• [supprimé]

Qu’est-ce qu’un Etat compétitif ?

Un «Etat compétitif», notamment dans le cas de la France, serait un Etat augmentant sa compétitivité hors coût à travers une réindustrialisation dans des secteurs à haute valeur ajoutée et une forte hausse de l'investissement en innovation. Cette politique devrait être sanctuarisée et s'inscrire dans le temps car redevenir compétitif est un objectif de long terme. La compétitivité aujourd'hui d'un Etat, particulièrement depuis la guerre en Ukraine, repose également, pour une part importante, sur le coût de l'énergie, notamment de l'énergie décarbonée. La France détient de véritables avantages comparatifs mais doit les développer. De fait, la transition écologique doit être considérée comme une véritable opportunité pour la France à se réindustrialiser et à devenir un véritable «Etat compétitif».

Anne-Sophie Alsif
Invitée du Cercle des économistes
Cheffe économiste du cabinet conseil BDO France

Elle a dit beaucoup de choses dans ce petit article.

Tout d'abord, mes excuses pour ce post tardif.

Allez "Hop" je me lance.
Tout d'abord je tiens à préciser que ceux qui va suivre est une approche pragmatique détaché de toute idéologie.

1: le montant des charges salariales et patronales cumulées équivaut en France à 50% du salaire net, il en va de même d'ailleurs à un chouilla prêt pour les indépendants, artisans, gérants d'entreprise, ça ne porte pas forcément le même nom est c'est parfois prélevé sur une base différente, mais au final cela va dans des caisses à finalités similaires.

Bien imaginons maintenant que nous transférerions ces charges sur le revenu net, avec un maximum de 50% et que le surplus s'il y 'en a, reste dans l'entreprise. Cela aurait 3 effets, le premier une augmentation mécanique des revenus de 50%, le deuxième une simplification administrative importante pour les entreprises et en troisième une diminution très importante des couts de la main d'œuvre hautement qualifié employé en France, voir d'avoir des marges plus importantes pour retenir les cerveaux.

ce point résout donc les points 1,3 et 4 du questionnement de départ.

2: il nous reste à financer le système.

Imaginons que nous mettions en place une taxe "charges sociales" de 50% sur le PIB net HT, qui pour ceux qui ne le savent pas est constitué de l'addition des produits, bien et services vendu à un consommateur final en France, dont la grande majeur partie est soumis à TVA mais pas en totalité, comme par exemple les timbres fiscaux et autre joyeuseté du genre. Cette "Taxe" pesant sur le montant HT ne serait bien évidement pas soumise à TVA, l'augmentation des prix par rapport au montant TTC serait donc de 40%. Pour exemple, aujourd'hui, un produit x d'un montant de 100€ coute 120€ (100HT+20TVA je simplifie pour les calculs) après mise en place de la dite "taxe" de 50% nous aurions pour le même produit, 100HT+20TVA+50NT (NT=Nouvelle Taxe), soit un total de 170€ soit 50€ de plus, 50€ qui représente bien à moins que mon arithmétique est un "Bug", 40% de 120€, augmentation largement compensé par l'augmentation de revenue de 50%, laissant donc mécaniquement 10% de pouvoir d'achat supplémentaires.

Maintenant, ai ce que cette taxe suffirait à financer ceux que finance actuellement les charges sociales.
Le Montant du PIB net Français 2023 était d'un peu plus de 2400 milliards d'euros, une taxe de 50% sur celui ci générerait une rentrée budgétaire de 1200 milliards.
Actuellement le système sociales Français à besoins d'un budget de +/- 750 milliards, et le reste des éléments actuellement financées par une partie de ces charges est de +/- 350 milliards soit un total de 1100 milliards, donc le point 1 est conservé, et le point 4 résolu avec une marge de 100 milliards.

Alors commet c'est possible parce que franchement sa ressemble à de la magie le truc, ce n'est en faite pas compliqué à comprendre, si on à un peu de connaissance en l'histoire économique, et "dirais même" en l'histoire tout court.

Je m'explique, lorsque le système de prélèvement des ressources pour faire fonctionner notre système sociale à été mis en place, il y'avait de bonnes raisons de le faire reposer sur la masse salarial, mais surtout l'organisation économique du moment s'y prêter compte tenu des contraintes de l'époque, sauf que 80ans plus tard, dans une économie qui importe prêt de 70% de ses biens de consommations courants, la plus part de la richesse produites et la masse salariale produite par ces dit produits, est généré et ce trouve ailleurs, l'approche que je viens d'explicité permet en élargissant l'assiette et surtout en faisant pleinement participer certes de façon détournée, mais de faire participer tout de même, les produits d'importations vendu sur le territoire Français, alors qu'actuellement ce n'est pas ou prou le cas.

