tieumz 0,04% représente 400ppm

En 1850, on était à 280ppm.

  • stm a répondu à ça.

    Petit rappel, si le taux de CO2 descend à 0,03 % on meurt tous de faim "because" il y aurait une énorme baisse de rendement des céréales et des pommes de terre.

    tieumz
    En 1850 le rendement du blé était de environ de 7q/ha (700 kg pour une surface de 100m/100m)
    En 1945 le rendement du blé était de environ de 15q/ha.
    Depuis les années 1990 on est environ à 70q/ha

    En 1850, nous étions 1,2 à 1,4 milliards d'humains.
    Aujourd'hui 8 milliards.

    ok @stm tu veux en venir où ?

    Moi c'est assez clair, non, ce n'est pas anodin qu'on soit à 462ppm de co2, non 0,4% ce n'est pas epsilon et une augmentation continue et exponentielle nous emmène dans un mur, donc je pense que c'est assez clair.

    Toi, avec ton nb d'habitant et ton rendement agricole, je ne vois pas ce que tu cherches à prouver par rapport au co2 ?

    • stm a répondu à ça.

      tieumz
      J'ai fait des études agricoles et ai travaillé dans la recherche agricole, cela a sans doute déformé mon esprit.

        stm J'ai fait des études agricoles et ai travaillé dans la recherche agricole, cela a sans doute déformé mon esprit.

        ça ne me dit pas où tu veux en venir camarade.

        • stm a répondu à ça.

          stm Il n'y a pas de but. Le but c'est le chemin.

          Je propose pour but de conserver un lien suffisamment explicite avec le sujet dans le cadre d'une expression construite.

          Regain
          Le risque sécheresse dans le bassin aquitain est précisément lié à la faiblesse des capacités de rétention du sous-sol, ce que les bassines visent à compenser.

          Les bassines réduisent la sécheresse, et non l'inverse !

            france2100

            Certainement.

            De plus, il faut penser aux agriculteurs qui sans eau, auront des problèmes.

            Il vaut mieux produire des fruits et légumes en France, plutôt qu'en importer.

            Je pense en particulier aux haricots verts du Kenya, qui arrivent par avion en France.

            Bonjour l'impact Co2.

            https://www.lemonde.fr/planete/article/2015/02/20/du-kenya-a-l-assiette-le-parcours-pas-si-vert-des-haricots_4580825_3244.html

              liberté De plus, il faut penser aux agriculteurs qui sans eau, auront des problèmes.

              Qu'ils arrêtent le maïs déjà, c'est de l'eau qu'ils exportent quand ils le vendent sur les marchés mondiaux.

                tieumz

                Tu préfères laisser le marché aux USA, à la Chine, au Brésil, à l'Argentine ?

                  liberté Tu préfères laisser le marché aux USA, à la Chine, au Brésil, à l'Argentine ?

                  Celui du maïs oui. Pour sauver un paquet d'autres cultures et donc d'autres marchés et anticiper les pénuries d'eau, j'ai cru comprendre que ça allait devenir un problème.
                  Il faut privilégier les cultures qui ne sont pas en croissance en pleine période stress hydrique (juillet-aout). Il existe par exemple des cycles du blé en hiver et au printemps, période où la consommation d'eau n'a que peu d'impact.
                  C'est un exemple, ce n'est pas mon métier, mais il apparait reconnu maintenant que le maïs va poser un problème. C'est une plante tropicale à la base, sous les tropiques, la saison chaude, c'est corrélé à la saison des pluie, pas à une saison sèche comme chez nous.

                  source

                  Le marché pousse à faire n'imp' dans de nombreux domaines, la question c'est, stop ou encore ?

                    tieumz La plante la plus évaporatrice est le peuplier, ses feuilles sont étudiées pour. Le maïs ça m'étonnerait. Voir plutôt du côté du hêtre ou du frêne.

                      candidus Le maïs ça m'étonnerait.

                      Quelle culture consomme le plus d'eau quand nous sommes en période de stress hydrique ?
                      Vrai question, je le répète, ce n'est pas mon métier.

                        tieumz J'ai donné la bonne réponse : la populiculture.
                        Je l'ai appuyée techniquement : porté à grande hauteur, le système foliaire du peuplier est étudié pour maximiser l'évaporation, tant par l'anatomie et l'innervation de la feuille que par la morphologie de celle-ci avec une forme en battoir et un pétiole qui l'agite même avec faible vent.
                        Le flux vertical énorme de sève brute généré par cette évaporation est censé être un avantage pour la récupération de substances dans des sols pas forcément très nutritifs.

                        Faites passer l'info aux écolos.