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Exprimez-le comme il vous plaira, cette affaire de seuil qu'un frémissement de papillon ferait franchir ne peut être corroborée par aucun modèle dynamique.
Nulle question ici de système chaotique, simplement de plage de fonctionnement de certains processus physiques, chimiques ou biologiques aujourd'hui essentiels aux écosystèmes, et dont la disparition rend impossible la prédiction de ce qui nous attend.
Encore une fois le terme de "seuil" ne désigne pas la disparition de la vie sur Terre mais une entrée dans l'inconnu.
La vérité est que la Terre est stable depuis des milliards d'années et la biosphère depuis un peu moins longtemps.
Stable au sens où la vie s'est maintenue, mais il est arrivé que l'essentiel du globe fut invivable pour une espèce comme la nôtre.
Je ne vois pas comment le CO2 ne finirait pas par disparaître totalement, dès lors qu'il resterait encore un brin d'herbe pour son dernier instant
Il suffit que les émissions que j'ai mentionnées excèdent la captation. Je note que vous n'avez donc pas de source à fournir et qu'il ne s'agit là que d'une hypothèse personnelle.
Ce que j'énonce n'est guère contestable
J'ai pourtant mentionné deux contre-mécanismes bien établis.