Plariste-le-Revanite ui, mais si toi t'utilise le sexe, moi j'utilise la politique comme métaphore pour expliquer certains traits de caractères.
voir les deux concernant les gros cons de roycos de la III° république.

Je te remercie de me dire que j'utilise le sexe, mais à le valider simplement, il y aurait un rien de vantardise, là. Tu comprendras quand tu seras grand, mais à partir d'un certain moment, nous parlons plus de souvenirs que d'autres choses, raison pourquoi nombre d'entre nous tombent dans l'idéalisme.

Bref, toi tu n'utilises pas le sexe, mais la politique ?

Redisons d'abord : c'est un tort, tu ferais mieux de t'occuper du sexe tant qu'il est encore temps, mais on l'a déjà dit. Et réserver la politique à l'époque des facultés déclinantes.

Mais plus important : c'est quoi, la politique, du point de vue de Marx ? Une superstructure idéologique, en jargon. C'est-à-dire quelque chose d'idéologique qui vient se superposer à une situation réelle effective - qui est une question de mains, de bras (ceux des travailleurs), de corps et de bites, de chattes, etc. - , d'une manière générale pour approuver, justifier, sanctifier. Sanctification de l'ordre social et économique existant, qui convient fort bien à ceux qui veulent être "politiques". (1)
La politique n'a jamais aucune puissance éclairante, elle n'est pas l'explication mais ce qui est à expliquer. Si je veux expliquer Macron, je ne pars pas de son discours politique, je me demande d'abord à quelle gamelle il mange. Et à partir de sa gamelle, je saisis son message politique, mais pas l'inverse, jamais.
Je pourrais creuser l'analyse en ayant des infos sur sa bite, certains ici ne s'en privent pas (il baise avec une vioque, ça perturbe certains, etc. , moi je m'en fous, j'ai tiré mes meilleurs coups avec des vioques. Sûr, quand j'avais 17 ans, les "vioques" en avaient 30, mais c'étaient des vioques, relativement, et à cet égard, je n'ai rien contre une pédophilie raisonnable).
Mais de toute façon, ce n'est pas son discours politique qui va m'enseigner quoi que ce soit, dans une approche "marxiste". Son discours politique, et le discours politique de n'importe quel politique, c'est juste un habillage, et qui ne peut qu'être hallucinatoire, et certainement pas l'explication de quoi que ce soit.

(1) Il peut arriver que ceux qui, après avoir été prévaselinés par la politique et les politicards, et se la soient fait mettre bien profond et bien sauvage, ressentent des douleurs dans le fondement, et en ce cas récusent toute politique (par exemple, désigner des leaders), comme les Gilets Jaunes, par exemple.
Si les douleurs persistent, n'allez pas voir le Docteur Plariste, lui il propose juste de vous en remettre un petit coup dans le fion.

    8 jours plus tard

    courtial Vous savez que le freudo-marxisme ça va 5 minutes mais que le vrai inconscient c'est l'inconscient de classe, l’inconscient économique !
    L'idéologie dominante aussi....

    Freud a conclu que la bite dirigeait le cerveaux car il s'occupait de petits bourgeois névrosés, narcisse, mais avec la première mondiale il doit ramasser les miettes de vulcain.

    courtial Bref, toi tu n'utilises pas le sexe, mais la politique ?

    Oui et le moyen de transitionner du sexe à la politique c'était le doctor follamour. Cette magnifique érection.
    Bread and slaughtered (tu la sens l'excitation, quand il prononce ça?) Et sont bras se dresse immédiatement au mot militaire + leadership + tradition.
    Beacoups de fascistes comme sartre l'a bien compris sont amoureux de la haine et de la guerre. et il faut voir la "radicalisation" ajourd'hui, ce sont souvent des personnes délaissés qui trouvent dans des communions sanglantes de la camaraderie.

    courtial Redisons d'abord : c'est un tort, tu ferais mieux de t'occuper du sexe tant qu'il est encore temps, mais on l'a déjà dit. Et réserver la politique à l'époque des facultés déclinantes.

