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Simon C'est la démocratie selon la gauche.

Non, c'est juste que la liberté d'expression permet à ces gens-là d'apostropher le président. Révise tes gammes.

filochard Tout ça pour une petite loi symbolique.

Pas tant que ça. La loi contiendrait bien des éléments anticonstitutionnels qui auraient été ajoutés par la droite de la droite, soit la bande à Ciotti, et par le Remembrement National de Mme le Pen. A suivre, donc. Notamment, cette histoire de caution est juste une crétinerie populiste de plus. Après, si ça plaisir à la racaille nationaliste, c'est qu'elle se contente de peu, un osselet à ronger.

    Just Ces "migrants" volontaires ont pris le parti de la précarité, ça serait raciste et contraire à nos valeurs humanistes de les contrarier.

    Cette crétinerie populiste existe dans bien des pays, Allemagne Etats unis, Angleterre notamment, ou l'on vous demande aussi de prépayer pour vos frais médicaux .

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    On s'en fout des crétineries internationales, on a suffisamment à faire avec les nôtres.

    Rencontre du IIIe type dans la quatrième dimension nous sommes tous prisonniers de la matrice où toute logique est inversée

    Rêve de réalité...

    Des manifs de masse parce qu'il y en a marre de toutes ces lois favorisant l'immigration depuis 40 ou 50 ans et sortie des médias de la collaboration qui soutiennent les patriotes et fustigent les parasites..
    Pour les départements ont déjà choisi leur camp de l'occupant, très bien si on avait un vrai état qui leur coupe les subventions et qu'on les interdisent de racketter les travailleurs et propriétaires et laisse les contribuables refuser de payer l'impôt.
    Ensuite blocus et qu'ils se débrouillent entre eux avec leurs protégés.
    Sécession par zones géographiques à mettre en place. et surtout qu'on arrête de les financer ces zones contre notre gré, Zone militarisée et champs de mines pour que rien ne sorte et des tourelles automatiques.
    On ira récupérer les territoires une fois la place complètement déparasitée.

    [supprimé] Après, si ça plaisir à la racaille nationaliste, c'est qu'elle se contente de peu, un osselet à ronger.

    La racaille nationaliste comme moi veut des résultats et c'est pas cette loi qui va en donner. Ce sera juste une petite loi inefficace de plus qui a deux utilités: commencer à introduire la préférence nationale, il serait temps, et à prouver une fois de plus avec le Conseil Constitutionnel que le système est vérolé, que avec ce système la France n'a plus la souveraineté de ses frontières, ce qui est quand même la base de toute souveraineté, et que donc il faut en changer. Il en va de la République qui est la souveraineté du peuple: République = Res Publica = peuple roi ou souverain.

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      Bonjour,

      On pourrait peut-être faire travailler les immigrés qui touchent le chômage avant de faciliter l'arrivée de nouveaux migrants. Mais comme ces migrants sont des futurs électeurs de LFI alors on écrase.

      Cordialement.

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        Simon Les "intellectuels de gauche" font ce qu'ils veulent. Nous les connaissons depuis 1945 au moins, un temps pour Staline, un temps contre les opérations françaises en Algérie, un temps contre la Guerre du Vietnam , toujours contre l'Eglise, souvent contre les juifs et Israël, toujours pour les palestiniens et toujours pour les pauvres/immigrés/délinquants/criminels.

        Côté de la CGT, c'est plus ennoyant que ce syndicat sorte de son rôle de syndicat. Sophie Binet renouvelle l'erreur de Krasucki dans les années 80s, qui coûta très cher à la CGT en terme de réputation auprès des salariés gaulois qui s'enrôlaient au FN.

        katou Loi immigration : décompter les voix du RN est un «déni de démocratie insupportable», cingle Éric Ciotti

        Nous sommes désormais en dictature ?

        Laissons les paroles indignes de Macron, Darmanin, Borgne pour le Café du Commerce. Il y a eu 349-186 point-barre.

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        filochard Conseil Constitutionnel que le système est vérolé

        Tu dis ça parce qu'il ne va pas dans ton sens. Enfin, pour le moment, nous n'en savons encore rien...

        Je ne crois pas en outre, comme beaucoup ici qui la ramène pourtant dès qu'ils peuvent, et souvent à tort et pour dire beaucoup de conneries, que tu aies la moindre compétence en matière de légistique.

        filochard République = Res Publica = peuple roi ou souverain.

        Il est souverain quand il élit ses représentants, c'est le principe même de la démocratie. Après ils font ce pour quoi ils ont été élus, ou pas.

        filochard L'exemple-type de ce dont je parlais dans ma réponse ci-dessus.

          [supprimé]

          Il faut en effet modifier la Constitution pour pouvoir faire une loi solide sur l'immigration et le code la nationalité, et pour modifier la Constitution il faut aller au referendum bien entendu.

          Le référendum n'est pas autorisé sur ces questions. Il faut donc modifier la constitution pour faire un référendum pour modifier la constitution.

