merl1
Réponse à merl1 du 18 février 2020
J’ai l’impression que de mettre en valeur le nombre de chômeurs, en baisse ou en augmentation, est une parfaite idiotie.
Bien trop d’inconnues tournent autour de cette valeur, les radiations, le nombres de personnes qui ont renoncé à leur inscription, l’apprentissage, les formations, les emplois aidés, les auto entrepreneurs qui résistent plus ou moins et qui par un trop de montée en puissance désagrègent des entreprises qui elles payent normalement leurs charges, le nombre entrant sur le marché du travail, et bien entendu et probablement des manipulations de chiffres, exemple chiffres de l’INSEE ou de Pôle Emplois.
Tout cela conduit à prendre les chiffres du chômage avec des pincettes en constatant que cette information devient de plus en plus volatile.
Pour concrétiser votre pensée l’exemple est simple en 2019 il y a eu 121300 chômeurs en moins, mais dans le même temps entre la formation et l’apprentissage ont augmenté de 95800.
Si telle n’avait pas été le cas le chômage aurait diminué en 2019 de seulement de 25500 individus.
Ne serait-il pas plus juste de faire paraître par trimestre et par an le nombres d’actifs cotisant ainsi que le nombre d’heures travaillées donnant lieu à cotisations, car ces sur cette base que l’on ressent le dynamisme économique qui permet ou pas de couvrir nos charges sociales, et de faire une parenthèse pour les micro entreprises, dont la charge pour l’Etat est différente.