    Il y a des érections au mot révolution dont les communiste n'ont pas le monopole. L'actualité internationale le prouve.

    courtial Mais plus important : c'est quoi, la politique, du point de vue de Marx ? Une superstructure idéologique, en jargon. C'est-à-dire quelque chose d'idéologique qui vient se superposer à une situation réelle effective - qui est une question de mains, de bras (ceux des travailleurs), de corps et de bites, de chattes, etc. - , d'une manière générale pour approuver, justifier, sanctifier. Sanctification de l'ordre social et économique existant, qui convient fort bien à ceux qui veulent être "politiques". (1)

    Ha côté de la plaque, qu'est-ce que tu ne comprends pas dans matérialisme dialectique et Historique ?
    La structure et al super structure on une histoire !

    Quand comprendra-tu ce que : "l'idée c'est de la matière." Veut dire? Que tout n'est pas désir ! Pour la simple et bonne raison que le désir découle du besoin. Et parfois le besoin de travailler, pas forcément de niquer. Le besoind e reconnaissance.

    courtial La politique n'a jamais aucune puissance éclairante, elle n'est pas l'explication mais ce qui est à expliquer. Si je veux expliquer Macron, je ne pars pas de son discours politique, je me demande d'abord à quelle gamelle il mange. Et à partir de sa gamelle, je saisis son message politique, mais pas l'inverse, jamais.

    Relis moi, tu verra que le nazi qui à son bras qui part en érection en réaction à quelques mots, est stimulé par un inconscient de classe, une culture mimétique propre à sa sphère, une culture qui s'est constituée en s'adaptant aux conditions de classe de la haute bourgeoisie réactionnaire.

    Pour que tu comprenne ce que le désir à foutre là relis refondation progressiste l'intro avec Vulcain et narcisse.

    Narcisse et Vulcain, les frères ennemis

    Pourriez-vous traduire dans le concret cette approche conceptuelle de
    la praxis. Vous avez proposé, avec Prométhée, un complexe fait de la
    convergence et de l'identification de l'allégorique, du mythique, du
    symbolique. Peut-on définir la praxis selon une typologie concrète qui en
    révèle la logique ?

    Un personnage va assurer l'incarnation même de la
    praxis. Il sera la médiation entre le mythique et le concret. Il
    sort des entrailles de la terre pour travailler directement un
    élément du cosmos, ce qui le rend semblable aux dieux. Par
    contre, dans le civil, certaines filles se moquent de lui parce
    qu'il sent mauvais.

    C'est A-lbéric, le nain de «L'or du Rhin » de Wagner, un cousin
    de Vulcain, le dieu grec des forges !

    Le procédé consiste à proposer des allégories pour
    exprimer les grandes intentions de l'humain ; il sera
    systématisé pour constituer les figures déterminantes de la
    praxis. Celles-ci devront répondre à deux exigences de la
    connaissance anthropologique : il faut traduire les liens

    familiaux, à la manière de Freud, et énoncer la logique de la
    praxis (le contraire et le contradictoire).

    Le plus proche proche parent est le frère, c'est la plus forte

    identité de l'exogamie monogamique qui, en Occident,

    contraint à prendre un seul époux hors de la famille. La

    moindre différence doit porter la plus grande distance,
    l'antinomie radicale, le conflit le plus grave : ces frères sont
    ennemis.

    Le brave et simple principe d'identité, celui que le Sphinx
    rabâche — l'homme, c'est l'homme — doit être repris et
    enrichi de la différence apportée par la praxis. Si je reprends
    l'identitaire, c'est avec quelque chose de plus : le passage de
    l'interrogation du Sphinx à l'interrogation de la praxis doit se
    traduire en sa radicalité. 11 doit traduire le progrès vers
    l'universel qui s'accomplit en devoir-faire. L'identitaire
    s'avère être le double jeu de la différence : celui de
    l'identique sans différence (les frères, A et A) et celui de
    l'identique devenu la plus grande différence (les frères
    ennemis).