          Et à la fin les juges diront qu'ils s'en foutent, parce qu'ils font ce qu'ils veulent, parce que droits de l'homme et UE, et nique le peuple.

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            france2100 Le référendum n'est pas autorisé sur ces questions. Il faut donc modifier la constitution pour faire un référendum pour modifier la constitution.

            Je n'ai jamais dit qu'il faut faire un referendum sur pour/contre l'immigration, cette suggestion est juste pour le Café du RN ou de Reconquête. Le sujet de l'immigration est très technique et complexe et touche de nombreux sujets légiférés par de nombreuses lois, par des textes de l'UE, du Conseil de l'Europe et de l'ONU et par de nombreux traités bilatéraux.
            Le problème de l'immigration est à gérer par la loi et ses décrets d'application.

            Simplement, il est devenu très difficile de faire évoluer la loi sur le sujet, car le Conseil Constitutionnel s'appuie sur des interprétations discutables de la Constitution ( principe d'Egalité, DDHC et d'autres) pour censurer des dispositions votées par le Parlement. D'ailleurs cela dépasse le sujet de l'immigration. Ensuite en phase exécution de la loi, le Conseil d'Etat et la Chambre Sociale de la Cour de Cassation font la même chose.

            De mon point de vue, il convient de faire faire une relecture de notre Constitution par une commission de fins juristes qui proposerait la suppression de ce qui ne sert à rien mais est nuisible, préciserait des notions trop vagues, et limiterait le champ d'intervention du Conseil Constitutionnel en renforçant le rôle du Parlement. Au passage, on pourrait supprimer le CESE coûteux et inutile. S'il s'avère que la révision serait trop compliquée, la commission proposerait une nouvelle VIème plus simple et légère.

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              De deux choses l'une : ou bien vous interdisez au CC de censurer une loi, et alors il devient inutile, ou bien vous supprimez les droits de l'homme.

              Problème : le CC a déjà déclaré que les traités européens prévalent sur la constitution française qu'il est supposé défendre, alors que celle-ci stipule explicitement le contraire ! Ils jugeraient donc en toute logique une telle modification de la constitution inconstitutionnelle.

              In fine on en vient donc à une épreuve de force : les juges se rallieront au CC et à l'UE contre les élus, et les forces de sécurité prendront le parti des juges.

                Par mon cap
                On a toujours une Borne à Matignon, hélas ou heureusement !
                Tiens, pour se marrer, même si c'est une "semi-blague" de plus involontaire, je vous la livre, telle quelle, et c'est même pas une blague ......
                Elisabeth Borne évoque notamment le fait qu'avec le texte adopté mardi soir, "si vous épousez un Canadien ou un Japonais, il ne peut pas rejoindre la France s'il ne parle pas bien Français" ! (sic de la first sinistre lisbeth)
                La cheffe de l'exécutif assure avoir fait "part de [ses] doutes avec Les Républicains, avec lesquels on a discuté" (fin de sic) !
                Vous rêvez pas, elle est sérieuse, la dame, les japonais et les canadiens sont immensément nombreux à vouloir venir en France pour épouser une francaouie (enfin une française de souche), mais ça dépasse les "bornes" (ptdr) !
                Ah, si seulement le ridicule pouvait tuer, ben, on irait faire brûler un cierge ....
                Joyeusement (débarrassés)
                hub'

                france2100 Il appartiendra alors au chef de l'État de déclarer l'Etat d'urgence et aucune force populaire ne viendra au secours des factieux.
                Vous pensez que Ursule fera parachuter les troupes de Scholtz sur l'Elysée ?

                  Just Enfin, des migrants qui ont dépensés toutes leurs économies pour se payer le voyage jusqu'en France ne pourront pas repartir faute d'argent donc elles resteront coincées ici même si ce n'était pas leurs destinations finales prévues donc cela ne résoud pas ce problème.

                  Dans l’esprit, le but de la loi est de dissuader les migrants de venir par chez nous...Plus de paniers garnis pendus à un mât de cocagne et qu'un état viendrait décrocher complaisamment en faveur d’une engeance chez qui la valeur de mérite reviendrait seulement à ces hôtes riches et généreux prêts à toutes les prodigalités car résignés par faiblesse aux danger d’un flux migratoire subi plutôt que choisi...

                  En un mot, charité bien ordonnée commence par soi-même.

                  La question est de savoir si ce projet de loi, s’il passe en l’état, suffira à satisfaire les desiderata d’une majorité de Français, lesquels Français savent pertinemment que le problème de l’émigration sera résolu par l’entremise d’une loi dont le véritable recadrage ne fait pas que d’en dessiner un simple contour...
                  D’autant qu’en l’occurrence, son contenu sera retoqué.

                    [supprimé] Je n'ai jamais dit qu'il faut faire un referendum sur pour/contre l'immigration, cette suggestion est juste pour le Café du RN ou de Reconquête. Le sujet de l'immigration est très technique et complexe et touche de nombreux sujets légiférés par de nombreuses lois, par des textes de l'UE, du Conseil de l'Europe et de l'ONU et par de nombreux traités bilatéraux.
                    Le problème de l'immigration est à gérer par la loi et ses décrets d'application.

