cemab La première responsabilité revient à la famille qui a exposé son différend au grand jour et sur la place publique, donnant ainsi l'occasion à la justice d'Etat de s'en saisir, occasion unique, et qu'elle n'allait plus lâcher jusqu'à la fin.
Non. La justice était passage obligé pour récupérer la tutelle de leur fils. La médiatisation n'est qu'une tentative de manipulation d'opinion pour infléchir la décision en leur faveur.
Mauvaise stratégie manifestement, mais compréhensible.
Aucune structure s'avouant impuissante devant un cas qu'elle juge désespéré ne refusera un transfert vers une autre prête à accueillir le patient en question, ce qui était le cas ici.
Ces situations ne sont pas rares et posent de gros soucis en cas de désaccord des concernés/tuteurs, ce qui amène généralement à des réunions peu productives (mobilisant l'hopital, l'ars, le cd, la famille, des établissements cibles, etc)
Encore faut-il que le médecin justifie le transfert médicalement.