[supprimé] les Ukrainiens auraient un souci avec la mobilisation. Comprendre que les pertes au front ont du mal à être compensées
Ce problème est réel, depuis le tout début de l'invasion.
En ce sens ou cette invasion reste quand même une surprise (même si services renseignements US et ukrainiens, criaient partout que ça se produirait)
Vu le gros paquet que Poutine a mis en oeuvre, puis la recharge de Septembre Octobre (mobilisation partielle) il y a de toute manière, une question de moyens.
Moyens humains, mais aussi matériels, car, si on parle des fameux Caesar, les Ukrainiens ont tellement usé et abusé de ce type de canons, qu'à la longue, les tubes se dégradent.
La maintenance et les fournitures de pièces de rechange, est une question cruciale aussi pour les Ukrainiens.
Quand bien même le flux de livraison d'armes resterait très conséquent.
En face, le dieu Poutine semble avoir des capacités illimitées (du soldat bouriate ou yakoute, en veux tu en voilà, du missile de précision, en veux tu en voilà, des obus, russes ou nord coréens, en veux tu en voilà, du drone iranien,... etc...)
Face à ce défi de moyens mis en oeuvre, les Ukrainiens n'ont pas le choix, ils doivent répondre.
Et face à l'infini de "l 'offre" de poutine, les Ukrainiens, doivent eux aussi, avoir de l'obusier de réplique, et de la troupe, aussi fraiche que possible.
Une belle solution, pour l'Ukraine, serait un engagement total de toutes les forces de l'Otan (forces aériennes, troupes, divisions blindées, systèmes anti aériens etc...) mais comme tu le sais, ce sujet n'est pas à l'ordre du jour, côté Otan.
Le camp occidental ne souhaite qu'une chose, que les sources de Poutine soient complètement taries, pour que Monsieur daigne rentrer à la maison. Et le monsieur, il dit "ben non, j'irai au bout de mes rêves".
J'en reviens à la position de notre petit Macron "faut pas humilier la Russie, faut laisser une porte de sortie à Poutine". Ca me semblait un point de vue assez judicieux. Puisque, à l'heure actuelle, un retrait de poutine signifie la déchéance de ce dernier.