Cardinal-Protodiacre
Oui, enfin, on voit davantage de femmes féminines que d'hommes virils, curieusement.
Les féministes, y compris radicales, sont souvent très féminines.
D'ailleurs, au delà des slogans, c'est les premières à s'épiler à blanc, par exemple.
Par ailleurs, en terme de paradoxe, d'après ma modeste étude sociologique du sujet, c'est presque si plus elles peuvent être extrémistes, plus, lorsqu'elles sont heteros/bi, elles peuvent aimer, finalement, se retrouver soumise à un homme.
Cela étant, malgré ce paradoxe, quoique tu puisses les démonter, en/leur faire ce que tu veux, et ce même si au final elles te prennent pour le parfait connard d'ailleurs; il s'avère que dans leur construction psychique, elles ont probablement tendance à considérer qu'elles t'ont baisé, que tu es un "trophée", tout autant que l'inverse, disons. Aussi, on peut parler d'émancipation sexuelle, forcé d'admettre.
Peut-être profitable à la société, je suppose, en un sens.
Donc, ceux qui sont dans une misère sexuelle feraient mieux de se tourner vers les féministes, qui sont littéralement bien souvent les reines des petites salopes, plutôt que vers les putes.
A tout point de vue, l'affaire est tout de même plus engageante.
Cela étant, il est vrai aussi que quoique salopes, ce n'est pas non plus open bar. Cela pourrait peut-être être de nature à alimenter quelques frustrations.
Qu'en pensez vous, cher Cardinal ?