JPS38 En France, notamment, les Français ne courbent plus l'échine devant ce qui n'est plus un malentendu, mais devient un problème.

Franchement, j'ai des doutes. Tant qu'il y a la télé, et le frigo plein ...

  • JPS38 a répondu à ça.

    James Franchement, j'ai des doutes. Tant qu'il y a la télé, et le frigo plein ...

    Oui, mais quand des intrus viennent bouffer notre espace vital, je pense que la télé et le frigo ne sont pas des remparts suffisants pour se protéger d'une ingérence que nul ne peut accepter sans y être forcé. Et je ne crois pas
    que les Français soient prêts à aller jusque-là.
    Pour l'instant, il n'est question que de menace. A l'époque du " touche pas à mon pote ", il y avait du ventre mou pour les pseudo anti-racistes islamo-gauchistes et immigrationnistes parce qu'ils avaient le beau rôle de jouer sur la culpabilisation de la société.
    Aujourd'hui, la pression de l'islamisation existe du fait de la veulerie chronique des politiques, mais il n'est plus sacrilège ni honteux pour nous d'en parler et surtout d'en supputer les intentions et les perspectives.
    Pour l'instant les mots sont indispensables pour cerner ce problème. Cependant qu'il n'est pas à exclure, lorsque la parole deviendra vaine dans une société trop ébranlée par des velléités musulmanes toujours plus invasives, que la violence citoyenne émerge ici et là pour rétablir un équilibre des forces, ou l'inverser puisque la minorité veut de la crainte alors que le reste de la population demande du respect.
    D'autant plus que les progressistes d'aujourd'hui, n'ont rien trouvé de mieux que de déléguer leur propre responsabilité pour gérer " la concorde nationale " . sauf à tenter d'interdire la liberté d'expression. Mais à vouloir bâillonner le plus grand nombre revient à exacerber les emportements et les brutalités physiques.
    Je pense que si les petits dictateurs qui nous gouvernent continuent à nous discriminer aussi ouvertement, ils seront déjà les 1ers à se prendre le mur au bout du cul-de-sac où ils veulent nous emmener.
    A moins que je me gourre complètement sur l'avenir de la France et des Français, dont on sait que si ces derniers prennent des allures de petits bourgeois, ils n'en sont pas moins assez courtois lorsque chacun reste à sa place.
    Il suffit simplement de rester à sa place et accepter les règles que la république, encore un mot fourre-tout, met en application pour que la vie entre communautés ne finisse pas en baston générale.
    Au fait, que pensent les progressistes, cette belle et grande escroquerie intellectuelle, de la laïcité ?
    Bienvenue au Covid19 qui permet de gagner des victoires mesquines sur le vide d'une gouvernance menée à la godille...

    7 jours plus tard

    un article décapant qui, après l'analyse des erreurs du gouvernement, nous annonce une crise économique et sociale d'une ampleur qui risque d'être énorme

    https://www.bvoltaire.fr/alain-de-benoist-meme-au-moyen-age-le-confinement-des-bien-portants-na-jamais-permis-dendiguer-une-epidemie/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=alain-de-benoist-meme-au-moyen-age-le-confinement-des-bien-portants-na-jamais-permis-dendiguer-une-epidemie&utm_source=La+Gazette+de+Boulevard+Voltaire&utm_campaign=52ea5075f6-MAILCHIMP_NL&utm_medium=email&utm_term=0_71d6b02183-52ea5075f6-24059393&mc_cid=52ea5075f6&mc_eid=a0bf7ab9e8

