Pourquoi les gouvernements qui se succèdent sont-ils autant inquiets de ce qui se passe sur Internet ?

Il y a pas mal de raisons mais ce que l'on peut surtout retenir, c'est que les faits qu'il veulent taire, comme par exemple les rèvèlations que Julian Asange a publiè, sortent quand même à la vue de tous.

Internet est un système qui peut nous donner un éclairage différent de l'éclairage officiel. Cela fait que les gens au pouvoir sont inquiets, et personnellement, je pense qu'ils ont raison de s'inquiéter. D'autant plus qu'Internet est l'ultime forme d'expressioin, de communication et d'information à travers les frontières gèographiques et politiques. En conséquence, il est plus qu'évident qu'ils vont continuer de tenter de nous faire taire par tous les moyens à leur disposition. Ce qu'il faut retenir, c'est que leur tentative de contrôle d'Internet est une grave menace pour nos libertes, car il ne peut y avoir de limites à la liberté d'expression, ce serait contraire à la déclaration des Droits de l'homme.

Pour le gouvernement, il semblerait que la seule forme d'expression acceptable, soit la sienne. La seule liberté que ces gens-là chérissent, c'est de dire leur vérité. Toute opinion contraire est scandaleuse pour eux et se doit d'être combattue comme telle. Rappelons-nous le traitement réservé aux Gilets Jaunes, sans parler de notre cher mollasson de l'Elysée Francois Hollande dont la police de la pensée n'avait rien à envier à la dictature de Papandréou.

Ceux qui se succèdent au pouvoir voient la liberté comme l'ennemi. Exprimer sa pensée est devenu un délit d'opinion dans notre pays. Plus un Etat est faible et plus il maltraite la liberté d'expression. La censure et l'intolérance que montre le pouvoir, est une source d'inquiétude pour nos libertés chèrement acquises par notre peuple.

chevalier-du-temple Je suis assez d'accord avec ce déplacement du mot "blasphème" dans la sphère civile. Dans la jurisprudence moderne, exprimer son opinion relève de plus en plus du blasphème, si elle n'est pas conforme aux évangiles.

Ceux qui prétendent que le délit de blasphème à été supprimé seront parmi les premiers à porter plainte avec des motifs bidons de racisme, incitation à la haine ou même complicité de crime contre l'Humanité, notamment si l'on allume du feu dans sa cheminée contrairement aux préconisations "scientifiques" du GIEC.

    Au Frankistan, la liberté d'expression de l'autochtone s'arrête ou celle des terroristes commencent. Où est la France de de Gaulle, de Pompidou voire même de Mitterrand où le peuple pouvait s'exprimer? Aujourd'hui la populace est sous contrôle des associations inféodées à l'extrême gauche et à l'immigrationnisme de Von der Layen et ses sbires, il va de soit que tout écart est sévèrement sanctionné. Malheur au pauvre pequenot qui dénonce un trafic de drogue orchestré par des individus venus du sud ou un réseau de prostitution tenu par des Roms, Dupond-Moretti veille! Non le criminel c'est Ciotti et le FN. Pauvre France, Charles relève-toi ils sont devenus fous.

      lepequenot La liberté d'expression en France a du plomb dans l'aile.

      Au pouvoir on a la rage de bâillonner, d'interdire et de réprimer sévèrement. Les juges qui sont devenus nos inquisiteurs, condamnent sans merci. La justice est en fait le bras armé de la censure. L'Inquisition sournoise est contre tout ce qui n'est pas politiquement correct.

      Cela devient de plus en plus difficile de s'exprimer dans un pays où le moindre mot peut résulter dans un procès. C'est ça la liberté et la démocratie ? Ce qui est étonnant, c'est que ceux qui sont au pouvoir prônent les bienfaits de la démocratie, tout en interdisant la liberté d'expression.

      Nos libertés sont étouffées par le politiquement correct, "l'oukase" déguisé en bien-pensant. Que font-ils du principe démocratique qui repose sur la,liberté de chaque citoyen d'exprimer ses idées et ses opinions ? Comment peuvent-ils oublier que la démocratie est un véritable socle à la liberté d'expression ?

        chevalier-du-temple Ce qui caractérise le blasphème, qu'il soit religieux ou civil, c'est l'écart entre la peine infligée (la peine de mort sociale sinon le bûcher) et la bénignité de l'acte sanctionné (dire que le Giec peut être critiqué ou que Mahomet était arabe).

        stm Cela ne m'étonnerait pas surtout que la macronie n'aime pas les esprits libres.

        On veut nous empêcher de nous opposer au règne du despote de l'Elysée. Vous allez voir le djihad judiciaire qu'ils nous préparent. La peur est une excellente auxiliaire pour les pouvoirs autoritaires résolus à museler toute opposition. Comme pour les Gilets Jaunes Macron veut nous la faire fermer, et que nous soyons gentils et obéissants à toutes les injonctions de l'Etat qui a toujours raison.

        • Nymo a répondu à ça.

          chevalier-du-temple Comme pour les Gilets Jaunes Macron veut nous la faire fermer,

          72 week end, pour gueuler des aneries chaque samedi. Faut quoi de plus?