    J'en viens à la partie la plus spéculative de mon
    anthropologie. Une fois établi que l'identitaire est un couple,
    que doit être le contraire de Vulcain ? Puisque la nature,
    l'acte de Vulcain, est de produire, que peut être l'acte
    contraire ?

    Ce ne peut être que consommer! Consommer, c'est défaire, oh
    combien, ce qui a été fait ! C'est le nier, l'absorber, le manger. On peut
    sans doute considérer l'affaire sous cet angle.

    Mais ce n'est pas tout. L'ironie de l'affaire est dans cette
    question : consommer quoi ? Ce que Vulcain a produit,
    pardi ! Autrement, de quoi et de qui, Narcisse vivrait-il ?

    Narcisse serait donc le contraire de Vulcain ?

    Comme consommer est le contraire de produire. C'est
    bien Narcisse qui passe son temps à se regarder dans un
    miroir, à ne rien faire, sinon refaire le monde à son image. 11
    ne produit rien, mais ramène tout à lui-même, pour lui-
    même. Il se fait le centre du monde. Il est pire que parasite et
    égoïste. Il se croit l'Unique. Le monde doit être son faire
    valoir. Il est la négation et le refus de l'autre. Le pire, c'est

    qu'il prétend faire tout cela en beauté ! Narcisse porte en lui
    une esthétisation de l'ego, inoercible, surdéterminante, fatale.
    C'est moi l'artiste ! Je suis différent parce que je le mérite : je
    suis beau !

    Narcisse et Vulcain seraient donc les frères ennemis, le couple
    originel de l'humain, l'engendrement réciproque de l'unité des
    contraires ?

    L'un produit, l'autre consomme. L'un fait de son corps
    un outil, l'autre en fait le beau spectacle que l'ego se donne à
    lui-même.

    Produire et consommer sont les deux actes
    fondamentaux de la vie. Leur mise en relation est le
    problème même de la philosophie de la praxis et de
    l'existence. Cette dualité est radicalement ignorée du
    consensus idéologique actuel. Nous proposons d'en faire
    une composante essentielle de l'arbitrage moral et politique
    qu'est l'équité.

    courtial

    A L'ECONOMIE PROSTITUTIONNELLE DU
    LIBERALISME LIBERTAIRE

    1 Le pouvoir narcissique

    a/ Plaire et faire, séduire ou travailler

    Freud, qui ne soupçonne même pas l'engendrement
    réciproque des contraires qui nous constituent, fait comme si
    la praxis n'existait pas — heureux homme qui peut ne pas
    savoir l'inconscient ! Pourtant, le miroir est à Narcisse ce que
    le feu est à Vulcain : arme et outil. C'est le partage originel de
    l'homme. A moi le plaire, à toi le faire. C'est le cogito de l'être
    social : je suis mon image et/ou je suis ce que je fais.
    Contradiction originelle qui sera le fondement de la lutte des
    classes : d'un côté le pouvoir narcissique, de l'autre l'éthique
    de la praxis. Narcisse est « en moi, plus moi-même que
    moi ». Il se croit même plus beau que moi ! Il m'habite,
    parasite du moi et création du même.

    N'est-il pas temps — pour refonder à la base — de se
    demander ce que Narcisse attend de moi et ce que je peux
    faire de lui ? Ce sera proposer l'économie politique à
    l'envers : révéler ce qui ne doit pas être dit par l'economisme
    positiviste et réductionniste des économistes anglais et que
    Marx lui-même n'a pas exploré.

    Le narcissisme est le principe même du consumérisme : je
    me consomme moi-même. Quelle délectation ! Restons-en
    là. Moi, c'est moi. Le moi, c'est la redondance. Narcisse est
    un envahisseur. Il se proclame l'identification du principe de
    réalité et du principe de plaisir. Et c'est bien une vérité
    essentielle à l'ontogenèse et à la phylogenèse : l'appareil

    identitaire et l'appareil consumériste s'engendrent
    réciproquement. C'est ce qui expliquerait la toute-puissance
    de Narcisse. Il ne fait que rendre compte de la constitution
    du genre humain. Ces deux dynamiques sont indissociables
    en leur combat contre Vulcain.