    Alain de Benoist : « Même au Moyen Âge, le confinement des bien-portants n’a jamais permis d’endiguer une épidémie ! »
    Il n’y a pas d’autre mot pour le dire : la réaction des pouvoirs publics face au Covid-19 a été proprement calamiteuse. Cinq mois après le début de l’épidémie, nous n’avons toujours pas atteint la capacité de dépistage que nous aurions dû avoir lorsque les premiers morts sont apparus. Le gouvernement s’est d’abord réfugié dans le déni (ça ne viendra pas chez nous, c’est une grippette), après quoi nous avons assisté à un incessant défilé de cafouillages, de consignes contradictoires et de mensonges d’État. Rien n’avait été prévu, alors que des voix nombreuses s’étaient élevées, ces dernières années, pour laisser prévoir une nouvelle pandémie venue d’Asie. La cause première réside dans l’incapacité des pouvoirs publics à raisonner au-delà du court terme. Mais la cause la plus fondamentale est que, pour se conformer aux règles de l’idéologie libérale, on a voulu soumettre le secteur de la santé publique à des principes de rentabilité, de concurrence et de gestion à flux tendu qui ont entraîné la fermeture de milliers de lits, la destruction de stocks de réserves, la précarisation croissante d’un personnel déjà sous-payé. En d’autres termes, nous avons intégré au système du marché un domaine qui est, par définition, hors marché. Le résultat a été un effondrement généralisé des capacités de l’hôpital public.

    ..........

    Même au Moyen Âge, le confinement des bien-portants n’a jamais permis d’endiguer une épidémie. De ce point de vue, le confinement généralisé a d’abord été un aveu d’impuissance : on a confiné tout le monde parce que l’on n’avait ni masques (qu’on a d’abord décrétés « inutiles », avant d’en rendre le port quasiment obligatoire), ni tests de dépistage, ni matériel de réanimation, ni outillage d’assistance réanimatoire. En Europe, les pays les mieux équipés sont aussi ceux qui ont le moins confiné. Puis, quand on a commencé à déconfiner, on a adopté toute une série de réglementations punitives parfaitement loufoques. Plutôt que de faire face, le gouvernement s’est retranché derrière l’avis des « scientifiques », alors que ceux-ci n’étaient pas d’accord entre eux. Bref, on a subi. Et ce n’est sans doute pas fini.

      • [supprimé]

      [supprimé]

      Alexandre Benalla?
      Benjamin Griveaux?
      Marlène Schiappa?
      Sibeth Ndiaye?
      Bernard Henri-Lévy?
      Christophe Castaner?
      Ruth Elkrieff?

      😆

      [supprimé] christianne Alain de Benoist est un personnage louche et sulfureux. Je vous suggère d'autres lectures.

      mdr!! je n'en attendais pas moins de toi!!

      [supprimé]

      Un intellectuel très cérébral féru d'idées. Il pousse à la réflexion. Il a beaucoup évolué, il part dans tous les sens, explore tout mais son appétit de pensées est stimulant.

      Il est temps de remettre en cause la doctrine stupide du confinement des bien-portants, pour cause d'absence de matériel (tests, masques...) et de lits d'hôpitaux.

      Si l'on prend en compte tous les décès directs ou indirects provoqués par le confinement (suicides, dépressions accentuant d'autres maladies, pertes de chances pour des malades qui n'ont pas été soignés ou opérés à temps) on arrivera dans quelques mois à un chiffre plus élevé que celui des morts du covid.

      20 jours plus tard

      Cauchemar, phobie, toc: les séquelles du confinement chez les enfants

      https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/cauchemar-phobie-toc-les-s%c3%a9quelles-du-confinement-chez-les-enfants/ar-BB15xkYM?li=AAaCKnE

      Cauchemars à répétition, colères, phobie sociale, agoraphobie ou encore apparition de tocs: après six semaines de confinement, plusieurs mois de crise sanitaire et - pour un grand nombre d'entre eux - un trimestre sans aller à l'école, certains enfants conservent des séquelles psychologiques de la crise du coronavirus.

      Et le retour à l'école dans les conditions stupides de "distanciation" alors qu'on sait qu'ils ne sont pas porteurs ou très peu contaminants, n'a pas dû arranger!

        • [supprimé]

        • Modifié

        L'école n'est pas là pour protéger les enfants de leurs parents.
        Que la société fasse plutôt son examen de conscience. Expédier à l'école des gamins rendus tarés par des modes éducatifs de dégénérés (démission parentale, familles redécomposées, extinction de l'autorité, image dégradée de l'adulte en proximité, j'en passe et des meilleures...) pour que leurs parents puissent reprendre leur vie nombrilesque, et en espérer autre chose qu'une calamiteuse issue est insensé.

