zenon On ne sait pas trop si c'est l'homme ou c'est la situation qui a divisé les oppositions.
Les deux, comme dab !
Mais les vieilles rancunes accumulées à gauche ont aussi joué un rôle déterminant.
Hollande avait pris sa retraite politique depuis 2017, il bullait tranquille.
Mais quand Macron a annoncé la dissolution au soir des élections européennes, son sang n'a fait qu'un tour, l'heure de la vengeance avait sonné.
Son stratagème était imparable : se faire élire avec l'étiquette NFP et une fois dans la bergerie, niquer Mélenchon qui l'avait qualifié de capitaine de pédalo !
Visiblement il était matériellement quasi-impossible de rester sans gouvernement .
Tu as raison, on ne peut pas rester sans gouvernement.
Les belges y arrivent très bien, mais c'est devenu Bagdad à Bruxelles, il faut savoir ce qu'on veut.
Bayrou est resté en selle par défaut. Quant à la gauche unie elle renaîtra malheureusement ,
Bayrou a finement joué, il a dit à Macron : je vais bordéliser la gauche et en même temps j'envoie Retailleau racoler les électeurs du RN.
La stratégie de bordélisation de la gauche a bien marché, Olivier Faure est invité sur toutes les ondes pour dire à Mélenchon d'aller se faire voir par le hamas !
Quant à Marine Le Pen, elle ne peut pas bouger le petit doigt tant qu'elle n'est pas fixée sur son inéligibilité.
Si une élection présidentielle avait lieu, elle serait hors-jeu.
Idem en cas d'élections législatives à compter de juillet 2025.
Marine Le Pen joue la prudence, la moindre erreur peut lui couter cher, c'est pas le moment pour elle de se tirer une balle dans le pied.
la mauvaise herbe ça repousse toujours.
La mauvaise herbe, il faut la tondre comme les collabos à la Libération !
Le PS fait ça très bien si on le lui demande gentiment.