    Car le principe consumériste exclut tout travail. Pour être
    lui-même, Narcisse doit être pur procès de consommation.
    Mais, alors, quels sont ses moyens d'existence ? Cette
    question est une balle de match, essentielle à l'économie
    politique à l'envers, explicative, déjà, du marché du désir.
    Elle révèle le dessous de la lutte des classes, la relation de
    dépendance que le narcissisme met en place. Pour que le
    consumérisme sans le travail soit possible, il faut le travail
    sans consommation, l'exploitation du producteur et, à la
    limite, la mise en esclavage.

    Le narcissisme a comme corollaire la subordination du
    travailleur par le consommateur. Les modalités de cette
    soumission vont de l'accumulation primitive, du crime et de
    la guerre exterminatrice, jusqu'à la soumission volontaire.

    Narcisse, fort de l'identification du principe de plaisir et
    du principe de réalité, peut en venir à son ultime
    revendication, à ce qui fait son essence, sa puissance. Il se
    prétend le cogito du Beau. C'est qu'il doute, lui aussi (comme
    le cogito de Descartes). Le narcissisme est un pouvoir qui
    doute de lui-même. Il est la proclamation de la beauté et de
    la jeunesse et doute de sa propre beauté et de sa jeunesse.

    Narcisse cache le narcissisme. Il apparaît comme
    affirmation et n'est qu'interrogation. On croit qu'il n'est que
    naïveté du reflet - la beauté qui s'admire elle-même - alors
    qu'il n'est que doute : « suis-je Beau ? Pourquoi je veux être
    Beau ? Et être le plus Beau ? Mais qu'est-ce que le Beau ? »

    Pourquoi cette blessure narcissique (apportée par le stade du
    miroir) ?

    C'est le secret de Narcisse..., un bien triste secret qui ne
    pourrait être dévoilé que sur le divan du psychanalyste : le
    péché originel de la Beauté. Narcisse n'est pas assez beau
    pour se moquer de l'être davantage. Il est d'abord en
    concurrence avec lui-même, avec son image..., le doute. Le
    beau-beau est ce qui ne s'interroge pas sur sa beauté : c'est la
    réification — la statue de Praxitèle - ou la vie ordinaire du
    bellâtre. Celui-ci est dans l'ontologie : la beauté va de soi.

    Le beau est ontologiquement en question par la fuite du
    temps. Pourquoi ne reste-t-on pas Beau et Jeune ? La beauté
    se saisit en son vieillissement, en tant qu'usure de son
    pouvoir. Le Beau est porteur de sa propre imperfection : il
    existe de telle manière qu'il n'est qu'un moment entre deux
    dépérissements.

    La plus belle femme du monde doute de sa beauté : voyez
    ce cheveu blanc. Le beau est l'appréhension du temps qui
    défait la beauté. C'est ce que le miroir dit à Narcisse. La
    beauté, elle aussi, dit le passage de la vie à la mort. La
    jeunesse et la beauté sont un pouvoir vis à vis de l'Autre,
    mais une parade dérisoire à l'égard de la mort. Le miroir dit
    le désir d'immortalité : le désir de la Jeunesse et de la Beauté.
    J'ai pu être cet instant de Jeunesse et Beauté. Et le reste du
    temps, je cours derrière la Jeunesse et la Beauté. Narcisse,
    c'est le désir de ne pas vieillir. En rester là, au stade du
    miroir, au face à face de l'homme et de son image.
    L'immortalité consiste à ne pas vieillir. Mais si le monde se
    défait par le narcissisme, celui-ci refait le monde : Narcisse,
    c'est le pouvoir de refaire le monde à son image.

