KRON

parce que ce cas est un cheval de bataille ; au terme de la loi, il n'y a pas besoin d'affamer, juste de cesser les soins.

  • KRON a répondu à ça.

    cheshire-cat

    Ceci est tout simplement inimaginable et pourtant, cette histoire a sûrement été réelle

    En fait, vous êtes un gros crédule

      Le fils du commandant Cousteau a raconté que dans les derniers jours de sa vie il communiquait avec lui en Morse ...

      Figurez-vous qu'à l'armée, c'était un jeu.

      cemab Pourrais-tu développer, s'il te plaît ?

      Très volontiers : actuellement, l'euthanazie active est interdite, l'acharnement thérapeutique est interdit, l'euthanazie passive est tolérée . cette dernière consiste à cesser les soins jusqu'à ce que mort s'ensuive.
      Globalement, c'est la loi loi actuelle dans les grandes lignes.

      Et donc, comme VL ne reçoit pas de soins thérapeutiques, il n'a pas à rentrer dans ce cadre.

      C'est pour ça que parler de faire évoluer cette loi ne peut se comprendre que dans l'optique d'élargir l'euthanazie.

      Je ne suis pas contre le fait que les gens se butent, mais ils le font eux-mêmes, comme des grands, sans emmerder la terre entière.

      Je suis contre l'euthanasie passive. Or quelqu'un qui a spécifié vouloir mourir dans le cas où il se trouverait dans un état végétatif doit pouvoir être tué. C'est pourquoi je souhaite la légalisation de l'euthanasie active.
      Cela ne changerait rien a la qualification des diverses situations. Il y aurait toujours ceux qui doivent pouvoir vivre et ceux qui doivent pouvoir mourir. Mais les individus dans ce dernier cas pourraient être tués instantanément et non pas par arrêt de la nutrition et de l'hydratation.

      Justement, dans un monde normal (le mien) on ne tue pas les gens. Si quelqu'un veut en finir, il se choisit le TGV qui lui convient le mieux, lui-même ; sans mettre un tiers dans le jus.

        Dans un état neurovégétatif l'on ne peut pas se suicider. Si quelqu'un donne consigne d'être euthanasier s'il se retrouve dans cette situation puis qu'il y est, sa volonté doit être respectée. Mais la mort doit être donnée de façon instantanée. Il est nécessaire de légiférer pour que tous les aspects de cette problématique soient pris en compte.

          cemab Justement, dans un monde normal (le mien) on ne tue pas les gens. Si quelqu'un veut en finir, il se choisit le TGV qui lui convient le mieux, lui-même ; sans mettre un tiers dans le jus.

          Et si techniquement parlant il ne peut pas ?

            fac
            ben il ne se tue pas.

            dans la vie, on ne peut pas toujours tout avoir.

            • fac a répondu à ça.

              Par exemple, moi, à 20 ans j'aurais bien aimé avoir une Ferrari et coucher avec Isabelle Adjani.

              Il s'est avéré que c'était peu faisable, surtout pour la Ferrari, bon ben voilà...

              • fac a répondu à ça.

                KRON Dans un état neurovégétatif l'on ne peut pas se suicider. Si quelqu'un donne consigne d'être euthanasier s'il se retrouve dans cette situation puis qu'il y est, sa volonté doit être respectée. Mais la mort doit être donnée de façon instantanée. Il est nécessaire de légiférer pour que tous les aspects de cette problématique soient pris en compte.

                Cela s'appelle légaliser l'euthanasie.

                • KRON a répondu à ça.

                  katou Je pense que l'avis de la gouvernance et ceux des têtes de liste à l'élection européenne sont importants. C'est l'occasion d'ouvrir le débat. Il importe entre autres qu'après quelques mois l'on ne se trouve pas de nouveau dans la situation d'entamer la déshydratation et la dénutrition de Vincent Lambert.

                  jean88 MORT MISERICORDIEUSE ça te dit quelque chose??????

                  "Gnadentod" en allemand
                  ce qui me laisse penser que, soit vous êtes complètement idiot, soit vous êtes parfaitement suicidaire (fopoiquement parlant)


                    Il serait bien d'éviter de se référer au nazisme dans ce débat où l'on devrait avoir la modestie de considérer qu'il est complexe.