          Heureusement, Tonton Covid vous a calmé. Il était temps.
          Fiooou

            Nymo Les Gilets Jaunes gueuler des âneries ? Le mouvement Gilet Jaune n'est pas mort, dites-le bien à votre idole de l'Elysée. Même si Macron ne veut pas, nous on est là, on est là !

            Vive la liberté d'expression !

            Macron a tout fait pour faire taire les Gilets Jaunes et faire rentrer chez elle cette "vile populace séditieuse". Les Gilets Jaunes ont fait peur au gouvernement macronien et la répression a été terrible. Il suffit de constater le nombre de blessés, mutilés et condamnés à la prison ferme en comparution immédiate pour s'en rendre compte. La justice de Macron est rapide et implacable, digne des pires dictatures. Nous sommes loin de la liberté de pensée, du droit de dire et faire connaître son opinion. La France de Macron n'est plus un espace de liberté comme nous l'avons connu et aimé dans le passé.

            stm Arno Klarsfeld est victime des médias aux ordres.

            Il a raison de rappeler ces réalités historiques antisémites sur le nationalisme ukrainien qui a fait tant de victimes. Il ne fait que confirmer certaines réalités indéniables et on ne peut que souscrire à ses propos.

            Marc Zuckerberg, le grand patron de Facebook, s'est entretenu avec Macron et le Secrétaire d'Etat au Numérique. Il a indiqué que son organisation lutterait contre les contenus haineux et communiquerait à la justice française, les coordonnées des délinquants.

            Facebook, c'est maintenant l'intrusion dans la vie privée, les menaces et le chantage. N'importe qui peut être sanctionné par Facebook, et encourir les foudres de la justice pour incitation à la haine. Si vous publiez une vidéo défendant le droit des femmes en Europe de ne pas être violées pr des migrants du tiers monde, elle sera signalée comme discours de haine et rapidement retirée de la circulation. A noter que si vous avez le malheur de dire "muzz" au lieu de musulman, vous êtes répréhensible mais si vous dites "cathos"au lieu de catholiques, vous ne l'êtes pas.

            Que fait-on du principe de droit français qui exprime clairement qu'il est autorisé de critiquer les religions ? La déclaration universelle des droits de l'homme de 1948 qui a été signée par la France, interdit formellement dans son Article 19, à la limitation de la liberté d'expression. Cette déclaration doit être respectée sous peine d'inconstitutionnalité.

            La soumission de Facebook aux lois liberticides françaises, est contraire au droit international reconnu par la France. Comme nous pouvons le constater, le contrôle total et totalitaire est toujours "En Marche". La nasse en forme de toile Web se referme dans la mâchoire mondialiste.

            La censure qui sévit dans notre pays est absolument hallucinante, elle viole les droits de l'homme et porte atteinte à la liberté d'expression.

            Il semble intéressant de signaler que Chris Hughes qui est l'un des fondateurs de << Facebook >> a appelé au démentellement de cette organisation et lui imposer un contrôle strict, au cours d'une interview avec le New York Times. Il a déclaré : << Il est temps de démanteler Facebook en séparant le réseau social, son activitô originelle, des applications Instagram et WhatsApp. >> Chris Hughes a fondé le réseau social avec Mark Zuckerberg. Hughes qui a vendu ses parts il y a quelques années, s'en prend à Zuckerberg qu'il accuse ouvertement d'avoir sacrifié la protection de la vie privée des utilisateurs au profit du "clic" et d'avoir éliminé la concurrence sans état d'âme.

            Peut-on parler avec légèreté d'un footballeur franco-algérien ?
            Il me semble que l'actualité nous offre un exemple fabuleux. Une affaire d'État prise directement en charge par Macron pour des propos de comptoir objectivement anodins.
            D'autant plus hallucinant que le Chef de l'État semble soutenu par énormément de gens dans cette véritable curée, ce qui pourrait donner du grain à moudre à tous ceux qui dénoncent le danger populiste dont Macron est le plus éminent représentant.

            Comme l'a dit une célébrité du spectacle : "on ne manque pas de respect à ..."
            Mettez ce que vous voudrez à la place des ...
            Pile-poil dans l'objet de ce fil.

              candidus Comme je le disais dans mes exposés, de nos jours, il faut faire très attention à chacune de ses paroles sous peine de sérieux problèmes. Nous en avons un bon exemple avec le cas Zidane.

                chevalier-du-temple Le cas Zidane est formidable, non seulement par le fait que les propos incriminés sont totalement anodins, mais surtout parce que ce n'est pas une Rousseau ou une De Haas qui conduisent la curée, mais le Chef de l'État lui-même.

                  candidus Bon, le Le Graët est un peu sénile quand-même, non ?

                    [supprimé] Justement, des propos anodins tenus par un vieillard sénile justifient-ils une telle réprobation médiatique avec menaces au plus haut sommet de l'État ?
                    Il y a évidemment des raisons que chacun échafauder selon son goût (relations franco-algériennes, opération de diversion macronienne, etc...) mais le diagnostic demeure : la liberté d'expression n'existe plus en France et le Président vient de l'enterrer profond.