        La génération de parents crétins, incultes, à moitié illettrés qui passe sa vie sur un smartphone à se frictionner le grand mât sur des réseaux sociaux ne doit pas compter sur l'école pour amortir la catastrophe qu'est sa descendance.

          [supprimé]

          tu ne peux pas mettre tous les parents dans le même panier! mes neveux ne sont absolument pas démissionnaires ni "décomposés"! à la campagne les gosses sont plus dégourdis et moins peureux! le confinement en ville a dû être particulièrement anxiogène et si les parents ne jouaient pas leur rôle de "modérateurs" pour leurs enfants face à des journalistes qui avaient besoin d'infos spectaculaires, vu le déferlement de catastrophes annoncées, le cerveau des gosses n'était pas capable de faire la part des choses.

            • [supprimé]

            christianne si les parents ne jouaient pas leur rôle de "modérateurs"

            Ce ne sont pas des parents. Point barre.

              christianne
              Pour les pauvres le confinement n'a pas du changer grand chose au quotidien, il en va tout autrement pour les fils à papa, spécialistes de l'assistanat familial habitués à parcourir les drugstors. Pour ceux là le confinement aura été vécu comme un enfer.

                • [supprimé]

                christianne je suis d'accord avec toi! mais tu ne peux pas généraliser!

                La généralisation est faite par le Ministère qui tout en douceur vous a glissé dans l'oreille que si les écoles rouvraient, c'est parce que les enfants y risquaient moins que dans leur famille. Je ne fais que citer.

                  • [supprimé]

                  Les profs qui croyaient gratter encore quinze jours de vacances , en sont pour leurs frais . Hop au boulot , tas de feignasses .

                    • [supprimé]

                    Au bout de l'hameçon, le ver s'agite encore.
                    Les lycées ne reprennent pas, et les collèges resteront vides.
                    Mon conseil : écouler ses soutes à fiel en direction du tiers monde, en toute exclusivité. C'est plus sécure dans le coin.

                    Le véritable problème, depuis le début, c'est d'avoir permis l'école sur la base du volontariat. L'école est obligatoire, point barre, peu importent les modalités.

                    La reprise soumise au protocole sanitaire est tellement absurde, pédagogiquement parlant, que les élèves volontaires au retour en classe -et par conséquent un peu plus vifs que la moyenne- se sont finalement absentés en cette deuxième semaine de déconfinement scolaire...

                    On rend à nouveau l'école obligatoire, il faut tout d'abord:
                    -lire le nouveau protocole ce qui prendra une semaine pour le faire appliquer
                    -gérer les transports scolaires
                    -passer des commandes pour les demi-pensions
                    -ôter les scotchs et autres marquages, revoir les sens de circulation, revoir sûrement encore une fois les emplois du temps ainsi que l'occupation des salles
                    -préparer la rentrée, réunir les profs pour du blabla administratif.
                    -organiser les réinscriptions des élèves
                    ...

                    Objectif: faire revenir tous les élèves pour une demi-heure. Et encore, ça, c'est un objectif théorique. Ce sera sûrement moins.
                    Pendant ce temps-là, en Meurthe-et-Moselle, le préfet en est à sa 5eme attaque...

                    • [supprimé]

                    • Modifié

                    Mais évidemment le beauf de base a tout gobé : les écoles rouvrent.
                    Comment passer sa vie à critiquer Macron, et lui tendre tout de même sa partie charnue à chacune de ses interventions.

                    [supprimé] La généralisation est faite par le Ministère qui tout en douceur vous a glissé dans l'oreille que si les écoles rouvraient, c'est parce que les enfants y risquaient moins que dans leur famille. Je ne fais que citer.

                    je n'ai pas entendu ça mais si tu le dis je le crois! effectivement c'est n'importe quoi!