Interjection possible:
Ai ce que cela peut poser un problème à l'export?

  • Non car les produit à l'export son vendu HT donc pas de surcout.

Peut il y'avoir un conflit avec les règlementations européennes?

  • De première abord, non puisque les charges sociales continues à être prélevé et donc payer, et pour l'export non plus, car elles ont été payé par l'employeur, donc ce n'est qu'une question d'appellation.

Ai ce aisée de le mettre en place?

  • Le système étant calqué sur celui de la TVA, le prélèvement de la ressource ne devrait pas être un problème, deuxièmement, le transfert peut être progressif, par exemple 15% par trimestre, permettant des ajustements.

Pourquoi conservait 50% de charges?

  • Ben, si on veut un système sociales basé sur la fraternité il faut bien le financer, de plus, lorsque les charges cumulé sont à 50% on parles de salarié faiblement qualifié et à faible valeurs ajouté, donc ne vous y trompé pas on ne refabriquera pas des clous avec de la ma main d'œuvre humaine en France, parce que dans ces secteurs on peut avoir des différences de cout de travail global de 10 voir 100 fois plus faible que le notre , donc impensable pour nous.

Il reste néanmoins deux écueils, "la fonction publique et le tourisme d'importation", mais ces deux écueils trouverons leur solutions dans d'autre démonstration de réforme économiques

Voila, Voili, Voilo, désolé d'avoir été un peu long, mais il fallait au moins bien ça.

    hop

    Bonjour,

    Donc on supprime la TVA par une taxe plus élevée que la TVA. Et ça s'applique à tout ou seulement aux produits importés ? Vus que 60% des importations viennent d'Europe . Le problème serait plutôt d'enrayer une balance commerciale excessivement déficitaire. Si ces déficits perdurent on est mort à termes . Bon le sujet ce sont les dépenses publiques mais quand on regarde la situation des Allemands avant la guerre en Ukraine leurs excédents budgétaires provenaient en grande partie des exportations automobiles, industrielles et autres. Un pays déficitaire depuis trop longtemps devra accepter d'être rétrogradé autrement dit d'avoir moins d'avantages , soit une baisse du niveau de vie. C'est mathématique .

    Cordialement.

    • hop a répondu à ça.

      zenon

      zenon Bonjour,

      Donc on supprime la TVA par une taxe plus élevée que la TVA. Et ça s'applique à tout ou seulement aux produits importés ? Vus que 60% des importations viennent d'Europe . Le problème serait plutôt d'enrayer une balance commerciale excessivement déficitaire. Si ces déficits perdurent on est mort à termes . Bon le sujet ce sont les dépenses publiques mais quand on regarde la situation des Allemands avant la guerre en Ukraine leurs excédents budgétaires provenaient en grande partie des exportations automobiles, industrielles et autres. Un pays déficitaire depuis trop longtemps devra accepter d'être rétrogradé autrement dit d'avoir moins d'avantages , soit une baisse du niveau de vie. C'est mathématique .

      Cordialement.

      Ce que vous évoqué en filagramme, c'est un autre problème auquel je peu aussi apporter des solutions simples efficaces, et surtout faisables, le sujet de mon poste ce borne à quatre postula de départ qui apparemment ne trouve pas de solutions depuis un certains temps,

      zenon Et ça s'applique à tout ou seulement aux produits importés

      Non on ne supprime pas la TVA cette taxe vient en sus (cf exemple de prix avant après)

      hop un produit x d'un montant de 100€ coute 120€ (100HT+20TVA je simplifie pour les calculs) après mise en place de la dite "taxe" de 50% nous aurions pour le même produit, 100HT+20TVA+50NT (NT=Nouvelle Taxe)

      et deux, cela s'applique à tous les produits vendu sur le territoire français et donc pas sur les produits à l'export. Je ne prétend pas résoudre tous les problèmes avec cela mais certains oui, d'autre nécessiterons des réformes différentes, que je peu aussi explicité, mais une chose à la fois.


      hop Vus que 60% des importations viennent d'Europe

      Je ne vois pas ou est le problème puisque les produit européens sont bien importé en France et qu'ils seront comme tout les produits vendu sur notre territoire assujettis à cette taxe au même titre que la TVA.
      Dans tous les cas, ai ce que cela changera le quotidien des gents en termes de pouvoir d'achat "oui" puisque celui ci augmentera mécaniquement de 10%.

