france2100 La question de fond est, me semble t-il, celle de la conception erronée de la nationalité dans les états occidentaux. A quoi rime t-il d'attendre d'un étranger qu'il ait la même culture et le même ethos que les nôtres, les mêmes sentiments que nous pour cette terre, et qu'il soit prêt à mourir pour que nous ne soyons pas conquis ?
Il n'y a pas de problème de conformité idéologique s'il n'est pas citoyen. S'il choisit de le rester, par exemple pour les droits associés, il a choisi quand même, et a les devoirs associés aussi. Le plus gros danger serait la transmission à la génération suivante de cette non-conformité.
Peut -être que dans ce cas, la cité dont nous parlons devrait manier la carotte et le bâton : envisager dans le même temps la mise en place d'une inquisition nationale provisoire, ou d'une politique de sanction contre la non-conformité idéologique.
La nationalité devrait être réservée, outre nos enfants, à ceux qui ont grandi ici et nous ressemblent, car ceux-là seuls me semblent à même d'avoir des sentiments pour notre peuple et notre terre. Les étrangers, eux, ne pourraient au mieux se voir proposer qu'une résidence perpétuelle, ouvrant peut-être des droits civiques municipaux, et bien sûr réservée à ceux qui nous ressemblent.
Est citoyen ou citoyenne, celui ou celle qui est fils ou fille d'un père citoyen et d'une mère citoyenne. Au bout de quelques générations d'application de la loi, de chasse aux contestataires, et d'idéologie dans l'éducation, sans que le discours contraire soit permis, la pilule sera avalée. L'inconvénient de l'autochtonie est de limiter grandement la possibilité d'acquisition de la citoyenneté, notamment au mérite. Je dois concéder que cela m'ennuie.
Sans trop même me casser la tête, cette nouvelle cité aurait d'autres problèmes : en matière démographique, en matière de travail aussi... En fait, il faudrait analyser les raisons de l'immigration impartialement : ses avantages aussi.
france2100 Pourquoi devrions-nous faire nôtre l'idéologie de l'état, a fortiori d'un état qui poursuit notre effacement du passé et de l'avenir ?
Comment une société change de modèle ou d'idéologie ? Par une révolution, un coup d'Etat, éventuellement un homme qui d'une façon ou d'une autre assassine le régime qui lui a été confié... La plupart du temps, un tel changement se produit dans la douleur.
Selon le cas, il faut aussi que la minorité agissante impose son nouveau modèle de société, sa nouvelle idéologie : encore une fois, cela ne passe pas seulement, au moins dans un premier temps, par une gentille prédication dont l'objectif est de persuader.