                    Simplement, il est devenu très difficile de faire évoluer la loi sur le sujet, car le Conseil Constitutionnel s'appuie sur des interprétations discutables de la Constitution ( principe d'Egalité, DDHC et d'autres) pour censurer des dispositions votées par le Parlement. D'ailleurs cela dépasse le sujet de l'immigration. Ensuite en phase exécution de la loi, le Conseil d'Etat et la Chambre Sociale de la Cour de Cassation font la même chose.

                    De mon point de vue, il convient de faire faire une relecture de notre Constitution par une commission de fins juristes qui proposerait la suppression de ce qui ne sert à rien mais est nuisible, préciserait des notions trop vagues, et limiterait le champ d'intervention du Conseil Constitutionnel en renforçant le rôle du Parlement. Au passage, on pourrait supprimer le CESE coûteux et inutile. S'il s'avère que la révision serait trop compliquée, la commission proposerait une nouvelle VIème plus simple et légère.

                    Un peu d'histoire, tout d'abord. En réaction aux dérives connues sous les IIIe et IVe République, les rédacteurs de la Constitution de 1958 décidèrent de limiter le domaine de compétence du pouvoir législatif (c'est-à-dire le parlement, à travers les lois), le reste relevant du pouvoir exécutif (c'est-à-dire le gouvernement, à travers les décrets et les arrêtés). L'article 34 de la Constitution énumère le domaine de compétence du pouvoir législatif, et l'article 37 de la Constitution prévoit que "les matières autres que celles qui sont du domaine de la loi ont un caractère réglementaire".

                    Le Conseil constitutionnel fut créé pour faire respecter cette délimitation. A l'origine, son rôle se limitait donc à contrôler les équilibres entre le pouvoir législatif et le pouvoir exécutif (concrètement, il lui était demandé d'annuler les lois votées par le Parlement en empiétant sur le domaine de compétence du pouvoir exécutif).

                    En 1971, le Conseil constitutionnel rendit une décision "Liberté d'association" dans laquelle il déclara que le préambule de la Constitution de 1958 avait une valeur constitutionnelle, comme le reste de la constitution. Or ce préambule fait notamment référence à des principes généraux contenus dans la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 et dans le préambule de la Constitution de 1946. Ces principes acquièrent ainsi une valeur constitutionnelle. Le préambule de la Constitution de 1946 faisant lui-même référence à des "principes fondamentaux reconnus par les lois de la République", sans les définir, lesdits principes acquièrent eux aussi une valeur constitutionnelle.

                    Ainsi le Conseil constitutionnel s'autorise-t-il désormais à annuler des lois qu'il estime contraires aux principes contenus dans la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789, aux principes contenus dans le préambule de la Constitution de 1946, ou encore à ces fameux "principes fondamentaux reconnus par les lois de la République" que le Conseil constitutionnel sort de son chapeau quand ça lui chante...

                    Le rôle du Constitutionnel s'élargit donc, il n'est plus qu'un simple juge départiteur de compétences. A priori, cela n'allait pas de soi, puisque de nombreux juristes qualifièrent cette décision de "coup d’État juridique"...

                    La Conseil constitutionnel apparaît ainsi comme un défenseur des libertés, face à l'arbitraire éventuel du parlement et/ou du gouvernement. C'est bel et beau... Sauf que tous ces jolis principes que le Conseil constitutionnel est désormais chargé de défendre sont parfois très généraux, très subjectifs.

                    De ce fait, le Conseil constitutionnel devient une sorte de troisième chambre du parlement, on pourrait même parler de parlement des juges... Or je crois que les membres du Conseil constitutionnel n'ont pas la légitimité pour définir de si grands principes : ce faisant, ils quittent leur rôle de juristes pour faire de la politique.

                    Là, pour le coup, il va être capable de nous inventer une interprétation très personnelle et ès discutable du concept d'égalité pour dire que non, il ne faut pas discriminer les immigrés qui viennent chez nous.

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                      Simon Merci pour cet historique. En gros, il faut modifier la Constitution en annulant et verrouillant cette décision de 1971.

                      De mon point de vue je sortirais carrément la DDHC de la Constitution.
                      Tant qu'on y est, il faudrait sortir la présomption d'innocence, l'interdiction de la peine de mort et le principe de précaution de la Constitution.

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                      france2100 ou bien vous supprimez les droits de l'homme.

                      Il faut y réfléchir.

                        L'immigration est indispensable à notre pays, sans elle, les caisses de retraite se videraient rapidement.
                        Les fachos de l'extrême droite n'ont rien compris.
                        Dans un avenir pas très éloigné, les déplacements de populations vont probablement s'accélérer, les réfugiés climatiques pourront même être Bretons ou Basques ou de toute autre région de France gagnée par la montée des eaux.
                        Les habitants des hauts de France en ont un avant goût...
                        Quoi qu'on fasse, il faudra partager.