      Ai ce que cela diminuera le cout administratif des entreprises, "oui".
      Ai ce que cela facilitera la gestion des entreprises, "oui".
      Ai ce que cela permettra au entreprises d'avoir les moyens de retenir les cerveaux, "oui".
      Ai ce que cela peut permettre au entreprises d'être plus compétitive dans les secteurs à hautes valeurs rajouté "oui".
      Ai ce que c'est à cout identique voir inférieur, "oui".
      Ai ce que cela financera notre système dans l'état actuel des chose, "oui".
      Ai ce que c'est facile à mettre en œuvre, "oui".
      Ai ce que cela nous exonère de faire d'autre réforme structurel, "non".

      • hop a répondu à ça.

        hop Pour exemple, aujourd'hui, un produit x d'un montant de 100€ coute 120€ (100HT+20TVA je simplifie pour les calculs) après mise en place de la dite "taxe" de 50% nous aurions pour le même produit, 100HT+20TVA+40NT (NT=Nouvelle Taxe), soit un total de 170€ soit 50€ de plus,

        Bonjour,

        Soit un total de 160 pas 170 .

        hop maginons que nous mettions en place une taxe "charges sociales" de 50% sur le PIB net HT, qui pour ceux qui ne le savent pas est constitué de l'addition des produits

        Ben l'état prélève déjà 45% du PIB service compris. 50% du PIB pour uniquement des charges sociales c'est étrange.

        Cordialement.

        • hop a répondu à ça.

          zenon répondre oups pardons la fatigue la "NT" et de 50 et non pas 40 je vais modifier cela.... bon maintenant je pense que l'erreur de frappe était bien évidente puisque 50% de 50, c'est 50, l'écriture et moi c'est souvent compliqué, ce n'est pas pour rien que je suis amené à me relire un certains nombre de fois et d'apporter des modifications, pour une meilleurs compréhension, mais merci de me l'avoir signalé.

          zenon Ben l'état prélève déjà 45% du PIB service compris. 50% du PIB pour uniquement des charges sociales c'est étrange.

          C'est la ou ce situ votre incompréhension, car pour bien appréhender la chose, il faut savoir changé de logiciel. L'état prélèvera autrement, mais il prélèvera, de plus le PIB n'est qu'une mesure indicative de comparaison, mais sa construction permet de simplifier l'explication et surtout de valider la source. Le problème en sois, n'est pas forcément le montant, mais ou ce situe les prélèvements, je rappelle que le système de prélèvement des ressources de financement de notre système social est un héritage du gouvernement de Vichy qui à mis en place ce système par répartition de type assuranciel pour financer à moindre cout et à moindre trésorerie pour l'état de l'époque, une pension afin que les petits vieux de l'époque puisse avoir les moyens de ce nourrir autrement que dans les poubelles, systèmes conservé par le conseil de la résistance de 46 puis conforté année après années. Le problème d'aujourd'hui, c'est que le taux de cotisant est bien plus bas qu'à l'époque et ce n'est pas prêt de changer, en conséquence il faut s'adapter à l'économie d'aujourd'hui plutôt que de faire perduré une idée qui est devenue caduc de fait depuis belle lurette

          Après reprenez les calculs trouvez vos sources pour vos bases de calcul, et je doute, que même ci cela peut paraitre difficile à comprendre et étrange, au final vous ne conviendrait pas que la démonstration ne peut être mise en défaut si ce n'est à la marge

          PS: Je reconnais humblement être bien plus à l'aise avec l'arithmétique et les mathématiques qui sont deux choses différentes voir très différentes, qu'avec l'écriture, mais je me soigne......

            Il y aurait un problème avec l'administration administrante?

              hop bon maintenant je pense que l'erreur de frappe était bien évidente puisque 50% de 50, c'est 50,

              Il y a une erreur de frappe mais peu importe, l'objectif de baisse des dépenses publiques n'est pas traité.

                • [supprimé]

                • Modifié

                candidus **En effet, et le reste est du HS. On revient au sujet qui est la baisse de la dépense publique. **

                • hop a répondu à ça.

                  candidus

                  hop Ai ce que cela nous exonère de faire d'autre réforme structurel, "non".


                  [supprimé] **En effet, et le reste est du HS. On revient au sujet qui est la baisse de la dépense publique. **

                  je ne m'y suis pas engager dans ce post, même si au final pour l'état aussi, cette approche lui permettra de réallouer une grande partie des moyens mis en œuvre pour le traitements des paix à d'autre endroit.

