentation). Pour rire un peu, en 1980 on nous racontait que le "pic pétrolier" était prévu pour 2000, 2010 au grand maximum. On peut imaginer que les producteurs d'huile noire n'étaient pas neutres dans ces annonces bidon, servant à maintenir des prix élevés.

              Or, depuis que l'homme exploite le pétrole, il est prouvé que le développement économique des zones économiques, des pays, ou des continents qui l'utilisent est lié à cette exploitation. La corrélation de ces deux phénomènes a été démontrée avec brio par Jean-Marc Jancovici, polytechnicien et spécialiste énergéticien reconnu.

              L'Occident développé a bien sûr utilisé, directement ou indirectement, la manne pétrolière pour développer son économie, soit directement pour les pays producteurs, soit indirectement pour les pays consommateurs.
              Les pays sous-développés ou en voie de développement ont bien l'intention, quoiqu'en disent les pays riches qui se veulent écologistes, d'amorcer ou de continuer leur développement par le biais du couple productiviste pétrole/développement et se moquent complètement des fantasmes écologistes des pays riches. L'écologie est une mode -qui passera- pour pays riches, non pour pays pauvres. Pire, vouloir réduire les émissions de CO2 ne pourrait se faire que par la contrainte forcée (et comment ?) à l'égard des pays pauvres en leur interdisant l'accès aux ressources naturelles fossiles, ce qui les mènerait à la famine et la mort. En Afrique et en Asie pauvres, l'électricité sauve des vies et permet à des populations ultra-défavorisées de sortir de la famine. Or, dans ces pays, l'électricité est toujours d'origine fossile. La Chine, l'Inde, le Pakistan, les pays africains ouvrent des mines à charbon à grande échelle, parce que c'est le moyen le plus facile et le moins cher pour fabriquer de l'électricité. Plus de 2 milliards d'êtres humains dépendront et pour longtemps encore de l'électricité fabriquée à partir d'énergies fossiles et ce sera vital pour eux. Rien ni personne ne pourra les empêcher de produire et de polluer à grande échelle la planète, l'électricité produite à partir du charbon et, à un degré moindre, du gaz, étant catastrophique en termes d'émission de CO2.

              En conclusion et compte tenu de ce qui a été dit plus haut, les émissions de CO2 sur notre planète ne baisseront pas, quoiqu'on en dise, parce que les facteurs de hausse sont puissants et pérennes. Et l'on a bien vu, chiffres à l'appui, que l'action de l'humanité sur la masse de CO2 est dérisoire, puisque l'on n'accroît chaque année la quantité de CO2 dans l'atmosphère que de 0,5 % !!! Ajoutons que techniquement, il existe un délai de latence de 20 ans entre les émissions de CO2 et leur incidence éventuelle sur le climat. Ainsi, à ce jour, nous connaissons un climat qui est impacté de la quantité de CO2 présente dans l'atmosphère en l'an 2000.

              Ainsi, lorsque l'on écoute les discours écologistes que prononcent nos khmers verts, émaillés d'imprécations diverses, de catastrophisme, de la fameuse "urgence écologique", on voit bien qu'adossés aux arguments techniques et aux chiffres disponibles, ces gens-là nous prennent pour des buses ou même ignorent ces réalités. Quelques érudits et spécialistes énergétiques convaincus de l'inverse prêchent leurs idées dans le désert médiatique du moment, pour cause de mode écologique.

                libero15 à supposer que le dérèglement soit lié aux émissions de CO2, ce qui n'est pour l'instant nullement démontré scientifiquement

                C'est parfaitement démontré.

                libero15 n'aurait aucune incidence sur le climat

                Non mais...
                Le flux fait augmenter le stock. Arrêter le flux stoppe la croissance du stock.

                libero15 que l'action de l'humanité sur la masse de CO2 est dérisoire

                Non.
                0.5% d'augmentation par an, en 20 ans, cela donne (un peu plus de) 10% d'augmentation.

                grishka

                Déjà, ça me fait plaisir de voir que vous progressez : maintenant vous convenez de l'impact des pesticides sur la santé.

                Ensuite, si j'applique votre « raisonnement » : les cancers du poumon mortels représentent environ 5% des décès totaux. Quelqu'un pourrait dire aussi : « c'est marginal » ! Ca me fait aussi penser aux climato-négationnistes qui prétendaient que l'augmentation du CO2 dans l'atmosphère était marginale (passer de 0.041% à 0.080%)

                  SagesseLiberale maintenant vous convenez de l'impact des pesticides sur la santé.

                  Je ne sais même pas comment vous pouvez encore oser la ramener.

                  Il y a plus d'un mois, j'écrivais déjà:

                  grishka Donc même en admettant que le lien causal existe et en supprimant les pesticides de l'alimentation, cela aurait un effet totalement marginal sur les cancers.

                  Et il fait comme si de rien n'était.
                  🤡

                  SagesseLiberale les cancers du poumon mortels représentent environ 5% des décès totaux

                  Bravo, doublement bien joué: vous rapportez cela au nombre total de décès toute cause confondue alors que j'ai toujours parlé du cancer. Malhonnêteté (ou bêtise?) abyssale très discrète. Vous pensiez sérieusement que cette manipulation grossière allait passer sans se faire remarquer?
                  Donc argument parfaitement invalide.
                  Et deux, retour au sujet: le cancer du poumon représente plus de 20% du total des décès causés par cancer en France (33.000 sur 157.000 morts en 2018).
                  Et c'est le type de cancer qui fait le plus de morts
                  Le truc qui a le plus de poids est donc "marginal"... mais heureusement que vous êtes là pour nous éclairer de vos lumières!

                  Santé Publique France: Cancers

                  Je vais ignorer votre comparaison grotesque avec les climatosceptiques: inversion accusatoire pathétique, entre cela et vos manipulations grossières, vous ne savez plus quoi inventer pour vous en sortir.

                    grishka

                    Grotesque.
                    Tout le monde est tellement "empoisonné" que l'espérance de vie a explosé en même temps que les rendements agricoles et la population mondiale.

                    Voilà ce que vous écriviez sur un autre fil.

                    Vous avez presque compris : en rapportant au nombre de décès total on obtient un petit pourcentage mais pourtant première cause de mortalité par cancer. Tout ça montre que parler de marginalité est ridicule, celle-ci dépendant du groupe auquel on rapporte le groupe étudié.

                    Je vous rappelle que c'est vous qui avez tenu à me rapprocher des négationnistes du climat. Je vous expose vos points communs avec ceux-ci. Ça vous décrédibilise