    Tu vois narcisse vois dans sa position de classe une forme de reconnaissance. Le besoin d'une image de marque, dans une monde tout marchand apporté par le libéralisme libertaire.

    courtial (1) Il peut arriver que ceux qui, après avoir été prévaselinés par la politique et les politicards, et se la soient fait mettre bien profond et bien sauvage, ressentent des douleurs dans le fondement, et en ce cas récusent toute politique (par exemple, désigner des leaders), comme les Gilets Jaunes, par exemple.
    Si les douleurs persistent, n'allez pas voir le Docteur Plariste, lui il propose juste de vous en remettre un petit coup dans le fion.

    Il nous faudrait alors redéfinir le terme politique. est-ce que acheter ses T-shirt chez H & M est un choix politique?

    14 jours plus tard

    moi je suis assez fan d'offray

    2 mois plus tard

    Emmanuel Macron a la fâcheuse habitude de se mettre en position de soumission dans des pays étrangers qui furent jadis colonisés par la France. En Algérie, où c’est proprement mettre de l’huile sur le feu que de se présenter comme détestable aux yeux d’un certain nombre de gens qui nous haïssent déjà et n’attendent que de nouvelles raisons de nous mépriser, mais également en Côte d’Ivoire où il a récemment fait savoir que la colonisation était "une erreur profonde, une faute de la République".

    Or, si l’on veut vraiment examiner le passé de la France à cette aune, il va falloir ne pas se contenter de dire que le colonialisme fut "une erreur profonde, une faute de la République", ou que Vichy (qui, en passant, était une République ayant renoncé à elle même par voie parlementaire, via les députés de la chambre du Front populaire …) fut "une erreur profonde, une faute de la République", car ça ne suffira pas! On va devoir en effet reprendre tout à zéro et affirmer aussi que l’assassinat de Louis XVI, de Marie-Antoinette, ainsi que la mort à petit feu de leur enfant de dix ans, Louis XVII, le tout organisé par les Jacobins, ont constitué "une erreur profonde, une faute de la République". Il faudra également dire que la Terreur, avec ses quarante mille morts, a été "une erreur profonde, une faute de la République", que le génocide vendéen, avec ses cent cinquante mille morts, a été "une erreur profonde, une faute de la République", que les guerres impérialistes de 14-18 avec leurs dix huit millions de morts ont été "une erreur profonde, une faute de la République". Ou bien encore, puisque l’anachronisme est de sortie, allons-y donc, estimer que les Croisades, avec leur presque trois millions de morts, ont été "une erreur profonde, une faute de la République -monarchique…", de même avec les guerres napoléoniennes qui, avec leurs trois millions de morts également, ont été "une erreur profonde, une faute de la République -impériale…".

    On n’en sortira plus car l’Histoire, cher Manu, y compris l’Histoire de France, est faite de bruit et de fureur, de sang et de larmes, de cadavres et de charniers, c’est comme ça depuis le début du monde et ce sera ainsi jusqu’à la disparition des hommes. L’Histoire est tragique, elle n’est pas assimilable à celle qu’on montre dans les parcs de loisirs avec Mickey ou Astérix…

    https://michelonfray.com/interventions-hebdomadaires/il-nique-la-france?mode=video

      • [supprimé]

      • Modifié

      katou où il a récemment fait savoir que la colonisation était "une erreur profonde,

      .... La seule erreur profonde, en République Démocratique, c'est de ne pas demander directement l'avis du peuple par référendum. Le seul légitime a se tromper sur les grands caps et sujets engageant les destins sur des décennies.
      ... Depuis 2005, on attend toujours un nouveau référendum sur l'UE, un stop ou encore (mais cette simple question républicaine est tabou manifestement).

      • cris a répondu à ça.

        cris Nicolas Sarkozy prend vraiment les Français pour des imbéciles !

        oui depuis 2005 ou 2006
        élu sur des mensonges en 2007 tellement boudé en 2012 pour toutes ses trahisons qu'on a eu Hollande, finalement le résultat est à peu près le même

        • [supprimé]

        cris Sarkozy a mis son grain de sel pour les référendums.

        ... Oui, et on se demande toujours qu'elles en ont été les raisons profondes.

        • [supprimé]

        Bonjour,

        Il n'y a plus de respect, de nos jours.

        Cordialement.