                  De plus, il y'a un deuxième effet kiss-cool à l'histoire, cela éradique de fait le travail au noir, alors pourquoi?
                  He bien tous simplement parce qu'il n'y en a plus l'intérêt, je m'explique: actuellement, l'argent issu de ce travail est globalement utilisé directement ou indirectement dans la consommation, consommation qui dans le cadre de ma démarche sera renchérie en termes de prix de 40%, en conséquence la rémunération du dit travail au noir devra augmenter de 40% ce qui serait très proche du cout global du travail dans une entreprise, en conséquence, qu'il perdure ou pas, il contribuera de fait au financement du système, ce qui n'est pas le cas aujourd'hui.

                  Maintenant, si on doit aborder le sujet de la réduction de la masse salarial de l'état et des collectivités locales et plus globalement des services publics ou assimilés, ainsi que ceux de l'agilité économique, du partage des richesses produites, de la relance de l'export, du marché du travail et j'en passe, je peu tout à fait aussi vous "pondre" en compléments des solutions viables, fonctionnels, et surtout possibles et donc réalisables mais 1, il va falloir la aussi changer de logiciel, et 2, le sujet m'apparait suffisamment lourd à traiter qu'il me semble mieux d'y aller étapes par étapes, permettant un processus de validation de ces dernières.

                  Cette première à le mérite de traiter de façon urgentes des problèmes qui plombes tout autre idée de réorganisation voir de réformes structurel car pour cela il faut des moyens disponibles, et surtout, des marges de "manœuvres", ce qui n'est clairement plus le cas, d'où les réformes que l'on voit passer années après années, qui ne sont jamais menées à termes nous laissant au milieu du gués, et qui au final, ne font qu'alourdir le système de carcans superposés.

                  Pour l'instant j'ai le sentiment mais je peu me tromper, que la première étapes dans son architecture ne rencontre pas de disfonctionnement "mécanique" majeur.

                  lugrin
                  Pas d,accord sur la suppression du CESE, qui devrait au contraire être renforce pour supprimer tous les bureaux d études , Haute autorité, comités theodules divers.
                  Il y a une masse de compétences et d,expériences au Cese, mais très mal utilisée. Le parlement et le gouvernement devrairnt commander des études au Cese, avant de décider des lois pour des raisons politiques ou populistes .
                  Or le travers d,utiliser des bureaux privés, c,est qu, on peut leur dicter les conclusions de l,étude.

                  On n,échappera pas à une baisse des dépenses de retraites, car c est de loin la 1ère dépense publique, proche des 300 milliards .
                  Plus on tardera, plus la baisse sera forte.
                  Par exemple rien ne justifie que les retraités payent une CSG inférieure à celle des actifs, alors que leurs dépenses de santé sont supérieures.
                  Rien ne justifie que des veufs ou veuves touchent 1 retraite et demi. La reversion au conjoint à été inventée pour assurer un revenu aux mères qui élevaient leurs enfants, au lieu de travailler à l extérieur et qui n,avaient pas de retraites. Sachant qu,avec les couples recomposés, la réversion peut durer très longtemps, si le mari change pour une jeune femme.

                    Bigre
                    C'est promis, le gouvernement français doit dévoiler ce jeudi 10 octobre, lors d’un Conseil des ministres à partir de 18h, son projet de budget pour 2025, c'est acté !
                    Pour redresser des finances publiques à la dérive, l’objectif est de trouver 60 milliards d’euros dans le projet de loi de finances et de financement de la sécurité sociale, afin d’éviter que le déficit ne dépasse les 6 % du PIB (produit intérieur brut), un objectif très moyen !
                    En juin, la France a vu sa dette gonfler à 112 % du PIB, soit le niveau d’endettement le plus élevé en Europe devant la Grèce et l’Italie, et donc son taux d’emprunt à dix ans a dépassé fin septembre celui de l’Espagne sur le marché de la dette, une première depuis près de 18 ans (bravo au Mozart de la phynance, alias l'hubris chic de choc ! (lol)
                    C'est un triste objectif, même pas sûr d'être atteint, vu la déliquescence d"une macronie à bout de souffle !
                    Allez les bleus
                    Patriotiquement
                    hub'

                    Re bonjour à tous,

                    Les économies dans les services hospitaliers.
                    Préambule:
                    Il y a deux façons d'approcher le truc, soit idéologique du type c'est pas bien parce que c'est mal, ou pragmatique.
                    Prenons un exemple, la sécurité dans un supermarché:
                    Vous avez les éléments obligatoires, tel que pour les risques incendies par exemple, et ceux qui sont à l'appréciation de la direction dont le vol. Soit un gérant considère que comme le vol c'est "mal", il met une sécurité correspondante à sa situation, afin de les limiter au maximum possible, en en acceptant les conséquences financières, ou alors, il a une approche pragmatique, et fait un rapport de cout entre sécurité et cout du vol. Exemple, un supermarché à 100 000€ de vol mensuel, le gérant fera un rapport entre le cout d'une sécurité supplémentaire et le gain sur les vols, en gros s'il doit dépenser 300 000€ pour faire diminuer le vol de 50 000€, ben au final il est perdant de 250 000€.

