zenon Ce serait une solution entre autres.
Bin ouais, c'est le fameux quand tu casses tu répares, chacun assume ses actes !
Quand on bénéficie de la solidarité, il faut s'en montrer digne.
Le problème c'est que le pays permet à trop de glandeurs de piller l'Etat en ayant l'éducation; l'enseignement, la santé, une part du logement ... Bref tout cela accessible dès l'instant où on est non imposable.
Nous reconnaîtrons que ça part d'un bon sentiment, mais dans le monde où nous vivons c'est plus possible.
Si la solidarité nationale était réservée aux nôtres, on ne renâclerait pas autant.
Mais accueillir toute la misère islamisée du monde, non merci on donne déjà.
Nous n'avons pas besoin de plus d'immigés, !
Les branlos, les clandos, les étrangers auteurs de crimes et de délits n'ont pas leur place chez nous.
C'est plus facile de se consolider dans un statut d'assisté que d'essayer d'en sortir. Nous avons un système social qui est dévoyé . C'est le problème des effets pervers de l'extension des droits sociaux.
La solidarité doit pouvoir jouer dans les moments difficiles où on peut pas s'en sortir seul !
Mais quand des familles entières vivent depuis des générations d'aides sociales, il ne s'agit pas de solidarité mais de charité très mal ordonnée qui est parfois la mère de tous les vices.
Il y a trop d'étrangers en France, remigration ça signifie chacun chez soi.
Le gouvernement Bayrou comme tout autre semble largué une fois confronté à un diagnostic sérieux de l'état du pays.
Bayrou n'a pas de majorité à l'Assemblée nationale, il ne peut pas lancer des réformes structurelles.
Il fait avancer l'idée qu'il va falloir tailler, mais on sait pas encore où.
C'est toujours politiquement risqué de déranger certaines situations acquises.
Pour limiter le risque électoral, il vaut mieux ménager les catégories qui votent et se lâcher sur ceux qui ne votent pas.
Les retraités votent et les étrangers ne votent pas, le choix est vite fait.
Il est possible de mettre en œuvre la préférence nationale sans changer les lois ni la constitution.
Vouloir mener de front tous les combats aboutit à des résultats médiocres sur tous les fronts. Maintenant l'état se met en tête de charger encore plus la barque avec l'armement pour l'Ukraine.
Les enjeux de la guerre d'Ukraine dépassent les questions budgétaires.
Dans le monde qui se prépare, il vaut mieux être fort et armé que craintif et ruiné.
Tous les chemins en France bifurquent vers l'Etat, alors que l'Etat ne pourrait être qu'un régulateur de l'activité.
L'état doit être un régulateur de la société et il doit aussi être l'outil de l'ambition d'une nation.
Mais l'état ne doit pas devenir un distributeur automatique d'aides, de subventions et de rentes acquises.
Il faut tailler dans les dépenses, principalement les dépenses liées à l'immigration.
Ça tombe bien, les étrangers ne votent pas.