Perso, ça me va (un point commun avec Zemmour).

Pene
De toute façon, dès lors que le catholique est universaliste, comme dit précédemment, conformément à Mt 28, 19-20, il faut envisager la possibilité de guerre. Valable aussi pour les autres universalismes. Choix que laisse un universaliste en position de force : la conversion, ou les baffes.

Se repentir de ses péchés à l'article de la mort, fussent-ils abjects permet également de goûter à la plénitude éternelle.
Si Dieu juge alors de leur sincérité, faut-il entrevoir la possibilité que des centaines de millions de chrétiens mourants ont été dupés ?

Quand le curé absout contre une messe ou une piécette un criminel ou un simple pécheur.

Pene
Il faudrait examiner les questions suivantes :
1- des pénitences à encourir en fonction des péchés en question ;
2- En l'occurrence, se repentir par calcul sert tout autant à éviter les peines éternelles, qu'à goûter la béatitude ==> pour obtenir pénitence, l'attrition ou la contrition est-elle requise ?

Pene
Pas vraiment conforme à la doctrine. Le troupeau qui mène le berger, plutôt que le berger qui mène le troupeau, car bah justement, plus beaucoup de monde dans le troupeau, ce qui ne justifie en rien l'action en question. Le plus probable comme dit précédemment, conformément à leur doctrine, est que l'immense majorité du genre humain brûle en enfer.

Faut voir, les limbes sont-elles si terribles que ça (genre par rapport à une vie de merde) ?

Pene
Peine de dam, pas peine de sens, je crois ; c'est-à-dire, que vous ne souffrez pas, mais vous ne jouissez pas de la vision béatifique. A vérifier : possible que je me trompe.

Pene
Pas que l'immense majorité des croyants, l'immense majorité des hommes. Selon leur doctrine, non seulement Dieu existe, mais il s'agit du leur ; toujours selon leur doctrine, vous et moi, si nous continuons ainsi, nous finirons en enfer. Le principal acte de charité du catholique vis-à-vis du non-catholique consiste à tenter de le convertir, pour son bien.

D'ailleurs, s'oppose à cette charité, si vous me comprenez bien, la tolérance, sorte de "vertu" pour nous née parmi les sectes protestantes fin XVIème ou début XVIIème. La conception de la charité précédente implique guerre entre les sectes ; par réaction, la tolérance est une sorte de coexistence pacifique entre sectes : elles s'ignorent, se replient sur elles -mêmes, vivent juxtaposées les unes à côté des autres.