                    Il en va de même pour toute chose et le milieu hospitalier n'y fait pas exception. La population française a tord ou a raison, je ne porte pas de jugement sur cela, n'a cessé de s'indigner des abus potentiels, réels ou fantasmés concernant l'utilisation des services médicaux, amenant les gouvernants successifs à mettre en place pour y répondre, un système de contrôle de plus en plus contraignant à tous les étages du système, a tel point que celui ci c'est retrouvé sclérosé, étouffé comme il est par l'ensemble des carcans superposés auquel il doit faire face.

                    En France, la fonction hospitalière compte 1,1million d'équivalent temps plein, la moyenne des salaires, et il ne faut pas croire qu'elle serait plus basse dans l'administratif que chez les praticiens, est de 2590€ net, soit "grosso merdo" 5180€ chargés.

                    11% du personnel hospitalier est de l'administratif, soit 120 000 équivalent temps pleins.
                    50% de celui ci est la pour effectuer directement ou indirectement les taches administratives de contrôles, soit 60 000 équivalent temps plein.
                    En conséquences, s'il on est collectivement prêt à accepter une forme d'imperfection des choses par l'acceptation d'un abus limité, 1/3 de ce personnel serait largement suffisant pour cela, et je ne compte pas les personnels qui y participent mais qui ne sont pas comptabilisés dans le milieu hospitalier, ce qui aurait pour conséquence de dé sclérosé le système, ainsi que de ne plus avoir besoins des 2/3 de ce personnel, soit une économie de 40 000 postes, soit une économie budgétaire primaire annuel de "2 486 400 000€", les abus pour leur part augmenterez d'une grosse centaines de millions, certes mais au final cela ferait quand même une sacrée économie.

                    Alors disons quand même les choses clairement pour les "y'a qu'à, faut qu'on", cela ne peut que prendre du temps car on ne se sépare pas d'un fonctionnaire comme ça en claquant des doigts, à mois de changer leur convention et donc leur contrat par la loi, mais la je souhaite bon courage à ceux qui s'y tenteraient, parce que là, on touche de plein fouet à la notion d'état profond.

                    Ce que je viens d'explicité contrairement à ce que l'on pourrait en penser, "n'exclu nullement" d'autres réorganisations de l'hôpital, mais passer par le contrôle ou la restriction fini invariablement au final à non seulement alourdir les chose, mais à couter plus chère, ce n'est pas moi qui le dit mais les chiffres qui ont tous la même résultante dans ces cas de figure.

                    En faite tout n'est qu'une question d'équilibre entre ce que l'on considère comme devoir etre fait respecté, et le degrés d'acceptation de l'imperfection des choses

                      hop Vous n'êtes pas dans les bons ordres de grandeur.
                      Le choc d'arbitrage de Barnier n'est pas sur 30 % de ses effectifs mais sur 0,09 %.

                      • hop a répondu à ça.

                        Quel peuple .... vivement qu'on trouve les limites de l'univers.

                        consulting pour le Figaro, ils sont 58% à estimer que les hausses d'impôts contenues dans le texte sont «trop élevées», pour à peine 16% à penser que ce n'est «pas assez». Seuls 24% de nos concitoyens jugent que le dosage concocté par Bercy est le bon,

                        je propose donc que pour les 16% qui trouvent qu'il n'y a pas assez d'impôts qu'on remplace toutes leurs allocs par des impôts du même montant puisqu'ils en réclament.
                        Surement des dizaines de milliards à économiser et autant à récupérer

                        Le projet de budget Barnier c'est plus d'impôts et moins de dépenses.
                        Le "plus d'impots" va selon Marc Touati économiste, générer moins de recettes fiscales et constitue une mauvaise solution.
                        Le "moins de dépenses" concernent un fait une réduction de l'augmentation prévue, ça correspond en fait à une moindre augmentation et pas du tout à une baisse réelle.
                        Donc un projet de budget très décevant; qui ne va pas améliorer la situation du pays mais qui va inquiéter les agences de notation qui risquent fort d'abaisser la cote du pays et d'augmenter la charge de la dette.

                          On rogne les dépenses de santé des Français mais on ne touche pas à celles de plus en plus coûteuses des migrants ?