Kruiss38 SAR COVID-19 pourrait éventuellement être le résultat d'une manipulation trans génétique accidentelle (contenant d'ailleurs une partie de l'ADN du VIH et de la Malaria)
Un premier papier (Prashant Pradhan et al., (2020), "Uncanny similarity of unique inserts in the 2019-nCoV spike protein to HIV-1 gp120 and Gag", Working Paper, Kusuma School of biological sciences, Indian institute of technology, New Delhi-110016, India, 14 p.) a fait état de similarités troublantes entre le génome du HIV et celui du Sars-Cov2 avant d'être finalement récusé par ses propres auteurs. C'est le papier sur lequel le Professeur Montagnier s'était basé lors de ses interventions.
Bien que n'étant pas biologiste, j'ai voulu en avoir le coeur net ; j'ai récupéré en juin dernier les fichiers de génomes du Sars-Cov2 et celui des HIV (une trentaine) sur le site international www.ncbi.nlm.nih.gov et j'ai programmé une comparaison des deux génomes. Une demie douzaine de séquences de 12 nucléotides communes (et moins lorsque l'on décalait de 3) sont apparues sur les génomes des HIV comportant de l'ordre de 3 000 nucléotides et celui du Sars-Cov2 (https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MT846588) comportant de l'ordre de 30 000.
De plus, un article (Chuan Xiaoa et al., (2020), "HIV-1 did not contribute to the 2019-nCoV genome", Emerging Microbes & Infections, Vol.9, pp.378-381.) dément l'hypothèse d'un lien entre les deux génomes.
Depuis la base comporte plusieurs génomes du Sars-Cov2.
Cette information assez cocasse à vous apporter au sujet du variant britannique du Sars-Cov2. Le jour même où la France et d'autres pays fermaient leurs frontières avec l'Angleterre pour "éviter la propagation du variant du Sars-Cov2" (sic), un infectiologue du l'Université de Norfolk interviewé sur BBC World News expliquait que ce variant datait sans doute de septembre et qu'il n'avait été détecté qu'en novembre par les autorités de santé britanniques.