jack127
d'abord ce sont nos besoins énergétiques qu'il faut revoir, quelle que soit l'énergie on en viendra à bout...les renouvelables sont difficiles à exploiter et seront toujours un pourcentage.
ensuite quand j'étais gamin, vers 1980 on nous parlait de 40 ans de réserves en hydrocarbure...la raréfaction augmentera le coût et nous poussera vers autre chose mais la marche forcée vers l'électrique est une erreur de débiles qui ne financent pas leurs déplacements
La fin des voitures thermiques
jack127
En France, le survol des villes à basse altitude est interdit. Se poser en dehors d'un aérodrome ou d'une plateforme dédiée l'est aussi, avec plein de réserves s'agissant des plateformes hélico en ville. Le problème de la réglementation sera plus difficile à résoudre que le problème technique. A Paris, c'est plié. Un seul couloir pour traverser d'ouest en est, in tube de moins de 100m de diamètre dont il est interdit de sortir. Seuls les secours et la police échappent aux interdictions. Même les drones du préfet vont devoir renoncer à voler, alors les taxis volants...
mac-le-givré Quoi d'autres, les voitures à hydrogène? On en a en abondance mais le prix de ces voitures est exorbitants et peu de constructeurs se sont lancés dans cette voie. On devrait promettre 72 vierges à celui qui trouvera la voiture qui roule avec une énergie propre, qui soit renouvelable et pas trop coûteuse puisque cela semble la récompense ultime.
jack127
la seule solution à terme c'est moins de transports, moins de moteurs, produire sur place au maximum comme avant la traction mécanique...le plus dur sera le travail du sol pour l'agriculture car il faut bien se nourrir
jack127
on voit bien que vous ne connaissez pas la capacité d'inertie de le DGAC! ...Et leur tendance pathologique à durcir chaque année la réglementation. Je pourrais vous en donner plein d'exemples. Même quand une mesure appliquée ailleurs s'impose en France, comme l'augmentation des pentes de descente des gros avions, c'est un niet catégorique. Résultat: Des millions de gens réveillés la nuit par les airbus qui volent à 300m sol. Ce problème est réglé aux USA depuis des décennies. Du coup, vos taxis volants voleront sans doute bientôt, mais pas chez nous.
La DGAC est d'ailleurs parvenue à tuer l'aviation de loisir, qui n'existe quasiment plus. Je suppose qu'après, ils s'attaqueront aux ULM. Ca commence. (Transpondeur obligatoire à Rouen, sans nécessité).
mac-le-givré
Ce que vous proposez, c'est la fin de la mondialisation, autrement dit un changement sociétal qui paraît irréalisable. Voyez l'affaire des masques. Qui est prêt à les payer deux ou trois fois plus cher?
J'appelle cela une régression .
Poufpouf
parce que le transport coûte moins que le travail avec l'abondance énergétique...
LaVachequiRit
trouve une énergie viable à long terme pour éviter cette regression...
Poufpouf Qui est prêt à les payer deux ou trois fois plus cher?
Encore les pauvres qui empêchent d'évoluer; à force de leur faire croire que tout est gratuit à ceux là, ils ont perdu le sens des valeurs!!!
Le pétrole avec 1 733,9 milliards de barils en réserves prouvées en 2019.
Il suffit d'avoir des moteurs moins gourmands et moins polluants .
C'est techniquement faisable .
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LaVachequiRit
c'est du moyen terme, et si les réserves sont là pour un certains temps
l'extraction ne sera sans doute pas au même prix
la consommation va augmenter avec des pays qui aspirent à accéder à la voiture pour tous
- Modifié
Estimation de la durée des réserves par type de ressource(10) :
Pétrole : environ 51 ans et demi au rythme de production actuel
Gaz : environ 53 ans
Charbon : environ 114 ans
Uranium : environ 100 ans (sur la base des réacteurs de 2e et de 3e génération, des milliers d’années dans le cas d’une industrialisation des surgénérateurs)
https://www.connaissancedesenergies.org/fiche-pedagogique/reserves-de-petrole-dans-le-monde
La demande à tendance à baisser.
LaVachequiRit
Ces estimations n'ont pas vraiment de sens.
Il est évident qu'on n'extraira jamais le dernier baril de pétrole, ni le dernier kilo de charbon.
Si on n'est pas passé à une autre source d'énergie volontairement, on se heurtera à un mur infranchissable:
les capitaux nécessaires à trouver pour poursuivre l'exploitation.
En effet comme on exploite en premier les gisement les plus accessibles et que ceux-ci s'épuisent -of course- on va vers les gisements les plus difficiles d'exploitation.
En gros, on passe du Texas du 19ème siècle où on plantait son doigt dans le sol et il en sortait du pétrole (je blague...) à l'offshore profond à plus de 3.000m de profondeur. Je n'insiste pas sur les différence de coûts et par conséquent de rentabilité du capital -ce qui mène le monde, vous le saviez comme moi-.
Autre mur -comme si on en avait besoin- le EROI ou taux de retour énergétique. En clair si on arrive au point où il faut dépenser pour l'exploitation d'un gisement l'équivalent d'un baril de pétrole pour en sortir un autre baril, autant rester à la maison.
Voilà vers quoi nous allons. Et donc le truc des réserves "prouvées" ou encore des années de consommation restantes, c'est un peu de la foutaise. Si je peux me permettre.
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Malouin
Les réserves de charbon, de pétrole et de gaz sont largement suffisantes pour rendre la terre invivable du fait du changement climatique.
cheshire-cat
Si on les consommait. Mais on ne les consommera pas.
Parce qu'on ne les extraira jamais.
Dès que la raréfaction des sources d'énergie se fera progressivement sentir, les tensions économiques et les crises se succéderont.
Ce qui comme toujours dans l'histoire de l'humanité nous obligera à une adaptation.
Plus tôt on s'y préparera, moins ce sera violent. Mais il y aura forcément des perdants.
Malouin Ce qui comme toujours dans l'histoire de l'humanité nous obligera à une adaptation.
Plus tôt on s'y préparera, moins ce sera violent. Mais il y aura forcément des perdants.
Vous parlez de humanité comme si c'était une personne ayant une volonté, défendant ses intérêts ...
L'humanité est un ensemble d'individus ayant des intérêts souvent opposés incapable d'agir selon une volonté commune.
Cela peut exister au niveau d'un peuple, mais au niveau de l'humanité ?