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[supprimé] En France on a le droit de télécharger une triple pénétration d'une ado de dix-huit ans par une fratrie de sénégalais.
Donc, de la projeter en 2x3 sur un écran d'une classe de quatrième pour lancer le débat sur la pornographie.Evidemment, les idéologues idiots à la petite semaine excentrent le débat pour placer leur névrose.
Il n'est pas question de liberté d'expression mais de provocation et de faute professionnelle aux conséquences dramatiques.
Tu compares bêtement un acte légal (la publication d'une représentation grossière d'un personnage historique controversé) avec la diffusion d'images à caractère criminel, pouvant valoir à son auteur une inculpation de complicité.
Le reste de ton argument ne vaut donc pas un pet de Mahomet : ici, le cours avait été semble-t-il approuvé par la direction de l'établissement, qui avait prévu un adulte pour encadrer les musulmans sortis dans le couloir. Le blasphème n'est pas une faute professionnelle. C'est curieux de devoir rappeler des évidences.