hubert Mon cher Max, tu dois prendre conscience qu'un référendum sur le sujet est impossible à mettre en oeuvre !
C'est grâce à tout ce que j'ai déjà dit et écrit dans ce fil que vous en prenez enfin conscience, Hubert !
C'est bien. Il y a un progrès d'escargot.
zenon Bonjour,
Bientôt un référendum pour savoir s'il faut faire un référendum sur l'immigration.
Cordialement.
Bonjour,
Pour une fois, je suis d'accord avec vous et apprécie votre ironie.
Cordialement.
lugrin L'article 11 de la Constitution autoriserait un référendum sur l'immigration.
Ce référendum est la seule façon de modifier drastiquement les lois sur l'immigration et évacuer , s'il est encore temps, les lourdes menaces existentielles qui pèsent sur la France
Hélas, je crois qu'il est trop tard.
Notez d'ailleurs, en une telle situation gravissime, le cynisme insolent de l'idée même de penser enfin à un "référendum", une fois le mal sciemment installé.
On recourt à un référendum avant l'Invasion. Après __ quand c'est trop tard et que le ras de marée est déjà accompli installé __ c'est de l'ordre de l'insulte majeure à l'égard du pays.
lugrin "La quantité se transforme en qualité "
Sauf modification drastique des lois sur l'immigration
Oui, mais c'est trop tard. (Entendons-nous bien, quand je parle de qualité il s'agit ici d'un aspect négatif pour la France historique et civilisationnelle. En clair et sans langue de bois : à force de multiplier sans fin la présence de masses musulmanes (quantité), cela vous entraîne nécessairement, au fur et à mesure, l'installation, en même temps, du paradigme musulman et sa prépondérance progressive, laquelle, dans les pays du monde, est partout toujours irréversible et inassimilable : mode de vie, forme de société, mœurs, comportements, etc., et tout ce qui va avec comme "ambiance" (qualité).
Oui, on aura un "pays arabe" au final (V. Hervouët), vu la mécanique inexorable du nombre déjà installé (import annuel de 400 000 et démographie au quadruple, voire au quintuple de celle des Français de souche.
À terme, c'est plié. Mais on peut toujours continuer à nier l'évidence comme l'autruche la tête dans le sable.
Après tout... La Seine et la Méditerranée seront toujours à leur place.