          • [supprimé]

          • Modifié

          [supprimé] Il n'y a plus de respect, de nos jours.

          ... Le respect ne peut être que mutuel, sinon il n'est pas. (aujourd'hui comme hier ... et comme demain)

            • [supprimé]

            [supprimé] Bonjour,

            Vous écrivez cela pour justifier le manque de respect. Avec des idées socialo-progressistes il faut s'attendre au triomphe de la relativité absolue dans le genre humain.

            Cordialement.

              • [supprimé]

              • Modifié

              [supprimé] socialo-progressistes

              Lol ... Je sens le grand respect réciproque de ce mot chez vous ;-)

                • [supprimé]

                • Modifié

                [supprimé] Bonjour,

                Après tout définir quelqu'un de socialo-progressiste c'est vraiment manquer de respect. Parce que socialo-progressiste c'est de la merde en barres. Mieux vaut définir son interlocuteur de joyeux petit lapin.

                Cordialement.

                  • [supprimé]

                  • Modifié

                  [supprimé] Mieux vaut définir son interlocuteur de joyeux petit lapin.

                  ... C'est vrai que dans l'hypocrisie vous savez bien faire aussi avec vos ritournelles de Bonsoir Cordialement en toutes circonstances ;-)

                  14 jours plus tard

                  Les Gracques racontent la morphologie de tous les mouvements populaires: comment ils naissent, croissent, vivent, meurent et disparaissent, digérés par les puissants et les propriétaires. Quand, avec les deux frères Gracchus, la plèbe se révolte contre le patriciat, il lui faut un jour payer le prix de sa révolte, et ce fut dans le sang. De même avec Spartacus, le gladiateur thrace qui se rebelle contre Rome et qui finit crucifié avec six mille compagnons de révolte sur des kilomètres le long de la via Appia. L’histoire de l’Europe est riche en jacqueries, révoltes, rébellions, insurrections, séditions, émeutes ayant à chaque fois fait entendre la parole d’un peuple humilié, blessé, ponctionné, épuisé, taxé, tarifé, prélevé, mutilé.
                  Le peuple n’aspire pas à changer de régime politique, ce dont il se moque comme de sa première famine, car il veut du pain pour sa famille, du lait pour ses enfants, de la chandelle pour son taudis et du savon pour sa propreté. Il n’a pas lu le Contrat social de Rousseau ni L’Esprit des lois de Montesquieu et se contrefiche de savoir si le mieux pour changer sa vie est une république inspirée des Romains ou une monarchie constitutionnelle empruntée aux Anglais: il veut pouvoir gagner sa croûte avec son travail, acheter son pain quotidien, nourrir sa femme et ses enfants, laver son linge et son corps ravagé par le travail, la misère et la pauvreté. À quoi bon les États généraux d’un roi ou les délibérations d’une Constituante bourrée de Jacobins jusqu’à la gueule s’il reste exploité? Il change de maître, voilà tout…
                  https://www.lefigaro.fr/actualite-france/michel-onfray-les-revolutions-sont-des-girations-qui-reconduisent-les-plus-modestes-a-leur-point-de-depart-20200110

                    • [supprimé]

                    • Modifié

                    katou ... Le peuple n’aspire pas à changer de régime politique, ce dont il se moque comme de sa première famine, car il veut du pain pour sa famille, du lait pour ses enfants, de la chandelle pour son taudis et du savon pour sa propreté.... Il change de maître, voilà tout…

                    ... C'est très réducteur et défaitiste ... l'humain n'est plus uniquement qu'un grand singe. Nous avons même dépassé le stade du simple "panem et circenses" ...

                    [supprimé] Il n'y a plus de respect, de nos jours.

                    Le respect parfois (même souvent lorsque l'on a pas les cuisses propres) ça se mérite !

                      • [supprimé]

                      • Modifié

                      Esscobar Le respect parfois (même souvent lorsque l'on a pas les cuisses propres) ça se mérite !

                      ... Les pingouins s'en foutent, ils ont de tellement petites cuisses que même sales on ne les voit pas.