filochard
Ben oui, ça marche comme ça. Le problème des féministes qui nous pètent les rouleaux, c'est qu'elles sont perdues entre deux injonctions contradictoires : un atavisme profond qui les attire vers le mâle viril, et une haine consommée pour ce qu'il représente. C'est en cela que je parle de pathologie mentale.
Je fais référence au message de Jip' cité ci-dessous :
jipi Au sujet de la bêtise des féministes.
Je viens d'écouter dans les grandes gueules un sujet sur le report de sortie du nouveau James Bond.
A cette occasion, Marie-Anne Soubré, féministe, pintade gauchiss comme on n'en fait pas de plus crêmeuse, a déclaré que son interprète favori était Sean Connery.
Juste hallucinant pour le pékin moyen qui connaît ses classiques. Sean Connery tartait les gonzesses à tour de bras, s'en servait comme bouclier, et même comme pare-balle. Sans compter que dans la vraie vie, il avait déclaré légitime de coller des baffes aux femmes.
Comme quoi, comme si le gauchisme n'était pas une maladie mentale assez grave, certains y ajoutent du féminisme.
Bien sûr, cette posture aberrante n'est tenable (et encore) que dans une société excessivement intellectualisée, au sein d'un univers fictif où le décret excède de loin les limites des impératifs biologiques, les seuls à être réellement pertinents. C'est pourquoi je m'attardais sur les questions juridiques connexes à ce débat. Les féministes se battent pour l'égalité des sexes à grands renforts de lois diverses. Or, il faut bien admettre que ce qui est n'a guère besoin d'être décrété. Leur combat est donc en soi une démonstration de la fausseté de leur cause. Voilà, débat plié.